Sermons 2022

Sacrifices et progrès spirituel

Dans son sermon du 04 novembre 2022, Sa Sainteté le Calife a présenté des récits des sacrifices financiers consentis par des musulmans ahmadis du monde entier.

Sermon du vendredi 04 novembre 2022, prononcé par Sa Sainteté le Calife, Hadrat Mirza Masroor Ahmad, à la mosquée Moubarak, à Islamabad, Tilford au Royaume-Uni. Après le Tashahoud, le Ta’awudh et la Sourate Al-Fatiha, Sa Sainteté le Calife a déclaré :

Aujourd’hui, nous sommes le premier vendredi du mois de novembre ; et comme le veut la tradition, j’y annonce la nouvelle année du fonds du Tahrik-i-Jadid et [je] mentionne les faveurs qu’Allah nous a accordées l’année précédente. Je vais présenter quelques points à cet égard aujourd’hui. En premier lieu, il faut se rappeler que toute entreprise a besoin de financement. Le Messie Promis (a.s.) a déclaré que tout prophète a fait appel aux sacrifices financiers pour atteindre son objectif. Le Saint Coran a d’ailleurs attiré l’attention des croyants sur les sacrifices financiers sous différents angles. Allah annonce clairement qu’Il vous récompensera ici-bas et dans l’Au-delà pour les biens que vous sacrifiez pour la cause de la religion. Allah n’est redevable envers personne. Par exemple, [dans le verset suivant], Allah explique comment et jusqu’à quel point Il récompense [Ses créatures] :

مَثَلُ الَّذِينَ يُنْفِقُونَ أَمْوَالَهُمْ فِي سَبِيلِ اللَّهِ كَمَثَلِ حَبَّةٍ أَنْبَتَتْ سَبْعَ سَنَابِلَ فِي كُلِّ سُنْبُلَةٍ مِئَةُ حَبَّةٍ وَاللَّهُ يُضَاعِفُ لِمَنْ يَشَاءُ وَاللَّهُ وَاسِعٌ عَلِيمٌ

« La similitude de ceux qui dépensent leurs biens pour la cause d’Allah est comme la similitude d’un grain qui produit sept épis, et chaque épi contient cent grains. Or, Allah le multiplie davantage pour celui qu’Il veut et Allah est Munificent, Omniscient. » (Le Saint Coran, chapitre 2, verset 262)

Ceci est l’exemple de ces croyants qui dépensent dans la voie d’Allah. Allah ne demeure pas l’obligé de ceux qui font des sacrifices sincèrement pour Sa cause : Il les récompense ici-bas et dans l’Au-delà.

À notre époque, Dieu a suscité le serviteur parfait du Saint Prophète Muhammad (s.a.w.) pour la diffusion du message de la foi. Il a demandé à ses suivants s’assumer leurs responsabilités pour la diffusion [du message] de la religion et de l’islam, pour faire le monde se prosterner devant le seuil du Dieu Unique. S’ils agiront de la sorte en toute sincérité, ils mériteront les faveurs et les récompenses de Dieu.

Selon un récit, le Saint Prophète Muhammad (s.a.w.) a déclaré : « La Salât, le jeûne et le souvenir de Dieu multiplient par sept cent les sacrifices consentis dans la voie de Dieu. » C’est-à-dire que vos sacrifices financiers doivent être accompagnés de ces actions. Ainsi, ce hadith décrit l’état d’un véritable croyant. Il ne doit pas se contenter de consentir à des sacrifices financiers pour ensuite annoncer à Dieu : « J’ai contribué tant ; et en accord à Ton décret, Tu dois me rembourser 700 fois plus. » Il n’en est pas ainsi. Il faudra aussi rehausser le niveau de ses actes d’adoration. Il faudra aussi améliorer l’état de son Nafs et se consacrer au souvenir de Dieu, éviter les futilités et consentir à des sacrifices financiers uniquement pour la cause d’Allah. Par la suite, Allah accordera de telles récompenses qui vous laisseront bouche bée. Souvent, Allah accepte nos humbles actions et nous accorde des récompenses qui nous ébahissent. C’est là une grâce spéciale d’Allah. Cela accroît notre foi en la personne de Dieu. L’on grandit dans la conviction qu’inspire Ses propos.

En tout cas, l’on ne doit pas se contenter de ses sacrifices et [croire] que même si l’on n’a pas accompli d’autres actions, l’on méritera à coup sûr les récompenses divines. Ainsi, ceux qui consentent à des sacrifices financiers doivent aussi se soucier grandement de leur état spirituel : c’est là que l’on méritera les véritables faveurs divines. Allah récompense toujours les vrais croyants.

Il existe d’innombrables exemples de ce genre au sein de la Jama’at. Je ne cite pas uniquement les exemples des anciens, notamment eu égard à leur certitude qu’Allah les récompensera. Il existe aussi des exemples contemporains. Parmi les exemples des anciens, il s’y trouve celui de Rabi’ah Al-Basriyyah et de sa confiance en Dieu. Elle était assise chez elle quand vingt invités ont frappé à sa porte. Et il n’y avait que deux pains à la maison. Elle dit à sa bonne d’aller offrir ces deux pains à un pauvre. C’est là un exemple des plus sublimes de sa confiance en Allah. La bonne était très inquiète et pensait que même ces gens vertueux étaient d’étranges imbéciles : des invités sont à la maison et voici qu’elle me demande de partager le peu de pain qui reste parmi les pauvres ! Perdue dans ses réflexions, elle était sur le point de partir ou peut être qu’elle était revenue, lorsqu’une femme annonçait à la porte qu’une dame riche l’avait envoyée. Elle avait apporté dix-huit pains. Rabi’ah Al-Basriyyah les a rendus en disant : « Ce ne sont pas les miens. » Sa domestique lui a conseillé de les garder. Mais Rabi’ah Al-Basriyyah a refusé. La domestique a fait ressortir que c’était Allah Qui les avait envoyés.

Rabi’ah a insisté que ces pains ne lui appartenaient pas. La bonne a persisté, lui demandant de les garder. Au bout d’un moment, la riche voisine a demandé à sa bonne : « Où étais-tu ? Tu devais envoyer vingt pains à Rabi’ah. Ces [dix-huit] pains n’étaient pas les siens. Je les avais envoyés à quelqu’un d’autre. » Rabi’ah a dit : « J’avais envoyés ces deux pains en négociant avec Allah qu’Il les multipliera par dix et me les enverra. Donc vingt auraient dû venir en échange de deux. »

Le Premier Calife a relaté cet incident en référence à divers versets du Saint Coran. Il déclare que certains [versets] du Coran, mentionnent dix en récompense pour un ou sept cent pour un. Cette récompense est conforme aux circonstances de la bonne action. C’est-à-dire à quelle occasion et comment cette œuvre a été accomplie et à combien de sacrifices il a été consenti. Dans quelle mesure le sacrificateur accomplit-il le sacrifice ? Comme je l’ai dit, le Premier Calife a relaté cet incident de Rabi’ah Al-Basriyyah et a déclaré que c’est ainsi qu’Allah bénit [les œuvres] mais vous ne devez pas agir de la sorte avec l’intention de tester Allah. Il ne faut pas commencer à agir de la sorte avec l’intention d’éprouver Allah. Par contre, si jamais il vous arrive de consentir à des sacrifices de cette manière, en étant sincères envers Allah, Il vous bénira. Ceux qui font des offrandes pour la religion d’Allah et pour obtenir l’agrément d’Allah sont les vrais sacrificateurs.

L’exemple de Rabi’ah Al-Basriyyah semble concerner des invités personnels, mais les gens la visitaient également dans un but religieux. En tout cas, aujourd’hui, Allah a suscité le serviteur parfait du Saint Prophète Muhammad (s.a.w.), pour accomplir ces objectifs religieux, et à travers lui, le travail de la diffusion de l’islam et du service de l’humanité est en cours dans le monde aujourd’hui.

Par la grâce d’Allah, la Jama’at dépense plusieurs millions de livres [Sterling] chaque année pour la publication de littérature, la construction de mosquées, la construction de centres et d’autres projets. La majeure partie de l’argent récolté en Europe et dans les pays développés est dépensée en Afrique, en Inde et dans d’autres pays pauvres, en sus de subvenir aux dépenses de leurs pays à cette fin. Le travail a pris de l’ampleur maintenant et c’est une grâce spéciale d’Allah que les gens arrivent à financer ces dépenses en augmentant leurs sacrifices et ce malgré la détérioration des conditions économiques. Aujourd’hui encore, Allah leur montre comment Il les traite et comment Il récompense ceux qui consentent à des sacrifices. Ceux vivant dans des pays pauvres et dans les pays riches en ont fait leurs propres expériences : ils ont sacrifié leurs propres besoins pour consentir à des sacrifices dans la voie d’Allah.

Pour l’instant, je vais présenter quelques incidents qui montrent comment Allah traite ceux qui font des sacrifices et avec quel esprit les sincères font ces sacrifices. Les nouveaux convertis qui ont récemment embrassé l’islam et l’Ahmadiyya prennent conscience de leur propre chef de l’importance des sacrifices financiers, parce qu’ils ont compris l’esprit de ce sacrifice financier.

Muhammad Johnson est un Mou’allim du Liberia. Il était autrefois chrétien : il s’est converti à l’islam pour ensuite devenir Mou’allim. Il relate : « Quelques mois de cela, nous avons pu implanter la Jama’at suite à des efforts de prédication dans un village de notre région. Les habitants de ce village se sont joints à la Jama’at, y compris l’imam. Il s’agit d’un petit village qui n’est accessible par aucune route régulière. Il est également difficile de s’y rendre à cause des pluies. Le Mou’allim explique que nous avons délibérément délaissé ce village dans la collecte des dons du Tahrik-i-Jadid. D’une part, ils étaient de tout nouveaux ahmadis. La route était difficile et le village était de surcroît petit. Nous nous sommes dits que nous allons les motiver l’année prochaine et les inclure dans le fonds Tahrik-i-Jadid. Il raconte qu’un jour Abu Bakar, l’Imam du village, est présenté à l’improviste à la Mission House de Tubman et offert une somme d’argent dès son arrivée, annonçant que vingt et un membres de la Jama’at avaient contribué dans le fonds du Tahrik-i-Jadid. Ils lui ont demandé comment il avait su à ce propos, étant donné qu’on ne les avait pas conscientisés eu égard à cela. Il a répondu : « J’écoute régulièrement les émissions de la Jama’at à la radio ; et la semaine dernière, lorsque vous avez présenté le fonds du Tahrik-i-Jadid et son importance dans une émission à la radio, j’en ai fait mention aux membres de ma Jama’at. Sur ce, les membres ont fait ce don. »

Allah implante ces sentiments en leurs cœurs et engendre cet esprit de sacrifice.

L’Amir de la Gambie a expliqué qu’ils ont encouragé les membres d’un village à contribuer dans le fonds du Tahrik-i-Jadid. Tous les membres sont des nouveaux convertis. La sœur Fatou, une femme de cinquante-sept ans, a contribué deux cents Dilasis, la monnaie locale. La femme a dit que c’est le seul moyen par lequel on peut diffuser le message du véritable Islam, comme c’était le cas à l’époque du Saint Prophète. Elle a dit que c’était la dernière somme qui lui restait pour acheter de la nourriture pour sa famille. Il ne s’agissait pas d’une femme riche. Elle a offert la somme de deux cents Dilasis en disant que cette somme est nécessaire pour prêcher l’islam. « Je sacrifie ma faim et j’offre cette somme. » Sur ces entrefaites, son fils qui réside en Suisse, l’a appelée pour l’informer qu’il lui a envoyé douze mille deux cent cinquante Dilasis. Les yeux en larmes cette femme a annoncé à la congrégation : « Voyez comment Allah m’a accordé Sa grâce. À présent, je contribuerai davantage. » Les personnes présentes ont été très surpris. Cela faisait plus de six mois que son fils ne l’avait pas contactée. Sa mère était dans une mauvaise situation financière. Mais en cette occasion, Allah a créé ces circonstances : [il] a téléphoné et lui a envoyé de l’argent. Cela a impressionné les gens : ils ont compris que l’Ahmadiyya est le véritable islam et tout le monde a juré de demeurer ahmadis jusqu’à la mort.

Il se trouve une Jama’at dans la région de Geta au nord-ouest de la Tanzanie. Le Mou’allim de cette localité relate qu’Abdullah est un jeune qui a prêté le serment d’allégeance quelques mois de cela. Un jour, il a entendu parler du fonds de Tahrik-i-Jadid dans le sermon du vendredi. Il ignorait que c’était le dernier mois de la collecte de cette contribution et que tout ahmadi doit y participer selon ses moyens pour mériter des bénédictions.

Abdullah n’avait pas d’argent. Il a promis qu’il contribuera certainement une certaine somme dans le fonds du Tahrik-i-Jadid, d’ici le lendemain soir. Le lendemain, il partit à la recherche de travail.

Un homme avait besoin de quelqu’un pour cultiver ses terres et il a confié ce travail à Abdullah. Celui-ci a travaillé dur toute la journée pour accomplir la tâche qu’il aurait dû accomplir en deux jours dans des circonstances normales. Il a tout fini le soir et il a contribué son salaire dans le fonds Tahrik-i-Jadid. Après avoir relaté cet incident, il a annoncé qu’Allah a béni son intention et lui a donné l’opportunité de consentir à un sacrifice financier de par Sa grâce. Il a pris conscience de cela de son propre chef.

Voici un récit qui nous vient des Îles Salomon. Le missionnaire d’Australie, qui est située dans la région, était en tournée aux Îles Salomon. En plus des sessions de formation et de prédication, il a attiré l’attention des membres concernant les contributions dans le fonds du Tahrik-i-Jadid. Le mari d’une dame [ahmadie] [dans ces îles] n’est pas musulman. Ils ont tous deux un élevage de volailles. La femme n’était pas chez elle quand le secrétaire du Tahrik-i-Jadid s’est rendu chez elle pour lui faire un rappel sur ses contributions. Ses enfants ont offert le peu d’argent qu’ils avaient. Lorsque la femme est rentrée, les enfants ont raconté que le secrétaire du Tahrik-i-Jadid était passé. Elle s’est rendu immédiatement à la maison du secrétaire et a contribué mille dollars dans le fonds du Tahrik-i-Jadid. Le secrétaire lui a dit qu’il avait reçu les contributions de tous les membres, qu’il en avait préparé la liste et l’avait envoyée et qu’il inclura sa [nouvelle] contribution dans celle de l’année prochaine. Elle femme a répondu : « Non. J’avais fait cette promesse à Dieu d’offrir autant cette année. Comptez cette somme dans les contributions de cette année. » Ainsi, suite à sa requête une nouvelle liste a été préparée et envoyée au centre durant la nuit.

Voici un récit démontrant comment Allah multiplie les biens. Le missionnaire de la Guinée-Conakry relate qu’un missionnaire avait prononcé un sermon sur le Tahrik-i-Jadid dans un lieu nommé Kafilia. Ensuite il a visité les maisons individuellement. Il a rencontré un jeune homme, nommé Mohammad Sylla et a attiré son attention sur le fonds du Tahrik-i-Jadid : suite à quoi il a sorti dix mille francs de sa poche et les a contribués dans le Tahrik-i-Jadid. En même temps, il a déclaré que c’était la somme qu’il allait utiliser pour s’acheter son déjeuner et son dîner. « Mais aujourd’hui, je ne mangerai rien pour l’amour d’Allah et Son plaisir. » Quatre jours après cet incident, le jeune homme a appelé le missionnaire en disant « Allah a accepté mon sacrifice. J’avais fait un entretien pour un emploi de chauffeur dans une société minière et par la grâce d’Allah, j’ai reçu un contrat de cinq ans avec un salaire mensuel de cinq millions et demi de francs guinéens. Allah a multiplié mes biens par plus d’un millier de fois. »

Il avait contribué dix mille pour l’année : l’augmentation était six mille six cents fois pour l’année. Allah affirme qu’Il peut offrir plus de sept cents fois s’il le souhaite. Ceci en est un exemple.

La présidente de la Lajna du Niger explique : « Par la grâce d’Allah, la Lajna Imaillah du Niger a eu l’opportunité d’organiser la première classe de formation nationale de trois jours. De nombreuses femmes y ont participé. Nous les avons conscientisées à propos du fonds du Tahrik-i-Jadid : les informant notamment que l’année financière est sur le point de s’écouler et qu’elles doivent tenter de compléter leur promesse dès que possible. Or les dames ont commencé à y contribuer sur-le-champ. On leur a dit qu’il ne s’agissait que d’un rappel et qu’il y avait encore du temps. Mais elles ont dit qu’elles allaient contribuer immédiatement. D’autres femmes les ont suivies et ont fait des sacrifices financiers et c’est ainsi qu’une grande somme a été collectée. Par la grâce d’Allah, presque partout dans le monde, les femmes contribuent leur part en fonction de leur nombre et ne sont devancées par personne. Dans certains pays, parfois l’on doit conscientiser les Khouddam et les Ansâr en disant que les femmes ont accru leur sacrifice et qu’il leur sied d’en faire de même.

Le missionnaire de Saint-Pétersbourg en Russie écrit : « M. Arsan Bek appartient à un État de la Russie. J’ai annoncé la nouvelle année du fonds du Tahrik-i-Jadid l’année dernière. Sur ce, M. Arsan a promis qu’il y contribuera la somme de 1000 roubles. D’ailleurs il avait honoré [sa promesse] l’année dernière. Il a promis la somme de dix mille roubles pour cette année-ci. Il était sur le point de lancer une entreprise. En tout cas, il a tenu sa promesse de dix mille roubles en juillet. La Russie est dans une situation difficile en raison de la guerre en Ukraine, mais il a complété sa promesse alors que le rouble a déprécié. Il a offert dix mille roubles soit cent soixante-dix-huit euros, mais c’est une somme énorme selon les conditions là-bas. Il a ajouté : « Je contribuerai cinq cents roubles quotidiennement car mon entreprise a été tellement bénie par la grâce d’Allah que je reçois beaucoup de revenus, malgré les conditions difficiles. Après cela, il l’a augmenté à 1000 roubles, qu’il contribue également quotidiennement.

Marwa est une ville située au nord du Cameroun, précise un Mou’allim. Ce récit va démontrer la fermeté de la foi des pauvres et des bénédictions dans leurs contributions. M. Abdullah est un nouveau converti et il est un homme très pauvre. Il a offert un demi-seau de maïs, soit cinq kilos, en guise de contribution dans le fonds du Tahrik-i-Jadid. Suite à cela, Allah lui a offert cinq sacs, soit trois cent cinquante kilos. Sa contribution a été multipliée par soixante-dix. « Cette année, dit-il, j’étais très inquiet, l’engrais était devenu cher, les prix avaient augmenté, je ne pouvais pas en acheter. J’avais peur que la récolte ne soit pas bonne. Cependant, j’ai travaillé aussi dur que possible. Allah m’a tellement béni que cette année ma récolte a doublé. » Il a offert un sac de soixante-dix kilos dans le fonds du Tahrik-i-Jadid. Il dit : « J’ai aussi informé ma famille que Dieu bénit mon travail et ma récolte grâce au contributions du Tahrik-i-Jadid. »

L’Amir de la Gambie présente un autre récit. Ces récits brefs sont des événements simples, mais ils sont très importants pour les ahmadis pauvres. Pathe Sissay, un ahmadi d’un village, avait prêté le serment d’allégeance en 2014. Il a relaté : « J’étais au chômage avant de rejoindre la Jama’at. J’ai essayé plusieurs fois de trouver un emploi mais en vain. Depuis que j’ai rejoint la Jama’at, je participe activement aux fonds financiers et autres activités de la Jama’at, dont la prédication. » À présent il a deux emplois : naguère il était au chômage, sa vie était difficile et il n’avait pas de maison. À présent, il possède une maison en dur. Les gens disent que c’est la Jama’at qui l’a aidé. Il leur répond que c’est Allah et non la Jama’at qui l’a aidé grâce aux bénédictions de ses contributions.

L’Amir de la Jama’at de l’Indonésie écrit qu’un ahmadi dispose d’une usine et que la situation y était difficile. L’année dernière j’avais mentionné quelques incidents sur le plan du Tahrik-i-Jadid et j’avais annoncé la nouvelle année : cela a eu un grand impact sur lui. Il a immédiatement doublé sa promesse de l’année dernière pour le Tahrik-i-Jadid et a tout de suite honoré cette promesse. Une semaine après cela, Allah l’a béni et ses ventes ont augmenté. Une société qui avait rompu ses affaires avec lui est revenue et a fait une offre d’achat importante. Cette année, il dit que les revenus de son entreprise ont multiplié par rapport aux années précédentes.

Farhad, un missionnaire en Allemagne, écrit qu’une femme de Wiesbaden a été licenciée de son travail. Elle n’avait plus de revenus. Elle voulait faire venir son mari et ne pouvait pas le parrainer. Elle a fait part de son inquiétude à son frère, qui lui a dit que le seul remède était de prier, de faire des contributions et de consentir à des sacrifices financiers. La femme a vendu ses bijoux pour payer ses cotisations. Quatre jours plus tard, ses employeurs lui ont promis un travail permanent rémunéré à deux mille euros, somme qui lui permettra de parrainer son mari.

Le Wakil-ul-Mal de l’Inde relate « Un ahmadi de ce pays est à l’avant-garde dans ses contributions au fonds du Tahrik-i-Jadid. Je lui ai suggéré d’augmenter ses contributions et il a demandé de combien. Je lui ai dit de faire ce qu’il pouvait en fonction de ses ressources, mais il a insisté que l’administration, le missionnaire ou le représentant du centre devait faire la proposition. Le représentant lui a demandé de l’augmenter d’un million de roupies. Il avait d’ores et déjà offert cinq cent mille roupies ; mais il a augmenté sa contribution et l’a payée. »

Il relate : « J’avais une maison qui n’était pas immatriculée et je pensais que j’allais subir de grosses pertes : mais quelques jours après ma contribution supplémentaire, l’affaire a été réglée. Allah a compensé la perte. »

Allah ne demeure l’obligé ni des riches ni des pauvres. Il récompense chacun selon sa condition.

Le Wakil-ul-Mal de l’Inde relate : « Il y a un docteur du Cachemire qui est professeur à l’Université Sher-e-Kashmir. Il avait honoré ses promesses. Par la suite, il a relaté : « J’ai été promu professeur scientifique en chef, en agronomie, et j’ai eu une augmentation importante. » De ce fait, il a proportionnellement augmenté sa contribution dans le fonds du Tahrik-i-Jadid.

Une femme mauricienne raconte : « L’année dernière après avoir entendu des incidents de la part de proches concernant le Tahrik-i-Jadid, mon mari m’a dit qu’il doit promettre une somme un peu difficile à payer. Il a donc promis la somme de soixante-quinze mille roupies mauriciennes. À l’époque, mon mari travaillait dans une entreprise médicale. Il y a eu une légère augmentation de salaire au cours des trois dernières années ; mais lorsqu’il a fait la promesse, on lui a proposé un emploi dans un hôpital privé. À cette époque, le mari a également fait un cadeau de 1000 roupies à sa mère. Il a fait l’entretien pour le poste. Le mari a dit qu’il avait estimé qu’il obtiendrait l’emploi et que le montant qu’il recevrait comme salaire serait proche de ce qu’il avait sacrifié. L’entretien a eu lieu et il a été embauché et areçu un salaire de soixante-seize mille roupies. « Ma promesse était de 75 000 roupies et Allah m’a retourné la somme de 1 000 roupies que j’avais offerte à ma mère. »

Le missionnaire du Bangladesh relate : « Un ahmadi de chez nous a subi de grandes pertes au cours de l’épidémie du Coronavirus. Il devait une somme importante au niveau de ses contributions. On lui a fait des rappels concernant ses contributions dans le fond du Tahrik-i-Jadid et il a contribué 11500 takas des économies de sa femme ; mais le solde représentait encore la moitié. En tout cas, à la fin de ce mois, l’épouse a envoyé un message pour venir récupérer l’arriéré de sa cotisation. Lorsque notre équipe est arrivée, elle a payé trois fois le montant promis et a payé le solde du montant des cotisations obligatoires et a donné la bonne nouvelle qu’un besoin de longue date venait d’être satisfait par Dieu. Ils cherchaient depuis longtemps un terrain pour une maison. Lorsqu’ils ont commencé à contribuer dans les fonds de la Jama’at, Dieu leur a permis d’acheter un terrain pour construire une maison de manière miraculeuse. »

Leurs revenus ont augmenté, ils ont complété leurs contributions et Dieu leur a offert la possibilité de construire leur maison.

Un ahmadi du Burkina Faso travaille comme enseignant. Il relate qu’il a pu acheter une voiture. Ses collègues enseignants ont dit qu’ils ont le même emploi mais ne peuvent pas s’acheter de voiture. C’est certainement la Jama’at qui a dû l’aider. Il relate : « Je leur ai expliqué que la Jama’at ne m’a pas aidé ; c’est Allah qui a béni mes biens en raison de mes contributions. Je cotise dans les fonds de la Jama’at depuis que je suis étudiant et Allah m’a toujours béni. »

Un membre de la Jama’at d’Allemagne habite à Ossenberg. Il relate : « La Jama’at a organisé une rencontre sur le fonds du Tahrik-i-Jadid. J’avais apporté la somme supplémentaire de cinq cents euros et on m’a dit que le carnet de reçus était épuisé. Je suis rentré et j’ai payé mes ouvriers leur dû. La nuit, j’ai vu le Calife en rêve. Le Calife m’a dit : « J’ai besoin de cinq mille euros. » J’ai compris que cela signifie ma contribution dans le fond du Tahrik-i-Jadid. J’ai raconté le rêve à ma femme. Elle a dit qu’elle contribuera cinq mille euros dans le fonds du Tahrik-i-Jadid. Peu de temps après, j’ai reçu plus de vingt-deux mille euros sur mon compte en guise de subvention suite à l’épidémie du Coronavirus : cette aide dépassait mes attentes.

Une dame du Canada raconte qu’elle faisait face à des difficultés financières et qu’elle était très inquiète concernant sa promesse. Elle était très anxieuse et priait. Elle dit : « Mes intentions étaient très bonnes. Je ne voyais pas de signes et je priais beaucoup. Une nuit, ma fille cherchait son certificat de naissance et a trouvé un vieux portefeuille. J’étais partie aux États Unis huit ans de cela. J’y avais gardé de l’argent pour les dépenses et il en restait une partie ; je l’avais laissée là-bas et l’avais oubliée. La somme correspondait exactement au montant que je devais verser. C’est ainsi qu’Allah accorde Son soutien. »

Le président de la Guinée-Conakry présente le récit d’une ahmadie de revenus modestes. « Elle gagne sa vie en vendant de maigres marchandises. On l’a visitée lors de la campagne sur les contributions du Tahrik-i-Jadid. Elle a déclaré qu’elle est très inquiète en raison de sa situation financière difficile. Elle relate : « J’ai démarré l’entreprise avec un prêt. Mes revenus sont inexistants. Je ne peux même pas rembourser le prêt. » On lui a expliqué [l’importance de sacrifices] et on lui a demandé de prier. Elle a offert vingt mille francs guinéens. Il s’agissait d’une somme importante pour cette pauvre femme qui arrivait à peine à joindre les deux bouts. Quelques jours plus tard, nos missionnaires l’on visitée de nouveau pour un autre travail. Elle a dit d’une voix joyeuse et pleine d’émotions : « Allah a résolu tous mes problèmes. Ma petite entreprise marche très bien. J’ai remboursé ma dette et tout cela en raison de ce sacrifice financier. »

Farid Ibrahimov est un ahmadi du Tatarstan, de la Russie. Il relate : « Quelque chose d’étrange est arrivé à mon téléphone au cours de l’été de l’année dernière. Après avoir reçu les paiements de mes clients en ligne, le sermon du Calife sur les sacrifices financiers a commencé à jouer automatiquement sur mon téléphone. Cela ne s’est pas produit une seule fois, mais chaque fois qu’un montant important était transféré sur mon compte, quelque incident de ce genre se produisait. J’ai compris qu’Allah est en train de me rappeler – en donnant une preuve de Son existence – que c’est un grand honneur pour moi de pouvoir faire un sacrifice financier, ayant rejoint la Jama’at du Messie Promis. »

Automatiquement, il recevait un sermon ou un message sur son téléphone pour le motiver à faire un don.

Une dame sincère en Tanzanie relate : « À mon retour de la Jalsa, je me suis rendue compte que j’avais un montant à payer dans le fonds Tahrik-i-Jadid. Or, je n’avais pas de revenu. Quelqu’un m’avait emprunté de l’argent et j’attendais le remboursement. Mais il ne répondait pas et ne décrochait même pas le téléphone. J’étais malade et les frais de médicaments, etc., augmentaient de surcroît de jour en jour. J’étais très inquiète au sujet des frais de scolarité mes enfants. J’ai demandé à mes enfants de prier et au même moment on lançait l’appel à la prière. Mes enfants ont dit qu’ils allaient prier et implorer Dieu. » Allah renforce la foi des enfants de cette manière. « Si nous n’avons pas d’argent, peut-être qu’Allah écoutera notre prière et incitera cette personne à me rendre l’argent. » La mère et son fils ont fait leurs ablutions et ont imploré Allah. Le téléphone a commencé à sonner avant la fin de la prière. C’était l’appel de celui qui avait contracté le prêt. Il a dit : « Je me trouve devant votre porte et je suis venu vous rendre votre argent. Je me tenais à l’arrêt de bus en attendant le bus quand j’ai entendu l’appel à la prière et en même temps j’ai senti comme une voix qui me disait de retourner le montant du prêt en premier. Je suis venu rendre l’argent. » Quand cette femme et cet enfant ont entendu cet incident, leurs cœurs ont été remplis de louanges à Allah. « C’était là la grâce d’Allah, » ont-ils dit. L’enfant a dit : « Nous avons prié et nous avons obtenu l’argent. » Ensuite, ils ont comblé leurs besoins.

Ikram Jan est de Saint-Pétersbourg. Il déclare : « Je prie pour ma prospérité financière afin d’aider les démunis et payer mes cotisations. Cela se passe toujours de manière étrange. La dernière fois il me manquait trois mille roubles tandis que c’était le dernier jour pour verser la cotisation. Pendant le travail, deux personnes sont soudainement venues me voir : l’une m’a offert 1000 roubles et l’autre 2000. Cela n’était jamais arrivé auparavant car je recevais 300 à 500 roubles pour mon travail. À présent, j’offre mon revenu excédentaire dans la voie d’Allah.

C’étaient là quelques récits sur notamment comment Allah bénit ceux qui consentent à des sacrifices financiers en toute sincérité.

À présent, j’annonce la nouvelle année du fonds du Tahrik-i-Jadid. La quatre-vingt-huitième année s’est terminée le 31 octobre et la quatre-vingt-neuvième année a débuté le 1er novembre. Al-hamdou Lillah, la Jama’at a contribué 16,4 millions de livres dans le Tahrik-i-Jadid cette année. Malgré la détérioration rapide des conditions économiques du monde, la collecte de cette année dépasse celle de l’année précédente par 1,1 million de livres par la grâce d’Allah.

Comme auparavant, par la grâce d’Allah, cette année, la Jama’at d’Allemagne occupe la première place dans le classement mondial. Les ahmadis du Pakistan ont également fait de grands sacrifices. Mais les conditions économiques y sont mauvaises.

Le Pakistan a baissé dans le classement en raison de la dépréciation de la monnaie locale, sinon ils sont à l’avant-garde dans les sacrifices.

Même si l’Allemagne est en tête, sa contribution a baissé par rapport à sa monnaie. Si le Royaume-Uni et les États-Unis continuent d’augmenter leur contribution ils pourront monter dans le classement. De même, le Canada, l’Australie, l’Inde et la Jama’at du Ghana ont augmenté considérablement leurs contributions.

Les autres Jama’ats notables en termes de contributions sont les Pays-Bas, la France, la Suède, la Géorgie, la Norvège, la Belgique, la Birmanie, la Malaisie, la Nouvelle-Zélande, le Bangladesh, les Kiribati, le Kazakhstan, le Tatarstan, les Philippines et une Jama’at du Moyen-Orient.

Parmi les Jama’at africaines, le Ghana est la première Jama’at en termes de recettes globales, suivi de l’Île Maurice en deuxième position, qui se trouve également en Afrique. Ensuite il y a le Nigéria, le Burkina Faso, la Tanzanie, la Gambie, le Libéria, l’Ouganda, la Sierra Leone et le Bénin.

En termes de contributions par tête, les États-Unis sont au premier rang, suivis du Royaume-Uni et de l’Australie.

Le nombre total de contributeurs est de 1 596 000, par la grâce d’Allah. Les pays africains notables qui ont augmenté leur nombre de contributeurs par rapport à l’année dernière sont : le Nigéria, la Guinée-Bissau, le Congo-Brazzaville, la Guinée-Conakry, la Tanzanie, le Congo-Kinshasa, la Gambie, le Cameroun, la Côte d’Ivoire, le Niger, le Sénégal et le Burkina Faso.

Les comptes des premiers contributeurs sont toujours actifs par la grâce d’Allah.

Les dix meilleurs Jama’ats allemandes sont : Rödermark, Rodgau, Mehdi-Abad, Nida, Cologne, Floresheim, Neuss, Pinneberg, Osnabrück et Friedberg.

Les émirats locaux sont Hambourg, Francfort, Gross-Gerau, Wiesbaden, Dietzenbach, Riedstadt, Morfelden, Russelsheim, Darmstadt et Mannheim.

Le classement des recettes générales au Pakistan, est comme suit : Lahore, Rabwah et Karachi.

Les dix premiers districts sont : Sialkot, Islamabad, Gujranwala, Gujarat, Omar Khot, Hyderâbâd, Mirpur Khas, Sargodha, Quetta et Lodhran.

Umarkot et Mirpur Khas sont des zones affectées par les inondations ces derniers jours en raison des pluies. Les sacrifices consentis par les ahmadis dans ces régions sont très importants, par la grâce d’Allah.

En termes de collecte, les Jama’at urbaines qui ont fait les plus grands sacrifices Pakistan sont : Amarat Township Lahore, Amarat Darul-Zikr Lahore, Amarat Model Town Lahore, Amarat Mughalpura Lahore, Amarat Allama Iqbal Town Lahore, Amarat Bait-ul-Fazl Faisalabad, Amarat Azizabad Karachi, Amarat Delhi Gate Lahore, Amarat Karimnagar Faisalabad, et en dixième dernière position Amarat Sadar Karachi.

Voici le classement des cinq régions de la Grande-Bretagne : Bait-ul-Futuh en première position, ensuite il y a Islamabad, Masjid Fazl, Midlands et Bait-ul-Ehsan.

Les dix plus grandes Jama’ats du Royaume-Uni en termes de recettes sont : Farnham, South Cheam, Islamabad, Worcester Park, Walsall, Gillingham, Masjid Fazal, Ewell, Aldershot Sud et Putney.

Les plus petites Jama’ats en termes de recettes sont : Spen Valley, Keithley, Galles du Nord, Northampton, Swansea.

Le classement des Jama’ats des États-Unis en termes de recettes sont : Maryland, en première position, suivie de Los Angeles, Virginie du Nord, Détroit, Silicon Valley, Chicago, Seattle, Oshkosh, Virginie du Sud, Atlanta, Géorgie, Jersey Nord et York.

Pour le Canada, en termes de recettes, l’émirat local de Vaughan est en première position, suivi de Peace Village, Calgary, Vancouver et Toronto.

Les dix premières Jama’ats indiennes en termes de sacrifices sont : Coimbatore, Tamil Nadu, Qadian, Hyderabad, Karolay, Pathapiriyam, Calicut, Bangalore, Melapalayam, Calcutta, Kirang.

Les dix premières provinces en termes de sacrifice sont : Kerala, Tamil Nadu, Karnataka, Jammu et Cachemire, Télangana, Orissa, Pendjab, Bengale, Delhi, Maharashtra.

Les dix meilleurs Jama’ats de l’Australie sont : Castlehill, Melbourne Long Warren, Melbourne Berwick, Marsden Park, Penrith, Perth, Parramatta, Adélaïde Ouest, ACT Canberra, Brisbane Logan Est.

C’était le classement des Jama’ats. Qu’Allah bénisse les biens et les personnes de tous ceux qui ont consenti à des sacrifices financiers.

La Jama’at britannique a lancé un nouveau site Web sur l’histoire de l’Ahmadiyya au Royaume-Uni. Ce travail de recherche sur l’histoire dure depuis de nombreuses années. Le site Web présente des articles sur les efforts entrepris par le Messie Promis (a.s.) en faveur de la diffusion de la direction en Occident. On considère que l’histoire de la Jama’at au Royaume-Uni a débuté en 1913 quand Chaudhry Fateh Muhammad Sial est venu ici. En fait le message du Messie Promis (as) avait atteint le Royaume-Uni et d’autres pays européens quand il s’était proclamé Réformateur. Il avait écrit une lettre en guise de preuve ultime, publiée à huit mille exemplaires et envoyée aux prêtres célèbres et respectés en Inde et en Angleterre et aux dirigeants de diverses sociétés et religions partout où ce message pouvait parvenir à l’époque. Un exemple de ceci est qu’au Royaume-Uni, un politicien athée nommé Charles Breedlaw a reçu l’invitation du Messie Promis (a.s.) en 1885. Ceci a été mentionné dans le numéro du 8 juin 1885 d’un journal local intitulé Cork Constitution. De même, Henry Steele Alcott, l’un des fondateurs de The Theosophist Society, avait reçu cette invitation en 1886 : il en a fait mention dans le numéro de septembre 1886 de son journal, The Theosophist.

Une chronologie de l’ère bénie du Messie Promis (a.s.) est disponible sur ce site Web : elle présente les faits basés sur la transmission du message de vérité en Occident.

Une autre chronologie présente les missionnaires pionniers y compris les Compagnons du Messie Promis (a.s.) et leurs services au Royaume-Uni. Il s’y trouve aussi un article détaillé sur la prophétie du Messie Promis (a.s.) concernant le prêtre Pigott avec toutes les références. De même, d’autres articles de recherche sur l’histoire ont été publiés. Ceci fera comprendre clairement à la jeune génération quel était le véritable objectif de leur arrivée et celui de leurs ancêtres dans ces pays. L’adresse de ce site est www.history.ahmadiyya.uk

Ce site Web est déjà en ligne : ils souhaitent qu’il soit lancé officiellement aujourd’hui. Qu’Allah le rende bénéfique pour nous et pour les autres.


(Le site www.islam-ahmadiyya.org prend l’entière responsabilité de la publication du texte de ce sermon)