Conseils aux jeunes

Un avertissement à ceux qui critiquent les administrateurs de la Jama’at

Ceux qui critiquent l'administration de la communauté mettent en péril la foi de leurs descendants.

Dans son sermon du vendredi 11 novembre 1988, Sa Sainteté Hadrat Mirza Tahir Ahmad, quatrième Calife de la communauté musulmane Ahmadiyya (qu’Allah l’enveloppe dans Sa miséricorde), a déclaré :

« La plus grande perte (chez ces gens qui soulèvent des objections à l’encontre de l’administration) est occasionnée dans leur foyer, s’ils en ont fait un repaire (pour de telles objections). Il y a en effet des gens qui vont chez d’autres pour tenir de telles réunions. Leurs enfants pourraient peut-être rester saufs, à condition qu’ils ne tiennent pas de tels propos dans leur propre demeure.

Mais pour ceux qui font de leurs maisons des lieux de telles rencontres, le décret divin suivant se manifeste, à moins qu’Allah n’en décide autrement : leurs enfants sont perdus. Ils peuvent eux-mêmes passer leur vie entière attachés à la Jama’at, tandis que les paroles qu’ils profèrent dans leurs maisons causent de telles maladies spirituelles chez leurs enfants que le résultat est la destruction de ces derniers. C’est ainsi que nous avons constaté que pour certains ahmadis, qui sont toujours restés personnellement liés à la Jama’at et qui ne pourraient jamais songer à la trahir et à s’en séparer — mais qui, à cause d’un sentiment de privation quelconque, ont toujours, chez eux, critiqué les administrateurs de la Jama’at — le résultat a été que leurs enfants ont été perdus ou ont quitté la Jama’at. Ou encore ces langues qu’ils avaient déliées librement à huis clos, ils ont commencé à avoir l’occasion également de les délier dehors, dans la rue, à devenir audacieux, à vivre ouvertement en tant que rebelles contre la Jama’at, tant et si bien que le décret d’Allah les a coupés et jetés en-dehors de la Jama’at. »