![\"Le_Messie_Promis_et_Mahdi\"](\"images\/stories\/Le_Messie_Promis_et_Mahdi.jpg\")
<\/p>\nHadrat Mirza Ghulam Ahmad (a.s)<\/em><\/h6>\nLe Messie Promis et Imam Al-Mahdi<\/em><\/h6>\n<\/p><\/div>\n\u00ab Selon la Shari\u2018ah islamique les facult\u00e9s des anges ne sont point sup\u00e9rieures aux facult\u00e9s de l\u2019homme ; au contraire les facult\u00e9s de l\u2019homme sont de loin sup\u00e9rieures \u00e0 celles des anges. Le fait que les anges jouent le r\u00f4le d\u2019interm\u00e9diaires dans le monde physique ou spirituel ne signifie point qu\u2019ils ont quelque sup\u00e9riorit\u00e9. Selon le Saint Coran, les anges sont tout simplement des serviteurs qui ont \u00e9t\u00e9 d\u00e9sign\u00e9s pour accomplir ces t\u00e2ches. \u00bb (Tawdih-e-Maram, Ruhani Khaza\u2019in, vol. 3, p. 74)<\/em><\/p>\n\u00ab Qu\u2019est-ce que cela veut dire : \u201cDes anges descendus du Ciel\u2026\u201d ? Qu\u2019ils sachent que la coutume divine exige que lorsqu\u2019un proph\u00e8te, messager ou saint descend du ciel pour r\u00e9former le peuple et le ramener vers la foi, des anges descendent aussi pour l\u2019accompagner. Ces anges p\u00e9n\u00e8trent dans des c\u0153urs pr\u00e9dispos\u00e9s, les attirent vers la vertu et continuent \u00e0 le faire jusqu\u2019\u00e0 ce que l\u2019incroyance et l\u2019\u00e9garement disparaissent et que commence \u00e0 poindre l\u2019aube de la croyance et de la droiture ; tout comme Dieu Tout-Puissant le dit Lui-m\u00eame dans le Saint Coran : \u00ab Durant celle-ci descendent les anges et l\u2019Esprit par le commandement de leur Seigneur \u2013 avec le d\u00e9cret divin concernant chaque chose. Tout est paix jusqu\u2019\u00e0 la naissance de l\u2019aube. \u00bb (Le Saint Coran, Al-Qadr, chap. 97, v. 5-6)<\/em><\/p>\nLa descente du Ciel, \u00e0 savoir, celui des anges et du Saint Esprit ne se fait que lorsqu\u2019un grand homme \u2013 portant le manteau du Califat et recevant la b\u00e9n\u00e9diction des r\u00e9v\u00e9lations divines \u2013 descend sur cette terre. Le Saint Esprit a la t\u00e2che sp\u00e9ciale d\u2019\u0153uvrer en faveur d\u2019un tel homme. \u00bb (Fath-e-Islam, Ruhani Khaza’in, vol.3, note de bas de page, p.12)<\/em><\/p>\nLa r\u00e9v\u00e9lation<\/h1>\n
\u00ab Lorsque, suite \u00e0 une pri\u00e8re de Son serviteur ou de Son propre d\u00e9sir, Dieu veut l\u2019informer d\u2019un fait de l\u2019invisible, Il engourdit les sens de celui-ci ou le fait sombrer dans un \u00e9tat d\u2019inconscience. Durant cette phase le serviteur n\u2019est plus conscient de sa propre existence, il est pr\u00e9cipit\u00e9 dans un \u00e9tat de torpeur, tel le plongeur qui s\u2019engloutit dans un abysse sans fonds. Lorsqu\u2019il sort de cette torpeur, \u00e0 l\u2019instar du plongeur qui refait surface, il entend au fond de lui certaines r\u00e9sonances. Et lorsque ces r\u00e9sonances s\u2019estompent peu \u00e0 peu, il entend en son fort int\u00e9rieur une parole exquise, subtile et harmonieuse. C\u2019est une exp\u00e9rience si prodigieuse qu\u2019il est impossible d\u2019en d\u00e9crire les merveilles ; voil\u00e0 ce qui se passe lorsqu\u2019un fleuve de savoir s\u2019ouvre \u00e0 l\u2019homme. Suite aux supplications incessantes de Son serviteur, Dieu le fait sombrer dans cette inertie et donne suite \u00e0 chacune de ses pri\u00e8res par des paroles exquises et douces ; et Il r\u00e9pond \u00e0 ses questions en lui r\u00e9v\u00e9lant des v\u00e9rit\u00e9s que l\u2019homme n\u2019est pas \u00e0 m\u00eame de d\u00e9couvrir par ses propres moyens. C\u2019est ainsi qu\u2019il affine davantage sa connaissance de Dieu, c\u2019est ainsi que son savoir s\u2019accro\u00eet. Les supplications de l\u2019homme et le fait que Dieu r\u00e9ponde \u00e0 chacune de ses pri\u00e8res par la manifestation de Sa divinit\u00e9, sont des exp\u00e9riences qui, dans une certaine mesure, permettent \u00e0 l\u2019homme de voir Dieu en ce bas monde. Et les deux mondes se rapprochent pour lui et ne font qu\u2019un. \u00bb (Bar\u0101hin-e-Ahmadiyyah, Ruhani Khaza’in, vol. 1, note de bas de page, p. 260-262)<\/em><\/p>\n\u00ab Le cinqui\u00e8me type de r\u00e9v\u00e9lation \u2013 qui n\u2019a aucun trait avec le c\u0153ur de l\u2019homme \u2013 prend la forme d\u2019une voix ext\u00e9rieure, comme celle d\u2019une personne qui parle derri\u00e8re un rideau. Mais cette voix est des plus exquises, des plus aimables ; le d\u00e9bit est rapide et les paroles envahissent le c\u0153ur d\u2019extase. L\u2019homme, plong\u00e9 dans les ab\u00eemes de ses pens\u00e9es, peut entendre soudainement cette voix dont la provenance le laisse perplexe. Surpris, il cherche autour de lui, mais il comprend en fin de compte que c\u2019est un ange qui a parl\u00e9. Cette voix ext\u00e9rieure apporte des bonnes nouvelles \u00e0 un moment o\u00f9 l\u2019int\u00e9ress\u00e9 est fort inquiet et tourment\u00e9 par un souci quelconque. \u00bb (Bar\u0101hin-e-Ahmadiyyah, Ruhani Khaza’in, vol. 1, note de bas de page, p. 287)<\/em><\/p>\n\u00ab Il a \u00e9t\u00e9 d\u00e9cr\u00e9t\u00e9 que celui qui poss\u00e8de une part de lumi\u00e8re recevra davantage de lumi\u00e8re. Celui qui n\u2019en poss\u00e8de pas du tout n\u2019en recevra point. Seul celui qui est dou\u00e9 d\u2019yeux charnels peut voir la lumi\u00e8re du soleil ; celui qui n\u2019en poss\u00e8de pas ne peut pas en profiter. De m\u00eame celui dont la lumi\u00e8re de la perception int\u00e9rieure est faible, recevra peu de lumi\u00e8re de l\u2019ext\u00e9rieur. Par contre, celui dont la lumi\u00e8re de la perception int\u00e9rieure est forte recevra davantage de lumi\u00e8re de l\u2019ext\u00e9rieur. \u00bb (Bar\u0101hin-e-Ahmadiyyah, Ruhani Khaza’in, vol. 1, note de bas de page, p. 195-196)<\/em><\/p>\n\u00ab Dieu a divis\u00e9 Son univers extraordinaire en trois parties : premi\u00e8rement le monde visible que l\u2019on peut saisir gr\u00e2ce \u00e0 ses yeux, ses oreilles, d\u2019autres organes sensoriels, ou indirectement, gr\u00e2ce \u00e0 des instruments ; deuxi\u00e8mement le monde int\u00e9rieur, que l\u2019on peut concevoir gr\u00e2ce \u00e0 l\u2019intelligence et la d\u00e9duction ; troisi\u00e8mement le monde \u00e9th\u00e9r\u00e9e qui ne peut \u00eatre saisit, qui se situe au-del\u00e0 des pens\u00e9es, un monde qui est connu de peu de gens. Ce troisi\u00e8me type de monde est invisible ; l\u2019esprit n\u2019est point capable de le saisir, et il peut au mieux \u00eatre imagin\u00e9. Seules les visions, les r\u00e9v\u00e9lations et inspirations sont capables de nous en \u00e9clairer. Il est \u00e9vident, \u00e0 la lumi\u00e8re de Ses lois immuables, que Dieu a donn\u00e9 \u00e0 l\u2019homme les aptitudes n\u00e9cessaires pour saisir les deux premiers mondes susmentionn\u00e9s. De m\u00eame, afin de conna\u00eetre le troisi\u00e8me type de monde, Il a dot\u00e9 l\u2019homme de ces instruments que sont la r\u00e9v\u00e9lation, l\u2019inspiration et les visions. \u00c0 aucun moment ces instruments ne sont-ils tomb\u00e9s en d\u00e9su\u00e9tude ; ceux qui remplissent les conditions n\u00e9cessaires en ont toujours profit\u00e9 et profiteront toujours. \u00bb (Surmah Chasm Arya, Ruhani Khaza’in, vol. 2, p. 128)<\/em><\/p>\nL\u2019\u00e2me<\/h1>\n
\u00ab Si ce sujet est cern\u00e9 de plus pr\u00e8s, l\u2019on entrevoit que le corps est pour ainsi dire la m\u00e8re de 1\u2019\u00e2me. L\u2019\u00e2me ne vient pas du dehors pour s\u2019\u00e9tablir \u00e0 1\u2019interieur de l\u2019ut\u00e9rus d\u2019une femme enceinte ; elle est plut\u00f4t une forme lumineuse, inh\u00e9rente au sperme, qui va commencer \u00e0 briller avec le d\u00e9veloppement embryonnaire. La Parole de Dieu le Tout-Puissant nous am\u00e8ne \u00e0 comprendre que l\u2019\u00e2me va tirer son origine de la charpente intra-ut\u00e9rine \u00e9labor\u00e9e a partir du sperme, tel que l\u2019affirme le Saint Coran:<\/p>\n
\u00ab Puis, Nous le d\u00e9veloppons en une nouvelle cr\u00e9ation. Aussi, b\u00e9ni soit Allah, le Meilleur des Cr\u00e9ateurs ! \u00bb (Le Saint Coran, Al-Mu’minun, chap. 23 <\/em><\/p>\nCela signifie que Dieu va gratifier le corps \u00e9labor\u00e9 dans la chambre ut\u00e9rine d\u2019une nouvelle cr\u00e9ation, ou encore, Dieu va cr\u00e9er quelque chose de nouveau au niveau du corps d\u00e9j\u00e0 \u00e9labor\u00e9 dans 1\u2019ut\u00e9rus, et cette nouvelle cr\u00e9ation s\u2019appelle l\u2019\u00e2me. Tr\u00e8s b\u00e9ni soit Allah, Cr\u00e9ateur sans \u00e9gal. \u00bb (Islami Usul Ki Filasafi, Ruhani Khaza’in, vol.10, p. 321)<\/em><\/p>\n\u00ab Comme un jardin ne peut rester verdoyant sans eau, de la m\u00eame mani\u00e8re, la foi ne peut subsister sans 1\u2019accomplissement de bonnes actions. S\u2019il y a la foi, mais pas d\u2019actions pieuses, cette foi-l\u00e0 est vaine. S\u2019il y a des actions pieuses, mais pas la foi, ce n\u2019est que du trompe-1\u2019oeil. La r\u00e9alit\u00e9 du paradis, tel qu\u2019il est pr\u00e9sent\u00e9 par l\u2019Islam, est qu\u2019il est le reflet de la foi et des oeuvres accomplies en ce monde d\u2019ici-bas ; le paradis n\u2019est pas quelque chose provenant d\u2019ailleurs que l\u2019on octroiera \u00e0 quelqu\u2019un. Le paradis se construit en notre for int\u00e9rieur. Le paradis de tout un chacun est sa foi et les bonnes oeuvres qu\u2019il accomplit ; et c\u2019est en ce monde d\u2019ici-bas qu\u2019il commence \u00e0 go\u00fbter aux d\u00e9lices du paradis. \u00bb (Islami Usul Ki Filasafi, Ruhani Khaza’in, vol.10, p. 390)<\/em><\/p>\nLa vie dans l\u2019Au-del\u00e0<\/h1>\n
\u00ab L\u2019Islam expose cette profonde philosophie \u00e0 savoir qu\u2019apr\u00e8s la mort l\u2019on sera dot\u00e9, dans sa tombe, d\u2019un corps apte \u00e0 ressentir plaisirs et souffrances. Nous ne pouvons sp\u00e9culer sur la mati\u00e8re qui composera ce corps ; car la charpente charnelle est vou\u00e9e \u00e0 dispara\u00eetre compl\u00e8tement. Personne non plus n\u2019a jamais vu le m\u00eame corps reprendre vie au fond de sa tombe. Aussi, dans nombre de cas les cadavres sont incin\u00e9r\u00e9s ; d\u2019autres sont expos\u00e9s dans des mus\u00e9es ; et d\u2019autres encore gisent, pour de longues p\u00e9riodes, en plein air hors de leurs tombes. Si le m\u00eame corps charnel \u00e9tait ramen\u00e9 \u00e0 la vie les gens l\u2019auraient vu. N\u00e9anmoins la r\u00e9surrection des morts est un point av\u00e9r\u00e9 selon le Saint Coran ; de ce fait nous devons conclure que l\u2019homme est ramen\u00e9 \u00e0 la vie dans un autre corps dont nous ne connaissons rien. Peut-\u00eatre que le nouveau corps est compos\u00e9 des particules du premier corps. Et les facult\u00e9s de l\u2019\u00e2me se raniment apr\u00e8s que celle-ci a trouv\u00e9 un nouveau corps. Et puisque le nouveau corps est plus subtil et \u00e9th\u00e9r\u00e9 que le premier, il re\u00e7oit, dans une plus grande mesure, des visions et des r\u00e9v\u00e9lations. \u00bb (Kitab-ul-Bariyyah, Ruhani Khaza’in, vol. 13, p. 70-71)<\/em><\/p>\nLe p\u00e9ch\u00e9<\/h1>\n
\u00ab Le p\u00e9ch\u00e9 est un poison qui surgit lorsque l\u2019homme ne pr\u00eate plus ob\u00e9issance \u00e0 Dieu, et lorsqu\u2019il s\u2019\u00e9carte de l\u2019amour ardent pour Dieu et de Son doux souvenir. L\u2019\u00e9tat de la personne dont le c\u0153ur est d\u00e9nu\u00e9 d\u2019amour \u00e0 l\u2019\u00e9gard de Dieu ressemble \u00e0 cet arbre d\u00e9racin\u00e9, incapable d\u2019absorber l\u2019eau de la terre, et qui se dess\u00e8che et se fl\u00e9trit de jour en jour. Telle une s\u00e9cheresse qui s\u00e9vit, le p\u00e9ch\u00e9 gagne peu \u00e0 peu de l\u2019emprise sur le c\u0153ur de l\u2019int\u00e9ress\u00e9. La loi naturelle de Dieu prescrit trois rem\u00e8des contre cette s\u00e9cheresse. Premi\u00e8rement, l\u2019amour. Deuxi\u00e8mement, l\u2019istighfar, qui signifie le d\u00e9sir de r\u00e9primer et de couvrir ; car tant que les racines de l\u2019arbre sont fermement implant\u00e9es au sol, il y aura de fortes chances que les branches seront verdoyantes. Le troisi\u00e8me rem\u00e8de est la tawbah<\/em> : c\u2019est-\u00e0-dire, se pencher en toute humilit\u00e9 vers Dieu afin de se d\u00e9salt\u00e9rer \u00e0 cette source salvatrice et vivifiante ; et se rapprocher de Dieu et s\u2019extirper des t\u00e9n\u00e8bres du p\u00e9ch\u00e9 en accomplissant des actes m\u00e9ritoires. La tawbah<\/em> n\u2019est point un exercice verbal ; elle doit \u00eatre perfectionn\u00e9e gr\u00e2ce aux bonnes \u0153uvres. En fait, toutes les bonnes \u0153uvres sont accomplies afin de parfaire la tawbah<\/em>. \u00bb (Siraj-ud-Din \u2018Isa’i ke char sawalon ka jawab, Ruhani Khaza’in, vol. 12, p. 328)<\/em><\/p>\nLe salut<\/h1>\n
\u00ab La doctrine du salut \u2013 qui comprend la crucifixion de J\u00e9sus Christ et la R\u00e9demption \u2013 que propose les \u00c9vangiles est rejet\u00e9 par le Saint Coran. Certes le Saint Coran affirme que J\u00e9sus Christ est un noble proph\u00e8te, qu\u2019il est un bien aim\u00e9 de Dieu et qu\u2019il est proche de Lui, mais il est pr\u00e9sent\u00e9 comme un simple \u00eatre humain. Selon le Saint Coran, afin de m\u00e9riter le salut il n\u2019est point n\u00e9cessaire au coupable de faire porter le fardeau de ses iniquit\u00e9s \u00e0 un innocent. La logique n\u2019accepte pas non plus que Pierre soit ch\u00e2ti\u00e9 pour le crime de Jacques. Aucun \u00e9tat n\u2019a jamais mis en application une telle loi. Mais il est malheureux de constater que les Aryas ont commis la m\u00eame erreur que les chr\u00e9tiens dans ce domaine et qu\u2019ils ont occult\u00e9 l\u2019essentiel. Car selon la doctrine des Aryas, la tawbah <\/em>et l\u2019istighfar n\u2019ont aucune r\u00e9alit\u00e9. Selon eux, l\u2019homme m\u00e9ritera le salut uniquement en passant par tous les cycles de transmigration de l\u2019\u00e2me prescrits pour le p\u00e9ch\u00e9 qu\u2019il a commis. \u00bb (Chashmah-e-Ma\u2018rifat, Ruhani Khaza’in, vol. 23, p. 414)<\/em><\/p>\nLa pri\u00e8re<\/h1>\n
\u00ab Quand les faveurs divines sont proches, Dieu manifeste les signes avant-coureurs de l\u2019exaucement de la pri\u00e8re. Le c\u0153ur est en \u00e9moi, il se met \u00e0 br\u00fbler et \u00e0 s\u2019embraser. Mais si l\u2019heure de l\u2019exaucement de la pri\u00e8re n\u2019a pas sonn\u00e9, le c\u0153ur ne ressent point cette b\u00e9atitude qui r\u00e9sulte d\u2019un retour vers Dieu ; et en d\u00e9pit de tout son acharnement, l\u2019int\u00e9ress\u00e9 n\u2019arrive pas \u00e0 faire revivre sa volont\u00e9 d\u00e9croissante. La raison en est que dans certains cas Dieu d\u00e9sire faire accepter Son d\u00e9cret, et dans d\u2019autres, Il conc\u00e8de \u00e0 Son serviteur l\u2019objet de ses pri\u00e8res. C\u2019est pour cette raison que je ne nourris pas d\u2019espoir quant \u00e0 l\u2019exaucement de mes pri\u00e8res tant que je n\u2019entrevois pas les signes pr\u00e9curseurs de l\u2019assentiment divin. Et en de telles occasions, je sens plus de plaisir en me soumettant au d\u00e9cret divin que j\u2019en aurai ressenti si ma pri\u00e8re avait \u00e9t\u00e9 accept\u00e9e. Car les fruits et les b\u00e9n\u00e9dictions de cette soumission au d\u00e9cret divin sont encore plus grands. \u00bb (Malfuzat, vol. 1 p. 460)<\/em><\/p>\n","protected":false},"excerpt":{"rendered":"Hadrat Mirza Ghulam Ahmad, le Messie Promis et Imam Al-Mahdi a comment\u00e9 sur l’existence des anges, de l’\u00e2me et sur la r\u00e9v\u00e9lation dans ses \u00e9crits. Ci-dessous sont quelques uns de ses dires \u00e0 ce sujet.<\/p>\n","protected":false},"author":1,"featured_media":352,"comment_status":"open","ping_status":"open","sticky":false,"template":"","format":"standard","meta":{"footnotes":""},"categories":[13],"tags":[116,115,60],"_links":{"self":[{"href":"https:\/\/islam-ahmadiyya.org\/wp-json\/wp\/v2\/posts\/370"}],"collection":[{"href":"https:\/\/islam-ahmadiyya.org\/wp-json\/wp\/v2\/posts"}],"about":[{"href":"https:\/\/islam-ahmadiyya.org\/wp-json\/wp\/v2\/types\/post"}],"author":[{"embeddable":true,"href":"https:\/\/islam-ahmadiyya.org\/wp-json\/wp\/v2\/users\/1"}],"replies":[{"embeddable":true,"href":"https:\/\/islam-ahmadiyya.org\/wp-json\/wp\/v2\/comments?post=370"}],"version-history":[{"count":0,"href":"https:\/\/islam-ahmadiyya.org\/wp-json\/wp\/v2\/posts\/370\/revisions"}],"wp:featuredmedia":[{"embeddable":true,"href":"https:\/\/islam-ahmadiyya.org\/wp-json\/wp\/v2\/media\/352"}],"wp:attachment":[{"href":"https:\/\/islam-ahmadiyya.org\/wp-json\/wp\/v2\/media?parent=370"}],"wp:term":[{"taxonomy":"category","embeddable":true,"href":"https:\/\/islam-ahmadiyya.org\/wp-json\/wp\/v2\/categories?post=370"},{"taxonomy":"post_tag","embeddable":true,"href":"https:\/\/islam-ahmadiyya.org\/wp-json\/wp\/v2\/tags?post=370"}],"curies":[{"name":"wp","href":"https:\/\/api.w.org\/{rel}","templated":true}]}}
\u00ab Selon la Shari\u2018ah islamique les facult\u00e9s des anges ne sont point sup\u00e9rieures aux facult\u00e9s de l\u2019homme ; au contraire les facult\u00e9s de l\u2019homme sont de loin sup\u00e9rieures \u00e0 celles des anges. Le fait que les anges jouent le r\u00f4le d\u2019interm\u00e9diaires dans le monde physique ou spirituel ne signifie point qu\u2019ils ont quelque sup\u00e9riorit\u00e9. Selon le Saint Coran, les anges sont tout simplement des serviteurs qui ont \u00e9t\u00e9 d\u00e9sign\u00e9s pour accomplir ces t\u00e2ches. \u00bb (Tawdih-e-Maram, Ruhani Khaza\u2019in, vol. 3, p. 74)<\/em><\/p>\n \u00ab Qu\u2019est-ce que cela veut dire : \u201cDes anges descendus du Ciel\u2026\u201d ? Qu\u2019ils sachent que la coutume divine exige que lorsqu\u2019un proph\u00e8te, messager ou saint descend du ciel pour r\u00e9former le peuple et le ramener vers la foi, des anges descendent aussi pour l\u2019accompagner. Ces anges p\u00e9n\u00e8trent dans des c\u0153urs pr\u00e9dispos\u00e9s, les attirent vers la vertu et continuent \u00e0 le faire jusqu\u2019\u00e0 ce que l\u2019incroyance et l\u2019\u00e9garement disparaissent et que commence \u00e0 poindre l\u2019aube de la croyance et de la droiture ; tout comme Dieu Tout-Puissant le dit Lui-m\u00eame dans le Saint Coran : \u00ab Durant celle-ci descendent les anges et l\u2019Esprit par le commandement de leur Seigneur \u2013 avec le d\u00e9cret divin concernant chaque chose. Tout est paix jusqu\u2019\u00e0 la naissance de l\u2019aube. \u00bb (Le Saint Coran, Al-Qadr, chap. 97, v. 5-6)<\/em><\/p>\n La descente du Ciel, \u00e0 savoir, celui des anges et du Saint Esprit ne se fait que lorsqu\u2019un grand homme \u2013 portant le manteau du Califat et recevant la b\u00e9n\u00e9diction des r\u00e9v\u00e9lations divines \u2013 descend sur cette terre. Le Saint Esprit a la t\u00e2che sp\u00e9ciale d\u2019\u0153uvrer en faveur d\u2019un tel homme. \u00bb (Fath-e-Islam, Ruhani Khaza’in, vol.3, note de bas de page, p.12)<\/em><\/p>\n \u00ab Lorsque, suite \u00e0 une pri\u00e8re de Son serviteur ou de Son propre d\u00e9sir, Dieu veut l\u2019informer d\u2019un fait de l\u2019invisible, Il engourdit les sens de celui-ci ou le fait sombrer dans un \u00e9tat d\u2019inconscience. Durant cette phase le serviteur n\u2019est plus conscient de sa propre existence, il est pr\u00e9cipit\u00e9 dans un \u00e9tat de torpeur, tel le plongeur qui s\u2019engloutit dans un abysse sans fonds. Lorsqu\u2019il sort de cette torpeur, \u00e0 l\u2019instar du plongeur qui refait surface, il entend au fond de lui certaines r\u00e9sonances. Et lorsque ces r\u00e9sonances s\u2019estompent peu \u00e0 peu, il entend en son fort int\u00e9rieur une parole exquise, subtile et harmonieuse. C\u2019est une exp\u00e9rience si prodigieuse qu\u2019il est impossible d\u2019en d\u00e9crire les merveilles ; voil\u00e0 ce qui se passe lorsqu\u2019un fleuve de savoir s\u2019ouvre \u00e0 l\u2019homme. Suite aux supplications incessantes de Son serviteur, Dieu le fait sombrer dans cette inertie et donne suite \u00e0 chacune de ses pri\u00e8res par des paroles exquises et douces ; et Il r\u00e9pond \u00e0 ses questions en lui r\u00e9v\u00e9lant des v\u00e9rit\u00e9s que l\u2019homme n\u2019est pas \u00e0 m\u00eame de d\u00e9couvrir par ses propres moyens. C\u2019est ainsi qu\u2019il affine davantage sa connaissance de Dieu, c\u2019est ainsi que son savoir s\u2019accro\u00eet. Les supplications de l\u2019homme et le fait que Dieu r\u00e9ponde \u00e0 chacune de ses pri\u00e8res par la manifestation de Sa divinit\u00e9, sont des exp\u00e9riences qui, dans une certaine mesure, permettent \u00e0 l\u2019homme de voir Dieu en ce bas monde. Et les deux mondes se rapprochent pour lui et ne font qu\u2019un. \u00bb (Bar\u0101hin-e-Ahmadiyyah, Ruhani Khaza’in, vol. 1, note de bas de page, p. 260-262)<\/em><\/p>\n \u00ab Le cinqui\u00e8me type de r\u00e9v\u00e9lation \u2013 qui n\u2019a aucun trait avec le c\u0153ur de l\u2019homme \u2013 prend la forme d\u2019une voix ext\u00e9rieure, comme celle d\u2019une personne qui parle derri\u00e8re un rideau. Mais cette voix est des plus exquises, des plus aimables ; le d\u00e9bit est rapide et les paroles envahissent le c\u0153ur d\u2019extase. L\u2019homme, plong\u00e9 dans les ab\u00eemes de ses pens\u00e9es, peut entendre soudainement cette voix dont la provenance le laisse perplexe. Surpris, il cherche autour de lui, mais il comprend en fin de compte que c\u2019est un ange qui a parl\u00e9. Cette voix ext\u00e9rieure apporte des bonnes nouvelles \u00e0 un moment o\u00f9 l\u2019int\u00e9ress\u00e9 est fort inquiet et tourment\u00e9 par un souci quelconque. \u00bb (Bar\u0101hin-e-Ahmadiyyah, Ruhani Khaza’in, vol. 1, note de bas de page, p. 287)<\/em><\/p>\n \u00ab Il a \u00e9t\u00e9 d\u00e9cr\u00e9t\u00e9 que celui qui poss\u00e8de une part de lumi\u00e8re recevra davantage de lumi\u00e8re. Celui qui n\u2019en poss\u00e8de pas du tout n\u2019en recevra point. Seul celui qui est dou\u00e9 d\u2019yeux charnels peut voir la lumi\u00e8re du soleil ; celui qui n\u2019en poss\u00e8de pas ne peut pas en profiter. De m\u00eame celui dont la lumi\u00e8re de la perception int\u00e9rieure est faible, recevra peu de lumi\u00e8re de l\u2019ext\u00e9rieur. Par contre, celui dont la lumi\u00e8re de la perception int\u00e9rieure est forte recevra davantage de lumi\u00e8re de l\u2019ext\u00e9rieur. \u00bb (Bar\u0101hin-e-Ahmadiyyah, Ruhani Khaza’in, vol. 1, note de bas de page, p. 195-196)<\/em><\/p>\n \u00ab Dieu a divis\u00e9 Son univers extraordinaire en trois parties : premi\u00e8rement le monde visible que l\u2019on peut saisir gr\u00e2ce \u00e0 ses yeux, ses oreilles, d\u2019autres organes sensoriels, ou indirectement, gr\u00e2ce \u00e0 des instruments ; deuxi\u00e8mement le monde int\u00e9rieur, que l\u2019on peut concevoir gr\u00e2ce \u00e0 l\u2019intelligence et la d\u00e9duction ; troisi\u00e8mement le monde \u00e9th\u00e9r\u00e9e qui ne peut \u00eatre saisit, qui se situe au-del\u00e0 des pens\u00e9es, un monde qui est connu de peu de gens. Ce troisi\u00e8me type de monde est invisible ; l\u2019esprit n\u2019est point capable de le saisir, et il peut au mieux \u00eatre imagin\u00e9. Seules les visions, les r\u00e9v\u00e9lations et inspirations sont capables de nous en \u00e9clairer. Il est \u00e9vident, \u00e0 la lumi\u00e8re de Ses lois immuables, que Dieu a donn\u00e9 \u00e0 l\u2019homme les aptitudes n\u00e9cessaires pour saisir les deux premiers mondes susmentionn\u00e9s. De m\u00eame, afin de conna\u00eetre le troisi\u00e8me type de monde, Il a dot\u00e9 l\u2019homme de ces instruments que sont la r\u00e9v\u00e9lation, l\u2019inspiration et les visions. \u00c0 aucun moment ces instruments ne sont-ils tomb\u00e9s en d\u00e9su\u00e9tude ; ceux qui remplissent les conditions n\u00e9cessaires en ont toujours profit\u00e9 et profiteront toujours. \u00bb (Surmah Chasm Arya, Ruhani Khaza’in, vol. 2, p. 128)<\/em><\/p>\n \u00ab Si ce sujet est cern\u00e9 de plus pr\u00e8s, l\u2019on entrevoit que le corps est pour ainsi dire la m\u00e8re de 1\u2019\u00e2me. L\u2019\u00e2me ne vient pas du dehors pour s\u2019\u00e9tablir \u00e0 1\u2019interieur de l\u2019ut\u00e9rus d\u2019une femme enceinte ; elle est plut\u00f4t une forme lumineuse, inh\u00e9rente au sperme, qui va commencer \u00e0 briller avec le d\u00e9veloppement embryonnaire. La Parole de Dieu le Tout-Puissant nous am\u00e8ne \u00e0 comprendre que l\u2019\u00e2me va tirer son origine de la charpente intra-ut\u00e9rine \u00e9labor\u00e9e a partir du sperme, tel que l\u2019affirme le Saint Coran:<\/p>\n \u00ab Puis, Nous le d\u00e9veloppons en une nouvelle cr\u00e9ation. Aussi, b\u00e9ni soit Allah, le Meilleur des Cr\u00e9ateurs ! \u00bb (Le Saint Coran, Al-Mu’minun, chap. 23 <\/em><\/p>\n Cela signifie que Dieu va gratifier le corps \u00e9labor\u00e9 dans la chambre ut\u00e9rine d\u2019une nouvelle cr\u00e9ation, ou encore, Dieu va cr\u00e9er quelque chose de nouveau au niveau du corps d\u00e9j\u00e0 \u00e9labor\u00e9 dans 1\u2019ut\u00e9rus, et cette nouvelle cr\u00e9ation s\u2019appelle l\u2019\u00e2me. Tr\u00e8s b\u00e9ni soit Allah, Cr\u00e9ateur sans \u00e9gal. \u00bb (Islami Usul Ki Filasafi, Ruhani Khaza’in, vol.10, p. 321)<\/em><\/p>\n \u00ab Comme un jardin ne peut rester verdoyant sans eau, de la m\u00eame mani\u00e8re, la foi ne peut subsister sans 1\u2019accomplissement de bonnes actions. S\u2019il y a la foi, mais pas d\u2019actions pieuses, cette foi-l\u00e0 est vaine. S\u2019il y a des actions pieuses, mais pas la foi, ce n\u2019est que du trompe-1\u2019oeil. La r\u00e9alit\u00e9 du paradis, tel qu\u2019il est pr\u00e9sent\u00e9 par l\u2019Islam, est qu\u2019il est le reflet de la foi et des oeuvres accomplies en ce monde d\u2019ici-bas ; le paradis n\u2019est pas quelque chose provenant d\u2019ailleurs que l\u2019on octroiera \u00e0 quelqu\u2019un. Le paradis se construit en notre for int\u00e9rieur. Le paradis de tout un chacun est sa foi et les bonnes oeuvres qu\u2019il accomplit ; et c\u2019est en ce monde d\u2019ici-bas qu\u2019il commence \u00e0 go\u00fbter aux d\u00e9lices du paradis. \u00bb (Islami Usul Ki Filasafi, Ruhani Khaza’in, vol.10, p. 390)<\/em><\/p>\n \u00ab L\u2019Islam expose cette profonde philosophie \u00e0 savoir qu\u2019apr\u00e8s la mort l\u2019on sera dot\u00e9, dans sa tombe, d\u2019un corps apte \u00e0 ressentir plaisirs et souffrances. Nous ne pouvons sp\u00e9culer sur la mati\u00e8re qui composera ce corps ; car la charpente charnelle est vou\u00e9e \u00e0 dispara\u00eetre compl\u00e8tement. Personne non plus n\u2019a jamais vu le m\u00eame corps reprendre vie au fond de sa tombe. Aussi, dans nombre de cas les cadavres sont incin\u00e9r\u00e9s ; d\u2019autres sont expos\u00e9s dans des mus\u00e9es ; et d\u2019autres encore gisent, pour de longues p\u00e9riodes, en plein air hors de leurs tombes. Si le m\u00eame corps charnel \u00e9tait ramen\u00e9 \u00e0 la vie les gens l\u2019auraient vu. N\u00e9anmoins la r\u00e9surrection des morts est un point av\u00e9r\u00e9 selon le Saint Coran ; de ce fait nous devons conclure que l\u2019homme est ramen\u00e9 \u00e0 la vie dans un autre corps dont nous ne connaissons rien. Peut-\u00eatre que le nouveau corps est compos\u00e9 des particules du premier corps. Et les facult\u00e9s de l\u2019\u00e2me se raniment apr\u00e8s que celle-ci a trouv\u00e9 un nouveau corps. Et puisque le nouveau corps est plus subtil et \u00e9th\u00e9r\u00e9 que le premier, il re\u00e7oit, dans une plus grande mesure, des visions et des r\u00e9v\u00e9lations. \u00bb (Kitab-ul-Bariyyah, Ruhani Khaza’in, vol. 13, p. 70-71)<\/em><\/p>\n \u00ab Le p\u00e9ch\u00e9 est un poison qui surgit lorsque l\u2019homme ne pr\u00eate plus ob\u00e9issance \u00e0 Dieu, et lorsqu\u2019il s\u2019\u00e9carte de l\u2019amour ardent pour Dieu et de Son doux souvenir. L\u2019\u00e9tat de la personne dont le c\u0153ur est d\u00e9nu\u00e9 d\u2019amour \u00e0 l\u2019\u00e9gard de Dieu ressemble \u00e0 cet arbre d\u00e9racin\u00e9, incapable d\u2019absorber l\u2019eau de la terre, et qui se dess\u00e8che et se fl\u00e9trit de jour en jour. Telle une s\u00e9cheresse qui s\u00e9vit, le p\u00e9ch\u00e9 gagne peu \u00e0 peu de l\u2019emprise sur le c\u0153ur de l\u2019int\u00e9ress\u00e9. La loi naturelle de Dieu prescrit trois rem\u00e8des contre cette s\u00e9cheresse. Premi\u00e8rement, l\u2019amour. Deuxi\u00e8mement, l\u2019istighfar, qui signifie le d\u00e9sir de r\u00e9primer et de couvrir ; car tant que les racines de l\u2019arbre sont fermement implant\u00e9es au sol, il y aura de fortes chances que les branches seront verdoyantes. Le troisi\u00e8me rem\u00e8de est la tawbah<\/em> : c\u2019est-\u00e0-dire, se pencher en toute humilit\u00e9 vers Dieu afin de se d\u00e9salt\u00e9rer \u00e0 cette source salvatrice et vivifiante ; et se rapprocher de Dieu et s\u2019extirper des t\u00e9n\u00e8bres du p\u00e9ch\u00e9 en accomplissant des actes m\u00e9ritoires. La tawbah<\/em> n\u2019est point un exercice verbal ; elle doit \u00eatre perfectionn\u00e9e gr\u00e2ce aux bonnes \u0153uvres. En fait, toutes les bonnes \u0153uvres sont accomplies afin de parfaire la tawbah<\/em>. \u00bb (Siraj-ud-Din \u2018Isa’i ke char sawalon ka jawab, Ruhani Khaza’in, vol. 12, p. 328)<\/em><\/p>\n \u00ab La doctrine du salut \u2013 qui comprend la crucifixion de J\u00e9sus Christ et la R\u00e9demption \u2013 que propose les \u00c9vangiles est rejet\u00e9 par le Saint Coran. Certes le Saint Coran affirme que J\u00e9sus Christ est un noble proph\u00e8te, qu\u2019il est un bien aim\u00e9 de Dieu et qu\u2019il est proche de Lui, mais il est pr\u00e9sent\u00e9 comme un simple \u00eatre humain. Selon le Saint Coran, afin de m\u00e9riter le salut il n\u2019est point n\u00e9cessaire au coupable de faire porter le fardeau de ses iniquit\u00e9s \u00e0 un innocent. La logique n\u2019accepte pas non plus que Pierre soit ch\u00e2ti\u00e9 pour le crime de Jacques. Aucun \u00e9tat n\u2019a jamais mis en application une telle loi. Mais il est malheureux de constater que les Aryas ont commis la m\u00eame erreur que les chr\u00e9tiens dans ce domaine et qu\u2019ils ont occult\u00e9 l\u2019essentiel. Car selon la doctrine des Aryas, la tawbah <\/em>et l\u2019istighfar n\u2019ont aucune r\u00e9alit\u00e9. Selon eux, l\u2019homme m\u00e9ritera le salut uniquement en passant par tous les cycles de transmigration de l\u2019\u00e2me prescrits pour le p\u00e9ch\u00e9 qu\u2019il a commis. \u00bb (Chashmah-e-Ma\u2018rifat, Ruhani Khaza’in, vol. 23, p. 414)<\/em><\/p>\n \u00ab Quand les faveurs divines sont proches, Dieu manifeste les signes avant-coureurs de l\u2019exaucement de la pri\u00e8re. Le c\u0153ur est en \u00e9moi, il se met \u00e0 br\u00fbler et \u00e0 s\u2019embraser. Mais si l\u2019heure de l\u2019exaucement de la pri\u00e8re n\u2019a pas sonn\u00e9, le c\u0153ur ne ressent point cette b\u00e9atitude qui r\u00e9sulte d\u2019un retour vers Dieu ; et en d\u00e9pit de tout son acharnement, l\u2019int\u00e9ress\u00e9 n\u2019arrive pas \u00e0 faire revivre sa volont\u00e9 d\u00e9croissante. La raison en est que dans certains cas Dieu d\u00e9sire faire accepter Son d\u00e9cret, et dans d\u2019autres, Il conc\u00e8de \u00e0 Son serviteur l\u2019objet de ses pri\u00e8res. C\u2019est pour cette raison que je ne nourris pas d\u2019espoir quant \u00e0 l\u2019exaucement de mes pri\u00e8res tant que je n\u2019entrevois pas les signes pr\u00e9curseurs de l\u2019assentiment divin. Et en de telles occasions, je sens plus de plaisir en me soumettant au d\u00e9cret divin que j\u2019en aurai ressenti si ma pri\u00e8re avait \u00e9t\u00e9 accept\u00e9e. Car les fruits et les b\u00e9n\u00e9dictions de cette soumission au d\u00e9cret divin sont encore plus grands. \u00bb (Malfuzat, vol. 1 p. 460)<\/em><\/p>\n","protected":false},"excerpt":{"rendered":" Hadrat Mirza Ghulam Ahmad, le Messie Promis et Imam Al-Mahdi a comment\u00e9 sur l’existence des anges, de l’\u00e2me et sur la r\u00e9v\u00e9lation dans ses \u00e9crits. 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