Sermons 2017

Bénédictions de la Jalsa Salana de l’Allemagne

Dans son sermon du 01 septembre 2017, Sa Sainteté le Calife a évoqué les bénédictions découlant de la conférence annuelle, tenue récemment en Allemagne.

 Sermon du vendredi 01 septembre 2017, prononcé par Sa Sainteté le Calife, Hadrat Mirza Masroor Ahmad, à la mosquée Baitul-Futuh à Londres. Après le Ta’awudh, le Tashahoud et la Sourate Al-Fatiha, Sa Sainteté le Calife a déclaré :

Allah, de par Sa grâce, a réuni le monde de l’Ahmadiyya et l’a mis au courant, par l’entremise de la MTA, du fait que désormais, pour être tenu au fait des tournées du Calife et des informations à ce propos, il ne faut plus patienter longtemps ou attendre [la parution] des journaux de la Jama’at. On reçoit toutes les nouvelles instantanément et on suit [en direct] tous les événements. À certaines occasions on reçoit instantanément des commentaires et les ressentis des téléspectateurs sur les discours de la Jalsa et son atmosphère.

En tout cas, comme tout le monde le sait, la Jalsa Salana de l’Allemagne s’est tenue quelques jours auparavant. On m’a écrit à ce propos ; et en effet dans la plupart des cas on m’envoie des commentaires sur des événements organisés dans différents pays, là où je suis présent. Des gens évoquent leurs sentiments eu égard à ces événements en particulier. On évoque différentes émotions à ce propos, ce qui nous pousse à remercier et à louer Allah le Très-Haut, Qui nous a accordé cette faveur et Qui a, par ce faire, uni cette Jama’at du Messie Promis (a.s.) et ainsi nous présente-t-Il la belle image [de perles] réunies dans un collier.

Ainsi, d’une part nous devons remercier Dieu, et d’autre part nous devons remercier les travailleurs de la MTA, parmi lesquels des bénévoles ainsi que des travailleurs permanents. Ces gens sont soit derrière les caméras, soit assis dans la [centrale de] télédiffusion, soit occupé dans d’autres tâches : nombre de bénévoles sont là pour préparer et pour envoyer des émissions, en sus de ceux qui sont assis dans le studio. Certains travailleurs m’accompagnent lorsque je pars en tournée en apportant tous leurs équipements et le matériel pour la liaison satellite montante. Et les bénévoles du pays concerné participent aussi [dans ces diffusions]. En Allemagne se trouve une équipe de bénévoles et de travailleurs permanents qui préparent différentes émissions intéressantes. Qu’Allah les récompense tous. Les gens m’écrivent priant qu’Allah bénisse les bénévoles de la MTA, et en les remerciant.

De même, il y a d’autres personnes qui servent volontairement lors de la Jalsa Salana : ils ont œuvré matin et soir afin de servir les invités. À présent ils se comptent par milliers dans les grands pays, dont des hommes et des femmes, des jeunes hommes et des jeunes femmes, ainsi que des garçons et des filles. Ils travaillent avec un esprit qui est connu uniquement au sein de la Jama’at Ahmadiyya. Nous en avons fait le constat quelques semaines de cela, ici lors de la Jalsa Salana du Royaume-Uni : et nous avons la même chose lors de celle de l’Allemagne. Comme je le dis souvent, tous les participants doivent remercier ces bénévoles qui avec dévouement servent lors de la Jalsa en toute abnégation afin de plaire à Allah l’Exalté.

Cette conduite des bénévoles est un Tabligh silencieux pour les invités non-musulmans ou non-ahmadis. On envoie des commentaires sur les déroulements de la Jalsa qui sont diffusés sur la MTA. On profite et on tire plaisir de ces émissions. Or, les impressions et les émotions des invités présents à la Jalsa ainsi que leurs opinions sur les services de bénévoles n’ont pu être relayés lors de la Jalsa et on ne peut pas en être au courant par d’autres moyens. Ces bénévoles, en sus d’effectuer leurs services, accomplissent le travail de Muballighs silencieux. Ni les écrans de la MTA ni les présentateurs ne peuvent rendre justice à ces impressions. De même, les participants de la Jalsa laissent une bonne impression sur les invités grâce à leur comportement et ces derniers en font mention par la suite. Ainsi, il est important de présenter ces impressions et ces ressentis de la Jalsa. Je les présente afin que les ahmadis du monde sachent à quel point la Jalsa laisse une empreinte extraordinaire sur les invités étrangers ; et afin que les participants et les bénévoles sachent comment leur conduite rapproche imperceptiblement les étrangers des beaux préceptes de l’islam.

Pour le sermon d’aujourd’hui je mentionnerai à cet égard les ressentis des invités de différents pays afin que nous soyons aussi au courant de ces bénédictions de la Jalsa, afin que nous puissions être davantage reconnaissants envers Allah le Très-Haut, et que nous puissions nous réformer davantage.

Un musulman d’origine arabe du nom de Khalid Miad travaille pour la Croix Rouge. Il était présent cette année pour la Jalsa de l’Allemagne. Il relate : « Quand mes amis non-musulmans critiquaient l’islam je ne savais comment le défendre en raison de la haine mutuelle et des querelles entre les musulmans. Or, lors de votre Jalsa j’ai constaté la paix et l’affection individuelles et collectives qui règnent au sein de votre Jama’at ainsi que votre unité. J’ai vu l’amour et l’obéissance de vos membres à l’égard du Calife. Je suis fier d’avoir pu voir de mes yeux une communauté dont les membres aspirent à la paix et dont les réunions sont organisées. Je pourrais, avec confiance, présenter votre exemple à mes amis non-musulmans et répondre ainsi à leurs critiques contre l’islam.

Un Allemand nommé Michaël Ficher était présent pour la Jalsa. Il relate : « Avant de venir, je lisais dans les journaux que les ahmadis étaient des gens paisibles, or je me disais que beaucoup d’autres personnes affirmaient aspirer à la paix. Ici, j’ai constaté de visu que la Jalsa est le seul événement présentant l’application pratique de ces déclarations aspirant à la paix. Les participants, lors de cette rencontre, se comportent paisiblement et ils accueillent, les bras ouverts, les invités. Il est fort étonnant de voir un si grand calme dans une si grande rencontre. Généralement, quand cinq cents personnes se réunissent, il y a toujours du chambard. Je confirme, après avoir participé à la Jalsa et après avoir constaté de visu cette atmosphère de paix, que vos revendications quant à vos efforts en faveur de la paix sont avérées. »

Une invitée allemande est en contact permanent avec la Jama’at et elle était présente lors de la cérémonie d’allégeance pendant la Jalsa. Elle raconte : « J’ai eu des réponses à chacune de mes questions. J’ai l’impression que je ne serai plus, pour longtemps, une invitée à cette rencontre. Je souhaite à présent faire la bai’ah et me joindre à la Jama’at. »

Une invitée du nom de Maria José est originaire de l’Amérique du Sud. Elle étudie à Berlin. Elle présente ses impressions en ces termes : « J’ignorais tout de l’islam et de l’Ahmadiyya dans le passé. J’ai connu la Jama’at grâce à l’épouse du missionnaire du Paraguay et j’ai su à propos de la Jalsa de la communauté Ahmadiyya en Allemagne et j’ai décidé d’y participer. J’ai été fort étonnée de voir la coexistence de gens d’une si grande multitude de nationalités et de couleurs. La paix et la sérénité régnaient partout. Tout le monde était serein et il n’y avait aucune peur. Participer à un événement aussi paisible était pour moi une expérience unique. De retour à Berlin je contacterai la mosquée de la Jama’at et je renforcerai davantage ma relation avec cette dernière. En venant parmi vous j’ai ressenti une grande quiétude au fond de moi. »

Trois Macédoniennes travaillant pour un organisme d’assistance sociale étaient aussi présentes. L’une d’entre elle a fait le commentaire suivant : « Beaucoup de musulmans vivent autour de nous en Macédoine. Or, l’islam et la coexistence que nous avons vus ici a dépassé notre attente. Nous avons vu vos membres, vos enseignements ainsi que votre leadership et quand nous retournerons dans notre pays nous présenterons votre Jama’at aux autres musulmans. Cette communauté ainsi que sa Jalsa sont un exemple pour les autres musulmans. Cette communauté œuvrant en faveur de la paix et organisée est digne de représenter les musulmans à l’échelle internationale. Nous sommes venus ici suite à l’invitation de quelqu’un, mais nous espérons venir ici la prochaine fois avec des invités et nous présenterons nous-même votre communauté aux musulmans de la Macédoine. »

C’est ainsi qu’Allah ouvre les voies pour le Tabligh.

Un chrétien de la Lettonie était lui aussi présent. Il est étudiant et s’intéresse de près à la religion. Il relate : « Je porte un grand intérêt à la question religieuse. C’est pour cette raison que j’ai étudié vos enseignements : j’ai vu à présent son exemple pratique. Vos préceptes et vos actions sont positifs et attirants. J’ai ressenti chez les participants de la Jalsa une ardeur spirituelle. »

Il incombe à présent aux ahmadis qui ont participé à la Jalsa de perpétuer l’engouement spirituel ressenti par ces invités lors de la Jalsa.

Madame Augustine, une journaliste lettone raconte : « Je travaille, depuis les six derniers mois sur un projet d’études sur les différentes communautés de l’islam. Pour ce faire, j’étais aussi partie à Istanbul et j’y ai rencontré les différentes sectes de l’islam. Or, je n’ai pas de mots pour décrire mes sentiments quand j’ai rencontré l’Imam de la Jama’at Ahmadiyya. Lors de l’audience que j’ai eue avec lui je lui ai demandé quelle est la solution au « Mollahisme » et à l’extrémisme. En deux mots il a présenté une réponse complète à cette question difficile notamment que l’unique solution réside dans la présentation des véritables préceptes de l’Islam. Sans nul doute, commente-t-elle, la solution réside dans ces véritables enseignements. »

C’est le Messie Promis (a.s.), le serviteur parfait du Saint Prophète Muhammad (s.a.w.), qui nous l’a présenté. Les ahmadis ne doivent pas se contenter d’être fiers des impressions de ces invités : nous devrons, au contraire, tenter de nous améliorer à tout instant.

Loli Diaz, professeure à l’université de Cordoue, était aussi présente lors de la Jalsa. Elle fait part de son ressenti en ces termes : « C’est la première fois que j’ai participé à une si grande rencontre de musulmans. Voir de près l’Imam de la Jama’at Ahmadiyya était pour moi une expérience des plus merveilleuses que je n’oublierai jamais. Mes propos ne peuvent décrire mes sentiments. Je suis certaine que cette communauté ainsi que son Calife sont différents des autres musulmans : je ressens cette distinction en mon âme. »

Ainsi, tous les ahmadis qui y ont participé ont laissé un effet sur sa personne. Cette année-ci une délégation de plus de quarante personnes était présente, venant de la Bosnie. Dix-huit parmi eux étaient des ahmadis et les vingt-huit autres comprenaient des personnes à qui l’on est en train de présenter le message de l’Ahmadiyya. Madame Jasmina, membre de la délégation, est aussi présidente d’une ONG. Elle a connu la Jama’at quelque temps de cela et elle est venue dans sa voiture, parcourant une distance de 1200 kilomètres. Elle relate : « En voyant l’organisation grandiose de la Jalsa, je me suis demandé, toute étonnée : « Qui sont ces gens ? » Je n’ai vu aucune lacune dans l’organisation de la Jalsa. »

Ainsi les services rendus par les bénévoles touchent profondément les invités.

Najat est un politicien très connu de la communauté romaine de la Bosnie. Il est un intellectuel et aussi membre du conseil de la ville de Tuzla. Il relate : « L’organisation de la Jalsa était hors pair. Je n’ai jamais participé à un événement pareil dans le passé ; ce fut pour moi source de leçons sous différents angles. En voyant la sincérité des bénévoles, je me suis dit qu’ils sont très fermes dans leur foi et que la concordance entre leurs paroles et leurs actes est le secret de leur progrès. C’est leur lien avec le Califat qui en est la cause. »

Ainsi, grâce à leur participation, ces invités se débarrassent des concepts erronés et de la peur qu’ils entretiennent à propos du Califat. Il incombe à tout ahmadi et à tout bénévole de faire perdurer cette impression et d’en assurer la protection.

Maher, un non-ahmadi accompagné de sa femme, était venu à la Jalsa sur ses propres frais. Il relate : « On est ici aux petits soins des invités et on leur offre une grande affection. J’affirme que s’ils nous disaient de nous coucher à même le sol et de nous contenter de pain sec, nous n’allions pas nous plaindre, en raison de l’amour incomparable que nous avons reçu ici. »

Madame Diana, une infirmière bosniaque, était aussi présente à la Jalsa et elle est en contact avec une famille ahmadie. Elle participe dans les programmes de la Jama’at en Bosnie en compagnie de son mari et de son fils. Elle offre aussi un grand soutien à la Jama’at. Elle est venue à la Jalsa en compagnie de son mari et de ses parents à ses frais. Elle relate : « L’organisation de la Jalsa était inégalée. En voyant ces bénévoles sincères nous étions tout embarrassés en raison de la peine qu’ils se donnaient pour nous. »

Amir, un autre invité, a participé à la Jalsa la première fois et son atmosphère a laissé sur lui une impression positive. Il relate : « Au retour, je dirai aux gens qu’il m’est impossible de décrire cette rencontre. C’est quelque chose que l’on doit en fait ressentir : tout un chacun doit passer quelques jours dans ce milieu paradisiaque afin d’être convaincu de l’existence du véritable paradis. »

D’aucuns parmi nous sèment le désordre et se querellent : ces derniers doivent être embarrassés par les impressions et les commentaires de ces invités. On doit se traiter avec amour et affection à tout instant.

Cette année-ci une délégation de 52 personnes de la Bulgarie avait participé à la Jalsa de l’Allemagne. Elle était composée de vingt ahmadis et de trente-deux non-ahmadis. Ils ont voyagé environs trente heures en car pour arriver jusqu’en Allemagne. Il y avait des businessmen, des avocats, des professeurs, des étudiants ainsi que des gens ordinaires dans cette délégation. Une invitée relate : « C’est la première fois que je participe à la Jalsa. Les ahmadis de la Bulgarie m’ont beaucoup parlé de la Jalsa, notamment que des personnes de diverses nationalités s’y réunissent. Chacun honore l’autre et montre de l’affection à son égard. Si l’on veut se réformer, il faut venir à la Jalsa. J’ai beaucoup appris ici et je voudrais mentionner deux points. Tout d’abord l’on apprend ce qu’est l’amour pour Dieu et comment aimer son prochain et l’honorer. »

L’enregistrement de la Jama’at a été annulé en Bulgarie. L’hostilité des oulémas non-ahmadis y a atteint son comble. L’État est sous leur influence. Priez aussi pour la Jama’at de la Bulgarie afin que la situation s’améliore là-bas et qu’elle y soit de nouveau enregistrée, afin qu’Allah nous accorde la liberté de prêcher et de mener nos activités ouvertement.

Un invité bulgare relate : « C’est la toute première fois que je participe à un événement aussi béni. Je n’ai pas de mots pour décrire mes sentiments. J’ai appris ici que seuls les ahmadis prônent la paix et honorent autrui. Ils souhaitent faire du monde un paradis. On reçoit certainement ici la lumière qui octroie la vie. Tout au long de ma vie j’informerai autrui que l’Ahmadiyya est le véritable islam qui tente d’établir la paix dans le monde. Je demande aussi [au Calife] de prier pour moi. »

Un invité bulgare m’a écrit ceci : « J’ai été fort touché par votre discours qui parlait de l’amour de son prochain. J’ai beaucoup apprécié les enfants qui servaient de l’eau et qui parlaient avec beaucoup d’amour. L’avenir de la nation de pareils enfants est sûr. »

Une professeure de psychologie de confession chrétienne relate : « C’est la première fois que je participe à la Jalsa. Cette rencontre est un miracle. On reçoit ici amour, paix et honneur. Je n’ai vu aucune querelle. Chacun servait autrui le visage souriant. De parmi des milliers de personnes on m’a offert un repas non-épicé. Quand je suis tombée malade on m’a offert des médicaments sur-le-champ. Il n’y avait pas d’invités de marque. Tout le monde était égal. Le sermon du vendredi m’a beaucoup touchée : [le Calife] y a évoqué l’amour pour son prochain, l’indulgence, l’entraide, le fait de ne pas mentionner les fautes d’autrui à d’autres, mais de prier au contraire pour le fautif. Si seulement le monde pouvait vous écouter. Si le monde souhaite marcher sur le droit chemin elle devra écouter cette voix et accepter vos enseignements. »

Un jeune originaire de la Guinée-Bissau du nom d’Abu Bakr est en train de faire son master en sécurité au Portugal à l’université. Il relate : « L’organisation de la sécurité était unique lors de la Jalsa. Gérer 40 000 personnes sans l’aide de la police était quelque chose d’extraordinaire. Même un Etat serait incapable de le faire. Il peut à n’importe quel moment y avoir des querelles ou des troubles. Or je n’ai vu aucun policier lors de la Jalsa : mais en dépit de cela je n’ai vu aucune querelle, voire on faisait montre d’affection et de fraternité à l’égard d’autrui. Cela m’a profondément touché. »

Une délégation de 65 personnes était présente de la Macédoine à la Jalsa. Ils ont parcouru environ 2000 kilomètres en car en presque 42 heures pour atteindre l’Allemagne. Cinq journalistes appartenant à 4 chaînes de télévision étaient présents. Il y avait les journalistes de trois chaînes régionales et un de la chaîne nationale. Les journalistes ont interviewé différentes personnes lors de Jalsa et ils m’ont rencontré le 28 août. Ils déclarent qu’ils vont préparer un documentaire et qu’ils vont le diffuser. Dans la délégation se trouvaient 32 chrétiens, 23 ahmadis et dix non-ahmadis. Le dernier jour un des leurs a fait la bai’ah.

Une avocate macédonienne relate : « C’est la première fois que je participe à cette rencontre. L’organisation était hors paire et il n’y avait aucune lacune. Les discours du Calife m’ont profondément touchée. Ils m’ont appris que l’islam est synonyme de paix et non de violence. En fait, l’islam enseigne les valeurs importantes et fondamentales de la vie, notamment comment établir une société saine. Islam enseigne que le bien remporte la victoire sur le mal. Si nous commençons à suivre cet enseignement, le monde sera un havre de paix et d’amour. Les droits des femmes que vous avez évoqués sont des valeurs très importantes. La femme est responsable de l’éducation des enfants et son rôle dans ce cadre est très important. Les droits des femmes évoqués par le Calife peuvent se résumer selon moi en ces deux phrases : la femme s’occupe du nid [familial] et le mari de sa protection. Selon moi le mari est la tête de la famille et la femme le cou. L’un ne va pas sans l’autre. »

Elle ajoute : « La bai’ah a laissé sur moi un profond effet. Ce fut comme si le temps s’était arrêté. Il y avait des gens partout qui ne voulaient pas rater ce moment. Toutes les voies partaient dans une seule direction : c’est-à-dire là où se trouvait l’Imam de la Jama’at Ahmadiyya et l’extérieur du chapiteau principal était désert. »

Les ahmadis de l’Allemagne ne doivent pas s’en réjouir trop vite, car j’ai également eu part de quelques manquements. Allah le Très-Haut a dissimulé ces manquements ; à l’avenir le département de la Tarbiyyah doit s’assurer que l’extérieur du chapiteau soit complètement désert. On m’a fait part du fait qu’au cours des sessions de la Jalsa des personnes se promenaient à l’extérieur de la salle, et que les gens de la MTA les filmaient. Premièrement, c’est une bonne chose que la réalité ait été filmée, mais lorsqu’une session de la Jalsa est en cours, il faut alors davantage se focaliser sur ce qui se passe dans celle-ci. Néanmoins, grâce à la MTA, de nombreuses personnes ont pu voir quelles étaient les faiblesses.

Elle ajoute : « J’ai grandement élargi ma connaissance au sujet de l’islam pendant cette Jalsa. Il peut, certes, arriver que j’oublie des paroles que j’ai entendues, mais l’image que j’ai maintenant de l’islam restera gravée pour toujours. »

Une invitée de la Macédoine, qui est journaliste de télévision, dit : « La Jalsa a ouvert pour moi de nouveaux horizons de l’Islam. Il fut un temps où je m’interdisais de prononcer le mot « islam », mais aujourd’hui j’ai pu être nouvellement introduite à l’islam. Je vous remercie en tant que journaliste pour m’avoir permis de vivre cette nouvelle expérience. J’emporterai avec moi ces impressions en Macédoine. »

Elle m’a rencontré, et à ce sujet elle ajoute : « Le Calife a eu un effet très positif sur moi. » Elle continue : « Ce que vous dites est totalement vrai, si une personne doit apprendre au sujet de l’islam alors elle doit l’apprendre directement du Saint Coran, il ne faut pas mettre le véritable islam et l’islam radical sur le même piédestal, comme on le voit faire par certaines personnes. » Elle ajoute à la fin : « J’ai été convaincue par l’ensemble des réponses de l’Imam de la communauté ; vous avez ouvert de nouveaux horizons pour moi. J’ai maintenant vu la véritable image de l’islam. »

Un autre journaliste de télévision de la Macédoine, commente : « C’est la première fois que je participe à un tel rassemblement. Tout ceci était très nouveau pour moi ; j’ai appris de nombreuses choses au sujet des musulmans. Les bénévoles qui travaillaient à la Jalsa, n’avaient pas l’air fatigués. » L’état des bénévoles l’avait surpris car ils n’avaient pas l’air fatigués. Il dit : « J’ai été grandement surpris par le fait qu’un très grand nombre de personnes étaient réunies ici ; cependant tout le monde faisait son travail, et personne n’a rencontré le moindre problème. Je suis ravi d’avoir fait partie de ces personnes, dont certaines sont maintenant des amis, et les amis sont une richesse. Après cette Jalsa je me considère plus riche qu’avant. »

Une autre journaliste de télévision venue également de la Macédoine dit : « En tant que journaliste, la Jalsa fut une nouvelle expérience pour moi. Pour les journalistes, un événement international est important. Je considère que je suis chanceuse d’avoir participé en personne à cette Jalsa, et d’apprendre à travers celle-ci. Tous les programmes de la Jalsa m’ont grandement impressionnée. J’ai appris de nombreuses choses au sujet de l’islam grâce à cette Jalsa. J’ai interviewé les personnes qui se sont converties à l’islam. Lorsque je retournerai en Macédoine, je préparerai un documentaire à partir de tous ces enregistrements, et je transmettrai ce message aux Macédoniens. »

Un invité venant de Lituanie, quant à lui, relate : « J’avais l’impression d’être chez moi. Les membres de votre communauté venant de différentes régions se sont réunis ici pour quelques jours, et ils sont tous animés d’un esprit de dévouement. Pour l’étranger que je suis, c’est très surprenant de voir tout cela, on dirait un nouveau monde. Je suis ravi d’avoir appris sur différentes cultures, religions, d’avoir goûté à différents plats, boissons. C’est très louable, qu’en tant qu’ahmadis chaque jour vous deviez faire face à des difficultés mais que vous entrepreniez des efforts pour atteindre un grand objectif. Vos pensées sont justes : on y trouve un universalisme. »

Un autre invité venant également de la Lituanie témoigne : « Je suis très heureux de découvrir cette communauté d’aussi près, car avant cette expérience je ne connaissais rien du tout au sujet des musulmans. J’ai appris énormément de choses à travers cette Jalsa, et dorénavant je pourrai vivre en tant qu’homme meilleur. Les enseignements de cette religion m’aideront à devenir un homme amélioré. On s’est très bien occupé de moi. »

Les invités ressentent également un changement en eux après avoir participé à la Jalsa. Donc nous pouvons imaginer à quel point nous devons faire des efforts de nous changer, nous, pour qui ces Jalsas sont organisées.

Il ajoute : « J’ai eu l’impression que j’étais le seul invité, et que tout le monde ne se souciait que de mon bien-être. Je vous en félicite ! »

Une autre invitée venant de Lituanie, Madame Ingrida dit : « C’est la première fois que je participe à cet événement. Je suis étonné de voir autant de personnes réunies. Il y a des personnes de différentes religions et de différentes cultures. Tout le monde s’entraidait. D’autre part, l’organisation sublime de cet événement est très surprenante et impressionnante. Après avoir écouté les discours, et après avoir rencontré le Calife, mon intérêt pour la communauté s’est davantage accru. Je vais lire vos livres, car en écoutant les discours de l’Imam de la communauté Ahmadiyya, j’ai pu constater que tout ce qu’il dit est sensé. C’était une belle expérience, je vais maintenant attendre patiemment la prochaine Jalsa. » Elle a également prodigué ce conseil aux Allemands : « Il y a diverses expositions et divers programmes qui sont organisés pendant les intersessions, et  je pense qu’il est possible d’améliorer la communication les concernant, en donnant le plus possible d’informations à leur sujet, afin que le plus grand nombre de personnes puisse y participer. »

Un groupe de 18 personnes était venu du Kosovo, composé d’une personne non-ahmadie et de 17 personnes ahmadies.

Une invitée venant d’Estonie, Madame Lora, déclare : « Je suis grandement impressionnée par l’organisation de la Jalsa Salana. J’ai eu l’impression que le comité d’organisation avait déjà tout prévu pour tout type de situation. Il y avait une solution à tout besoin et à tout problème. J’ai été respectée en tant qu’invitée, et on s’est très bien occupé de moi. J’ai beaucoup apprécié l’ambiance générale de la Jalsa Salana.

Les participants à la Jalsa étaient tous pacifiques, amicaux, et très aidants. Je suis ravie d’avoir rencontré de très belles personnes qui relataient leurs expériences au sein de la communauté avec une grande émotion. J’ai écouté les discours de la Jalsa, et j’ai particulièrement profité de ceux de l’Imam de la communauté Ahmadiyya au sujet des problèmes contemporains. J’ai apprécié en particulier le discours de l’Imam de la communauté musulmane Ahmadiyya sur la situation mondiale actuelle. Le message de ces discours était clair ; je repars accompagnée de pensées nouvelles ainsi que d’une nouvelle compréhension. Le dernier discours de l’Imam de la communauté musulmane Ahmadiyya m’a poussée à amorcer une profonde réflexion : il a laissé un effet positif sur moi et m’a beaucoup touchée. »

Un groupe de 48 personnes était venu d’Albanie. 19 étaient ahmadi et 29 ne l’étaient pas. Ils ont voyagé pendant 43 heures afin d’assister à cette Jalsa. Deux représentants étaient aussi venus de la part du gouvernement, l’un d’eux était le Président du comité de l’Etat sur l’énergie. Par ailleurs, un groupe de 20 personnes était venu de Hongrie, composé de 11 ahmadis et de 9 invités. Une invitée du nom d’Agayas déclare qu’elle est Arménienne. C’est une grande figure reconnue pour son travail social dans la ville de Gyur en Hongrie. Elle est la porte-parole de la communauté arménienne en Hongrie. Un missionnaire affecté en Hongrie rapporte qu’elle déclara elle-même un soir : « Je suis en train de me promener au milieu de milliers de musulmans sans aucune crainte. Chaque personne ici est civilisée, respectueuse, disciplinée et montre un grand respect envers les femmes. Les médias qui disent que les réfugiés musulmans ne sont pas civilisés et ne respectent pas les femmes, doivent venir ici et regarder combien ces musulmans sont courtois. »

Elle rapporte : « Un enfant est venu me voir. Il ne m’a pas demandée qui j’étais et d’où j’étais venue et m’a proposé de l’eau avec beaucoup d’amour. Après que j’eus fini de boire, un autre enfant est venu et m’a pris le verre vide. Ici les grands et les petits sont tous des ambassadeurs de l’amour. »

Lorsqu’elle a entendu le nombre de participants à cette jalsa elle a dit que les chrétiens devraient être 10 fois plus nombreux à y participer pour apprendre comment se respecter les uns les autres.

Thomas, invité de la Hongrie a fait part de ses impressions et déclare : « L’atmosphère respirant la piété, la paix, l’humanité et la fraternité que nous avons ressentie ici et dont nous avons eu l’opportunité de profiter est une expérience unique. J’ai travaillé en tant que prêtre pendant une longue période aux États-Unis et j’ai beaucoup voyagé mais je n’ai jamais témoigné d’une expérience pareille. Les ahmadis sont très chanceux d’avoir un leader qui les aime et qui les guide. En participant à cette Jalsa, ma foi s’est renforcée. » Il rapporte en outre : « Vous avez déclaré que votre Jama’at ne cesse de grandir de jour en jour alors que nous les chrétiens sommes en train de diminuer en nombre. Nos églises sont en train de se vider ; et lorsque j’ai eu la chance de rencontrer Sa Sainteté il m’a aussi dit que le matérialisme est en hausse et la spiritualité en baisse. » Il ajoute : « Nous devons informer les gens que nous avons un Maître [Divin], et ce n’est qu’en L’acceptant que l’on pourra établir la paix. » Il a cité ici mes propos.

Un Syrien, du nom d’Akram Domani rapporte : « J’ai connu la Jama’at il y a un mois. J’ai participé à l’une de vos réunions où pour la première fois j’ai entendu à propos de la Jama’at et ensuite je suis venu ici avec ma famille à cette Jalsa. Les gens sont très respectueux et ont un grand sens d’hospitalité et ont parlé des croyances de la Jama’at avec beaucoup d’amour et d’affection. D’après moi, c’est un miracle qu’il n’y ait pas eu de querelle en dépit du grand nombre de participants pendant ces trois jours de Jalsa. Même durant le Hajj nous voyons certains conflits mais ici je n’ai même pas vu quelqu’un parler sur un ton élevé. Un autre miracle duquel j’ai témoigné ici c’est le respect que les ahmadis ont montré à l’égard des invités, en particulier à l’égard des femmes, à un tel point que ma femme m’a dit qu’elle n’avait pas vu un seul homme la contempler d’un regard malsain. »

Usama Abu Muhammad Halbi rapporte : « Même avec un aussi grand nombre de participants l’organisation était remarquable : toutes les précautions étaient prises afin que tout se déroule en paix et le service qu’ont rendu les volontaires était exemplaire, surtout compte tenu du nombre de participants. Nos frères ahmadis ont pris grand soin de nous en ce qui concerne notre hébergement et nos repas. Une chose est claire : nous voyons dans leurs paroles et dans leur conduite une sincérité qui est aujourd’hui introuvable chez tous les autres musulmans. Je ne suis pas ahmadi mais je ne peux rester sans admirer le travail que vous fournissez. »

Un ami syrien, M. Mahmood, réside en Pologne. Il rapporte : « En écoutant le sermon de l’Imam de la communauté musulmane Ahmadiyya, mon cœur s’est réjoui. Avec ce seul discours, il a donné les solutions aux problèmes liés à ce monde. Il a dit comment on peut établir la paix entre certains pays et il a accordé ces solutions tirées des enseignements islamiques. C’est pour cette raison que j’ai ressenti beaucoup de fierté d’être musulman. »

Un autre invité rapporte : « L’Imam de la communauté musulmane Ahmadiyya a parlé à propos de l’entente et de l’importance de la discussion. Ses paroles m’ont poussé à réfléchir sur la situation actuelle du monde. En présentant des versets coraniques il a catégoriquement déclaré que l’islam n’a rien à voir avec le terrorisme et a prouvé que le Saint Prophète (saw) était quelqu’un qui a pardonné même à ses ennemis. » Il ajoute : « C’est la première fois qu’en écoutant le discours du Calife j’ai compris ce qu’est l’islam. Islam est une religion d’amour et d’affection et n’est pas ce que présentent les médias. »

Depuis deux ou trois ans, la cérémonie de la bai’ah se déroule ici en Allemagne. Lors de cette Jalsa 33 personnes de 11 différents pays ont eu la chance de prêter serment d’allégeance grâce à leur participation à la Jalsa. Des gens d’Albanie, de Gambie, du Ghana, d’Irak, du Yémen, du Maroc, de Palestine, de Syrie, de Turquie et de Lituanie faisaient partie de ses personnes.

Madame Namis Abdel Jalil, venue d’Estonie, a prêté serment d’allégeance. Elle rapporte : « Je suis une Palestinienne et je suis mariée à un jeune Estonien. C’est la deuxième fois que je participe à cette Jalsa. Lors de ma première participation j’étais repartie avec nombre de doutes, mais cette fois-ci j’ai beaucoup prié durant la Jalsa en disant : « Ô mon Dieu, guide-moi vers le droit chemin et si la Jama’at Ahmadiyya est la bonne voie pour moi et si c’est le chemin qui me permettra de vivre ma vie correctement, Tu n’as qu’à m’y guider Toi-même. » Par conséquent, le jour d’après j’ai accepté et j’ai ressenti beaucoup de quiétude. Je me sens très chanceuse d’avoir eu tant de personnes prier pour ma participation à cette Jalsa afin que je devienne ahmadie. L’année dernière je n’avais pas eu l’occasion d’écouter les discours de la Jalsa Salana mais cette année je les ai écoutés avec beaucoup d’attention, et en conséquence Dieu a réconforté mon cœur : cette Jama’at est bien celle qui est sur la voie de la vérité. De ce fait, j’ai fait la bai’ah. » Elle rapporte qu’elle n’a jamais observé ailleurs une telle fraternité entre les femmes. « J’ai fait la rencontre de femmes de différents pays que je ne rencontrerai peut-être plus jamais, mais je ne les oublierai jamais dans mes prières. J’ai cette conviction que le fait que je devienne ahmadie et le fait que je rencontre cette communauté était dû à un plan de Dieu. »

Je viens donc de vous présenter quelques impressions de quelques invités. Par la grâce de Dieu, la Jalsa Salana ouvre les cœurs de beaucoup de personnes, et elle permet de dissiper beaucoup de doutes en montrant la vraie image de l’islam. Qu’Allah fasse que ses bénédictions ne cessent de se propager.

En ce qui concerne la couverture médiatique, il y a eu le premier jour après la Jumu’ah, une conférence de presse dans laquelle des médias nationaux ainsi qu’internationaux étaient présents. De parmi les médias internationaux il y avait des journalistes venues d’Italie, de Macédoine, d’Autriche, du Brésil et de Belgique.

Au niveau national, il y a eu des représentants de 4 chaînes allemandes ainsi que quatre représentants des médias écrits. Il y a eu en général la diffusion des trois jours de la Jalsa. D’après le rapport, par le biais de 5 chaînes télévisées, 3 chaînes radios, 61 journaux et d’autres médias écrits, on a pu transmettre le message à plus de 59 200 000 de personnes. En ce qui concerne les médias internationaux, d’après ce que les représentants ont dit le message sera diffusé à plus de 41 300 000 dans l’espace d’une semaine. En outre, ces 3 jours de Jalsa ont aussi été diffusés en ligne sur le site alislam.org grâce à l’aide du studio allemand de la MTA.

Des communiqués de presse ont aussi été diffusés par l’entremise du bureau central des médias. Les réseaux sociaux ont également été utilisés pour la diffusion du message de la Jalsa : 32 messages ont été partagés via Facebook, vus par 420 000 personnes ; 36 000 personnes ont aimé ces messages et ont aussi commenté. Ensuite 536 000 personnes ont pu profiter de la Jalsa via Twitter et 800 personnes ont retweeté.

Voilà les quelques impressions à propos de la Jalsa, mais il y a eu tout de même quelques manquements. J’en ai déjà mentionné un, à savoir que les gens étaient parfois en train de marcher dehors – le département de la Tarbiyyah doit la prochaine fois travailler en ce sens afin que les gens ne se promènent pas dehors durant les sessions.

Il y avait des problèmes de son surtout le premier jour lors de la Jumu’ah. Il y avait quelques problèmes techniques mais en tous les cas il y a eu une amélioration par la suite ; il faut donc [à l’avenir] que l’on prête une attention particulière à ce sujet. La Jama’at d’Allemagne doit être vigilante à cet égard.

On a également reçu des plaintes eu égard au fait que durant les traductions il y avait beaucoup de bruit dans les écouteurs. Il faut donc faire attention à ce que cela ne se reproduise plus. Il y avait un grand nombre de personnes logées [sur place] cette fois-ci et de ce fait environ 400 personnes n’ont pas eu de matelas. Ce n’est pas très grave mais la Jama’at doit à l’avenir faire attention à cela.

Certains se sont plaints qu’il y avait un manque de discipline durant la Jalsa et peut-être l’une des raisons était qu’il y avait un problème lié à une des machines de la climatisation et de ce fait il faisait très chaud dans la salle. N’empêche, au Royaume-Uni les gens sont assis, dans la chaleur, sans se plaindre dans les chapiteaux, et ce n’est donc qu’un prétexte. Il faudra que le département de la Tarbiyyah accomplisse mieux son travail et il faudra qu’il conseille les ahmadis tout au long de l’année.

Je leur ai envoyé la liste des manquements ; ils doivent donc travailler dessus et essayer de s’améliorer pour la prochaine fois. Il y a aussi une plainte concernant les repas, à savoir qu’il n’avait été pas préparé proportionnellement au nombre de participants. Le jour d’après cela aurait dû être meilleur, mais cela ne fut pas le cas ; et en fin de compte il a fallu que l’on donne aux gens des lentilles qui avaient été préparées en urgence. L’on doit faire attention à cela et s’organiser davantage. Qu’Allah accorde à chaque volontaire l’occasion de servir du mieux de ses capacités dans le futur.

Durant ma tournée, j’ai pu en outre inaugurer une mosquée par la grâce de Dieu. Cela a eu un effet positif sur les invités et ces derniers ont annoncé très ouvertement que cet islam doit se propager en Allemagne.

Cette cérémonie a aussi été diffusée dans les médias. Des représentants de deux chaînes télévisées et de deux journaux étaient présents et on a eu la chance de transmettre le message a plus 1 650 000 personnes. Qu’Allah accorde à la Jama’at d’Allemagne l’occasion de propager davantage le message de l’islam et qu’ils puissent faire grandir davantage la renommée qu’ils se sont faite.


(Le site www.islam-ahmadiyya.org prend l’entière responsabilité de la publication du texte de ce sermon)