{"id":327,"date":"2011-04-10T12:40:15","date_gmt":"2011-04-10T11:40:15","guid":{"rendered":"https:\/\/islam-ahmadiyya.org\/les-compagnons-du-messie-promis-as-sermon-du-04-avril-2011\/"},"modified":"2020-12-28T18:30:12","modified_gmt":"2020-12-28T18:30:12","slug":"les-compagnons-du-messie-promis-as-sermon-du-04-avril-2011","status":"publish","type":"post","link":"https:\/\/islam-ahmadiyya.org\/les-compagnons-du-messie-promis-as-sermon-du-04-avril-2011\/","title":{"rendered":"Les compagnons du Messie Promis (a.s) – sermon du 08 avril 2011"},"content":{"rendered":"

Les compagnons du Messie Promis (a.s)<\/h1>\n

\ufeffpar Hadrat Mirza Masroor Ahmad<\/h4>\n

Dans son sermon du 8 avril 2011 Sa Saintet\u00e9 le Calife pr\u00e9senta quelques r\u00e9cits des premiers ahmadis dans lesquels ils y \u00e9voquent leur conversion et leur rencontre avec le Messie Promis (a.s). Leurs narrations mettent en exergue le statut de Hadrat Mirza Ghulam Ahmad (a.s)<\/a> ainsi que sa relation avec ses compagnons.<\/p>\n

Hadrat Hafiz Mohammad Ibrahim, qui pr\u00eata all\u00e9geance aux mains du Messie Promis (a.s) en 1900, eut connaissance de l\u2019Ahmadiyya par un certain Sayyed Bahawal Shah. Celui-ci lui pr\u00e9senta les livres du Messie Promis (a.s) et c\u2019est ainsi qu\u2019il s\u2019int\u00e9ressa \u00e0 l\u2019Ahmadiyya. Il rapporte qu’il vit en r\u00eave le Saint Proph\u00e8te Muhammad (s.a.w) et lui demanda si Hadrat Mirza Ghulam Ahmad (a.s) \u00e9tait le messie qu\u2019il avait proph\u00e9tis\u00e9. Le Saint Proph\u00e8te Muhammad (s.a.w)<\/a> r\u00e9pondit affirmativement et sur ce Hafiz Mohammad Ibrahim \u00e9crivit \u00e0 Hadrat Mirza Ghulam Ahmad (a.s) pour lui pr\u00eater all\u00e9geance.<\/p>\n

Hadrat Khalil Ur Rahman embrassa l\u2019Ahmadiyya en 1896, il \u00e9tait alors \u00e2g\u00e9 de 14 ans. Il visita le Messie Promis (a.s)<\/a> pour la premi\u00e8re fois en 1898. Au cours de son s\u00e9jour \u00e0 Qadian il eut l’occasion se tenir \u00e0 c\u00f4t\u00e9 du Messie Promis (a.s)<\/a> lors des cinq pri\u00e8res quotidiennes. Apr\u00e8s les pri\u00e8res le Messie Promis (a.s) s’asseyait parmi ses compagnons pour leur prodiguer des conseils. M. Khalil Ur Rahman raconte qu’\u00e9tant tout jeune il n\u2019osa jamais poser des questions au Messie Promis (a.s)<\/a> ; son seul plaisir \u00e9tait de l’\u00e9couter respectueusement. Un jour on invita le Messie Promis (a.s)<\/a> \u00e0 venir visiter l’imprimerie. Celui-ci r\u00e9pondit qu’il \u00e9tait fort embarrass\u00e9 par la pr\u00e9sence du narguil\u00e9 qui s\u2019y trouvait, m\u00eame s’il ne ressentait aucune r\u00e9pugnance \u00e0 l’\u00e9gard de ceux qui l\u2019utilisaient. Le Messie Promis (a.s)<\/a> ajouta : \u00ab D\u2019autres dont la bouche sent le vin se pr\u00e9sentent pour me pr\u00eater all\u00e9geance ; je ne nourris aucune antipathie \u00e0 leur \u00e9gard car je sais que s’ils profitent de ma compagnie Dieu les purifiera certainement et en fera des Muttaqui. \u00bb<\/p>\n

Hafiz Ghulam Rasul pr\u00eata all\u00e9geance aux mains du Messie Promis (a.s)<\/a> en 1897. Il relate qu’un jour le Messie Promis (a.s)<\/a> d\u00e9clara que ceux qui \u00e9tudient l’anglais dans l’\u00e9cole qu’il avait fond\u00e9e se consacrent aux affaires de ce monde une fois leurs \u00e9tudes termin\u00e9es au lieu de pr\u00eacher le message de Dieu tout comme il le d\u00e9sirait. Il annon\u00e7a sur ce qu’il d\u00e9sire fonder une \u00e9cole \u00e0 vocation religieuse et demanda aux gens pr\u00e9sents d’y inscrire leurs enfants. Hafiz Ghulam Rasul lui confia tout de suite son fils Obeidullah, \u00e2g\u00e9 alors de sept ou huit ans. Apr\u00e8s ses \u00e9tudes sup\u00e9rieures, le deuxi\u00e8me calife envoya Hafiz Obeidullah comme missionnaire \u00e0 l’\u00eele Maurice. Il d\u00e9c\u00e9da apr\u00e8s sept ans de service et fut inhum\u00e9 \u00e0 l\u2019\u00eele Maurice. Le deuxi\u00e8me calife lui conf\u00e9ra le titre de premier martyr de l’Inde.<\/p>\n

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{wd file=images\/stories\/audio\/sermon_08_04_2011.mp3 name=’T\u00e9l\u00e9chargez la version mp3 du sermon’}<\/p><\/div>\n

Hafiz Ghulam Rasul raconte qu’il \u00e9tait fort troubl\u00e9 lorsqu’un vendredi le Messie Promis (a.s)<\/a> lui demanda de diriger la pri\u00e8re de Jumu\u2019ah. Il se disait un p\u00e9cheur comme lui pourrait se mettre debout devant l’envoy\u00e9 de Dieu et pr\u00e9senter un sermon. Il chercha \u00e0 \u00e9viter cette situation mais en vain ; en fin de compte \u00e0 l’heure de la pri\u00e8re le Messie Promis (a.s)<\/a> l’encouragea \u00e0 se mettre debout en lui disant qu’il prierait pour lui. Hafiz Ghulam Rasul pronon\u00e7a son sermon et petit \u00e0 petit il parla avec plus conviction. Apr\u00e8s cet incident il ne sentit jamais aucune h\u00e9sitation \u00e0 prendre la parole au cours des d\u00e9bats ou pour des discours.<\/p>\n

Les adversaires de la communaut\u00e9 Ahmadiyya<\/a> intent\u00e8rent un faux proc\u00e8s \u00e0 Hafiz Ghulam Rasul et celui-ci perdit sa maison. Il en informa le Messie Promis (a.s)<\/a> qui d\u00e9clara qu’il ne doit pas s’en faire car il avait donn\u00e9 sa maison pour la cause de Dieu et Celui-ci lui accordera une meilleure. Par la suite il s’\u00e9tablit \u00e0 Qadian : il y fonda une famille et Dieu lui accorda une plus grande demeure que celle qu\u2019il avait perdu.<\/p>\n

Apr\u00e8s le d\u00e9c\u00e8s du Messie Promis (a.s)<\/a> Khawja Kamaluddin avan\u00e7a que l’on doit fermer la Madrassah Ahmadiyya, car il n\u2019en sortira que des mollahs ; et que la t\u00e2che de la pr\u00e9dication revenait \u00e0 lui et \u00e0 ceux de sa cat\u00e9gorie. Sur ce Hadrat Mirza Bashir Ud Din (r.a) r\u00e9pliqua que la Madrassah Ahmadiyya fut fond\u00e9e par le Messie Promis (a.s)<\/a>, qu’elle ne sera pas ferm\u00e9e et qu’elle produira des \u00e9rudits qui pr\u00eacheront le message de la v\u00e9rit\u00e9 dans le monde. Khawja Kamaluddin \u00e9tait bouche b\u00e9e et ne savait quoi dire. En tout cas il avait compris que lui et ses comp\u00e8res ne r\u00e9ussiront pas dans leur tentative.<\/p>\n

Un jour on sugg\u00e9ra au Messie Promis (a.s)<\/a> d\u2019\u00e9crire un nouveau commentaire du Saint Coran car les anciens tafasir<\/em> ne r\u00e9pondent pas aux questions contemporaines. Sur ce le Messie Promis (a.s)<\/a> r\u00e9pondit qu’il avait comment\u00e9 \u2013 selon les exigences de l’\u00e9poque \u2013 sur tous les versets qui m\u00e9ritaient quelques interpr\u00e9tations. Si le besoin se fera sentir Dieu donnera naissance \u00e0 quelqu’un d’autre pour r\u00e9pondre \u00e0 ceux qui critiqueraient le Saint Coran \u00e0 l’avenir.<\/p>\n

\"Minaret-Qadian\"<\/div>\n

Khan Munshi Barkat Ali Saheb raconte qu’il entendit parler du Messie Promis (a.s)<\/a> lors de son s\u00e9jour \u00e0 Shimla, o\u00f9 il avait des ahmadis comme voisins. M\u00eame s’il critiquait leurs croyances avec v\u00e9h\u00e9mence il n’insulta jamais les ahmadis. Mais petit \u00e0 petit il comprit o\u00f9 se trouvait la v\u00e9rit\u00e9 et il fut int\u00e9ress\u00e9 par le d\u00e9bat entre le Messie Promis (a.s)<\/a> et Pir Mehr Ali Shah. Le Messie Promis (a.s)<\/a> lan\u00e7a le d\u00e9fi suivant \u00e0 son adversaire : chacun choisira au hasard un chapitre du Saint Coran sur lequel il devra \u00e9crire un commentaire en langue arabe. Ainsi les gens pourront distinguer le v\u00e9ridique du menteur, car le Saint Coran d\u00e9clare : \u00ab ..nul ne [le] touchera (le Saint Coran) sauf ceux qui sont purifi\u00e9s. \u00bb (Le Saint Coran, chapitre 56, verset 80)<\/em> L\u2019imposteur ou le fourbe ne comprendra jamais les v\u00e9rit\u00e9s coraniques.<\/p>\n

Pir Mehr Ali Shah ne releva pas le d\u00e9fi du Messie Promis (a.s)<\/a> ; il se contenta de publier des articles dans lesquels il cita \u00e0 tort et \u00e0 travers les \u00e9crits du Messie Promis (a.s)<\/a>, essayant de le faire passer pour un apostat. Khan Munshi Saheb \u00e9tudia les arguments des deux protagonistes ; et lorsqu’il lut les textes originaux du Messie Promis (a.s)<\/a> il comprit que Pir Mehr Ali Shah les avait cit\u00e9s hors contexte. Le Messie Promis (a.s)<\/a> \u00e9crivit l’ouvrage \u2018Ijaz-ul-Masih<\/em> pour lui lancer un nouveau d\u00e9fi. Pir Mehr Ali Shah se contenta de pr\u00e9senter un livre en langue ourdou, qui n’\u00e9tait qu’un plagiat [d\u2019un autre livre].<\/p>\n

Hadrat Khan Munshi Barkat Ali Saheb \u00e9tudia le Saint Coran et constata qu’il s\u2019y trouve nombreux versets qui prouvent la mort de J\u00e9sus-Christ<\/a>. N’ayant pas encore pr\u00eat\u00e9 all\u00e9geance au Messie Promis (a.s)<\/a> en 1901, il d\u00e9clara quand m\u00eame qu’il \u00e9tait ahmadi lors du recensement de la m\u00eame ann\u00e9e. Il vit en r\u00eave que le Messie Promis (a.s)<\/a> lui demandait : \u00ab Barkat Ali quand viendras-tu te joindre \u00e0 nous ? \u00bb Quelques jours apr\u00e8s il envoya sa lettre d’all\u00e9geance au Messie Promis (a.s).<\/p>\n

Il \u00e9tait pr\u00e9sent pour le dernier Jalsa Salana du Messie Promis (a.s)<\/a> ; cette ann\u00e9e-l\u00e0 il y avait entre 600 et 700 participants. Et le Messie Promis (a.s)<\/a> demanda \u00e0 ses suivants de sortir dans les rues de Qadian afin que les non musulmans puissent t\u00e9moigner de l’accomplissement de ses proph\u00e9ties. Hadrat Khan Munshi Saheb pr\u00e9senta un article au sujet des droits de l’homme au Messie Promis (a.s)<\/a> dans le contexte de la r\u00e9bellion au Bengale et lui demanda de le faire publier s\u2019il le jugeait bon. Le Messie Promis (a.s)<\/a> d\u00e9couragea fortement la r\u00e9bellion, demanda \u00e0 ses suivants de faire preuve de fid\u00e9lit\u00e9 [envers l\u2019\u00e9tat] et il fit publier l\u2019article dans le journal Al-Badr.<\/p>\n

Les voisins hindous et non musulmans demand\u00e8rent aux autorit\u00e9s d’interdire la construction du minaret \u00e0 Qadian. Le Messie Promis (a.s)<\/a> d\u00e9clara que cette construction se fera car tel \u00e9tait le d\u00e9cret de Dieu et personne ne pourra l’arr\u00eater.<\/p>\n

Un jour Barkat Ali Saheb demanda au Messie Promis (a.s)<\/a> s’il lui \u00e9tait permis de participer dans une loterie comme il le faisait avant d’\u00eatre ahmadi. Le Messie Promis (a.s)<\/a> r\u00e9pondit que ces gains \u00e9taient illicites. Et Barkat Ali confia une partie de la somme qu\u2019il avait remport\u00e9e pour la publication [des ouvrages de la communaut\u00e9] et donna une autre partie en aum\u00f4ne.<\/p>\n

Muhammad Akbar Saheb pr\u00eata all\u00e9geance aux mains du Messie Promis (a.s) en 1905 et le visita au cours de la m\u00eame ann\u00e9e. Il habitait \u00e0 Deraghazi Khan o\u00f9 la djama\u2019at Ahmadiyya avait restaur\u00e9 une mosqu\u00e9e abandonn\u00e9e, qu’elle utilisait pour les pri\u00e8res. Un mollah vint habiter dans le m\u00eame quartier et utilisa la mosqu\u00e9e comme madrassah et incita les gens du voisinage \u00e0 en expulser les ahmadis. Lui et ses fid\u00e8les y priaient s\u00e9par\u00e9ment ; il l\u2019utilisait aussi pour ses pr\u00eaches. Un a\u00een\u00e9 de la famille de Muhammad Akbar, qui \u00e9tait hostile envers les ahmadis, informa la police que la situation entre les deux groupes pourrait d\u00e9g\u00e9n\u00e9rer et que l’on devrait prendre une caution de chaque partie concern\u00e9e afin d’\u00e9viter toute altercation. Muhammad Akbar Saheb en informa le Messie Promis (a.s)<\/a>, \u00e9voqua aussi l’hostilit\u00e9 dont il \u00e9tait l’objet et que son grand-p\u00e8re en voulait \u00e0 sa vie. \u00ab Ne craignez rien, la suite sera en votre faveur \u00bb, fut en somme la r\u00e9ponse du Messie Promis (a.s)<\/a>. Il leur enjoignit aussi de ne pas se porter garant pour quoi que ce soit et d’abandonner la mosqu\u00e9e s’ils \u00e9taient contraints de le faire.<\/p>\n

Quelques jours apr\u00e8s avoir re\u00e7u la r\u00e9ponse du Messie Promis (a.s)<\/a> le grand-p\u00e8re d\u00e9c\u00e9da et l’affaire fut confi\u00e9e \u00e0 un haut grad\u00e9 de la police qui demanda \u00e0 un musulman de servir d’interm\u00e9diaire entre les ahmadis et les autres afin de les r\u00e9concilier. Ses efforts furent sans succ\u00e8s. Et quelques temps apr\u00e8s la rivi\u00e8re Sindh sortit de son lit et inonda la partie o\u00f9 se trouvait la mosqu\u00e9e ; celle-ci s\u2019\u00e9croula sous la force des eaux. Lors de la reconstruction de la ville les ahmadis eurent l’occasion de b\u00e2tir la toute premi\u00e8re mosqu\u00e9e.<\/p>\n

Hadrat Nizam-Ud-Din raconta que le Messie Promis (a.s)<\/a> visita la r\u00e9gion de Sialkot en 1904. Il dit \u00e0 ses suivants que leurs adversaires vont les provoquer en l\u2019insultant, mais qu’ils ne devront pas r\u00e9pondre aux injures par des injures. Sinon ils seront eux-m\u00eames responsables des insultes que les autres vont prof\u00e9rer \u00e0 l’encontre du Messie Promis (a.s)<\/a>.<\/p>\n

Selon Hadrat Munshi Abdullah lorsque le Messie Promis (a.s)<\/a> quitta Sialkot il demanda la liste des noms de tous ceux qui firent souffrir les ahmadis. Apr\u00e8s son d\u00e9part une \u00e9pid\u00e9mie de peste des plus virulentes frappa la ville et d\u00e9truisit les familles des adversaires des ahmadis.<\/p>\n

Hadrat Mohammad Yahya Khan raconte que son p\u00e8re embrassa l\u2019Ahmadiyya en en 1889 \u00e0 Ludhiana. En 1892 il visita Qadian et \u00e9voqua le sens de l’hospitalit\u00e9 du Messie Promis (a.s)<\/a>. Il disait que lors de sa premi\u00e8re visite il n’y avait que six personnes qui priaient le vendredi en compagnie du Messie Promis (a.s)<\/a>, mais quelques ann\u00e9es plus tard le nombre des fid\u00e8les augmenta si consid\u00e9rablement que la mosqu\u00e9e, m\u00eame \u00e9largie, ne suffisaient plus et les gens \u00e9taient contraints de prier sur les toits des maisons avoisinantes. Selon son p\u00e8re c’\u00e9tait un miracle de Dieu.<\/p>\n

Qu’Allah exalte le statut de ces illustres personnages ; que l’esprit de l’Ahmadiyya soit toujours vivant en leurs descendants et qu’Il accorde l’occasion aux ahmadis de se r\u00e9former et de renforcer leur foi. Qu\u2019ils puissent grandir dans leur amour pour la foi et qu\u2019ils soient enclins \u00e0 mettre en pratique les pr\u00e9ceptes du Saint Coran.<\/p>\n


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(Le site www.islam-ahmadiyya.org<\/a> prend l\u2019enti\u00e8re responsabilit\u00e9 de la publication de ce r\u00e9sum\u00e9)<\/h4>\n","protected":false},"excerpt":{"rendered":"

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