Sermons 2022

Bénédictions de la Jalsa Salana

Dans son sermon du 12 août 2022, Sa Sainteté le Calife a évoqué les faveurs découlant de la Jalsa Salana du Royaume-Uni de 2022.

Sermon du vendredi 12 août 2022, prononcé par Sa Sainteté le Calife, Hadrat Mirza Masroor Ahmad, à la mosquée Moubarak, à Islamabad, Tilford au Royaume-Uni. Après le Tashahoud, le Ta’awudh et la Sourate Al-Fatiha, Sa Sainteté le Calife a déclaré :

Al-Hamdoulillah ! Allah nous a accordé l’opportunité d’organiser la Jalsa Salana du Royaume-Uni la semaine dernière et nous avons vu les innombrables faveurs d’Allah durant ces trois jours. Plus tôt cette année, l’idée était d’organiser la Jalsa sur une petite échelle comme l’année dernière en raison de l’épidémie de la Covid-19, mais au cours du mois dernier, on a décidé d’autoriser tous les ahmadis du Royaume-Uni à y participer. Au début, la direction était un peu inquiète de cette décision, mais ils ont commencé les préparatifs ; et comme je l’ai dit, nous avons vu les bénédictions d’Allah affluer.

Les gens attendent longuement la Jalsa : on l’attend toute l’année. L’administration doit entreprendre de gros préparatifs, mais ensuite, lorsque la Jalsa débute, on ne sait pas comment ces trois jours se sont écoulés en un clin d’œil. Cette année, les gens ont également émis des réserves à divers égards. Certains m’ont écrit et exprimé leur inquiétude. Les gens priaient beaucoup, je priais aussi et les membres de la Jama’at en ont fait de même. Cependant, Allah a changé toutes les peurs et les préoccupations en paix. L’épidémie de la Covid en était aussi une raison. Cela a pu avoir un certain effet sur d’aucuns, mais en général, Allah a accordé Sa grâce en grande mesure. Quoiqu’il en soit, je souhaite présenter quelques points sur la Jalsa Salana. Dans le sermon suivant la Jalsa, je remercie [d’habitude] les travailleurs et je mentionne également les impressions des invités qui y ont participé, ainsi que les bénédictions d’Allah ayant trait à la Jalsa.

Tout d’abord, je voudrais remercier tous les travailleurs qui ont travaillé de manière désintéressée dans la préparation de la Jalsa jusqu’au démantèlement du site et qui continuent de le faire sous une forme ou une autre. Ensuite, pendant la Jalsa, les bénévoles, hommes et femmes, des différents départements ont généralement fait du bon travail selon leurs capacités, ce dont tous les participants devraient être reconnaissants. Ceci est la morale islamique : si quelqu’un vous a été bénéfique de quelque manière que ce soit, si quelque chose qu’il a fait vous est utile, remerciez-le : la gratitude envers les hommes conduit à la gratitude envers Allah. Enfants, adultes, femmes et filles ont tenté de respecter les exigences de leurs devoirs.

Certaines failles et lacunes sont tout de même apparues ; ces faiblesses apparaissent lorsqu’il s’agit d’opérations à si grande échelle. Or il incombe à l’administration de supprimer ces faiblesses et défauts. Par exemple, il y a eu des plaintes concernant le service d’alimentation du côté des dames, entre autres. J’envoie les lettres des gens à l’administration [de la Jalsa], et après les avoir examinées, celle-ci devrait inscrire ces lacunes dans le livre rouge et tenter de mieux gérer la Jalsa l’année prochaine, dans chaque département.

Toutefois, en général, les ouvriers ont travaillé dur et ont fait du bon travail. Les enfants s’acquittaient eux aussi de leur devoir. Je les remercie donc tous.

La MTA a fait une très bonne couverture. Cette fois, la MTA a eu la tâche additionnelle de construire elle-même les studios entièrement, ce qui a permis d’économiser des milliers de livres [Sterling]. Cette année a également réuni de nombreux pays développés et en voie de développement lors des sessions de la Jalsa afin que les participants assis dans le chapiteau puissent voir leurs frères vivant dans d’autres pays. Les caméras de la MTA nous ont ainsi présenté une grande unité. C’est là une grâce spéciale d’Allah. Les travailleurs de la MTA méritent des remerciements pour avoir montré l’unité Ahmadiyya au monde entier à travers la MTA et fermant ainsi la bouche des opposants.

Je vais présenter les opinions de certains individus n’appartenant pas à la communauté et aussi celles de ses membres. Je mentionnerai les bénédictions d’Allah, et comment Allah a transmis le message de l’islam au monde à travers la Jalsa Salana.

Abu Bakr Sini du Niger n’est pas affilié à la Jama’at: il un érudit musulman non-ahmadi. Il est aussi imam d’une mosquée de la ville de Niamey. Il déclare : « C’est l’amour et l’affection des ahmadis pour le Califat et leur obéissance parfaite à son égard qui m’ont le plus impressionné. Il y avait un silence complet lors des discours. On dirait que Dieu Lui-même a implanté cet amour dans le cœur des gens parce qu’il n’y avait aucune trace d’artifice en eux. »

Ishaq du Burkina Faso, qui n’est pas membre de la Jama’at déclare : « Votre Jalsa Salana était merveilleuse. Le rassemblement de tant de personnes en un même lieu n’est rien de moins qu’un miracle. Ce rassemblement est un exemple de l’obéissance à un Imam. Qu’on l’accepte ou non, aujourd’hui c’est l’Ahmadiyya qui représente le vrai islam et bientôt les gens reconnaîtront ce fait et y entreront. » Ce sont les commentaires de personnes non-affiliées à la Jama’at et qui sont aussi musulmanes : Allah est en train de les tourner dans cette direction.

Un Syrien non-affilié à la Jama’at en Guyane française a suivi la Jalsa Salana pour la première fois. On avait pris les mesures pour que les arabophones puissent suivre les sessions de la Jalsa à la mosquée via MTA Al Arabiya. Ce Syrien déclare : « J’entends le message de la Jama’at pour la première fois et c’est la première fois que j’ai entendu le discours de votre Calife. Je suis très impressionné qu’il y ait une telle organisation parmi les musulmans qui porte ainsi le vrai message de l’islam au monde et travaille partout dans le monde sous l’allégeance d’un Calife. Je vais certainement étudier davantage votre Jama’at et pousser mes recherches davantage, si Dieu le veut. »

Un musulman non-affilié à la Jama’at de la Guyane française était venu suivre la Jalsa. Il déclare : « C’est la première fois que je suis la Jalsa Salana du Royaume-Uni et j’en suis très impressionné. Votre Jama’at est universelle. Je suis originaire de la Guinée-Conakry. En regardant la Jalsa, j’ai constaté que de nombreux pays participaient en direct, mais la Guinée Conakry n’y était pas représentée. Je réfléchissais à ce propos quand la vidéo de la Jama’at de Guinée-Conakry est passée à l’écran et j’ai été très content que votre Jama’at est également établie là-bas. Après avoir écouté le discours de votre Calife sur les droits des femmes je suis fier d’être musulman. »

Un invité non musulman du Libéria, M. Bob, travaille comme directeur dans un département d’électricité. Il s’agit d’un homme bien éduqué. Il déclare : « J’ai été très impressionné après avoir écouté le discours du Calife. Avant cela, je pensais que les femmes n’avaient aucun droit dans l’islam, mais aujourd’hui, après avoir écouté ce discours, j’ai appris que les droits des femmes garantis par l’islam sont très détaillés et nous n’en trouvons dans aucune autre religion. Avant cela, j’avais entendu dire que la communauté Ahmadiyya est bien organisée. Aujourd’hui, j’ai vu de mes propres yeux comment la communauté Ahmadiyya est unie sous les mains d’un leader et est engagée dans des efforts pour la paix dans le monde. »

Monsieur Kate Bole de la Zambie est pasteur de profession. Il déclare : « J’ai été très impressionné lorsque j’ai entendu le discours de clôture de votre Calife le dernier jour de la Jalsa. Le discours de votre Calife était très étonnant. J’ignorais à quel point l’islam a garanti les droits de la femme. Je pensais que l’islam avait usurpé les droits des femmes et ne leur avait accordé aucune liberté. Selon moi, l’islam a enfermé la femme à l’intérieur de la maison, mais aujourd’hui j’ai changé d’avis en entendant ce discours. Je n’aurai certainement pas honte de dire que le christianisme n’a pas octroyé les droits que l’islam a donnés aux femmes… » Il s’agit là des déclarations d’un pasteur. « Nous maltraitons nos femmes sans raison et les traitons comme nos esclaves. Votre Calife a dit à juste titre qu’un homme obtient ses droits par la contrainte, d’une manière ou d’une autre. Aujourd’hui, j’ai senti que l’islam ne tolère pas la violence ; les enseignements de l’islam sont très beaux. »

Une personne de la Côte d’Ivoire, à qui l’on prêche à propos de l’Ahmadiyya, déclare : « J’ai connu la Jama’at par diverses sources, mais la Jalsa Salana du Royaume-Uni l’a présentée d’une manière unique. » C’est la première fois qu’il a suivi la Jalsa en direct à la télévision. Les arrangements étaient très impressionnants. Il déclare : « La participation d’un si grand nombre à un événement d’une manière organisée indique que la formation impartie par le Califat a eu un effet profond sur eux. J’ignorais comment les gens prêtaient allégeance au Saint Prophète Muhammad (s.a.w.). La vision de gens prêtant allégeance au Calife a laissé un profond effet sur moi que je ne peux décrire. À présent, je vais suivre régulièrement le sermon de votre Calife. »

Un représentant du département de l’immigration au Congo-Kinshasa a suivi le déroulé de la Jalsa là-bas. Il a écouté mon discours. Il déclare : « Ce discours m’a fait réfléchir pourquoi je ne suis pas ahmadi jusqu’à présent. » Il a promis de visiter la mission à l’avenir et de faire plus de recherches sur la Jama’at.

Les gens sont également formés par la MTA. On avait fait les arrangements nécessaires pour suivre la Jalsa Salana du Royaume-Uni à la mission de Marau au Cameroun. Parmi ceux qui présent se trouvaient une femme du village voisin d’Oumal. Elle a profité des trois jours du programme. À la fin de la Jalsa Salana, elle a dit à toutes les personnes présentes : « Nous sommes chanceux d’avoir la MTA. La MTA n’est pas une chaîne de télévision mais une école et une université d’où l’on acquiert des connaissances au quotidien. Nous avons beaucoup appris durant ces trois jours. La MTA est disponible sur le câble, donc tout le monde devrait en profiter. On doit la suivre régulièrement dans les foyers et les enfants doivent également en faire de même afin d’augmenter leurs connaissances islamiques. Surtout, écoutez les discours et les sermons du Califat pour que notre foi augmente. »

Une autre personne du Congo-Kinshasa a présenté ses impressions. L’imam des musulmans hanbalis a été invité à assister au déroulement de la Jalsa à la Jama’at d’Ilibou. A la fin de la Jalsa, il a dit : « À mon avis un trait distinctif de la Jama’at est la façon dont elle a présenté le véritable enseignement de l’islam offert par le Saint Prophète Muhammad (s.a.w.). Je veux maintenant rejoindre la communauté Ahmadiyya. Qu’Allah m’en accorde l’opportunité. » Qu’Allah lui en accorde la possibilité.

Une jeune musulmane albanaise du nom de Vilma, a déclaré : « La Jalsa Salana du Royaume-Uni était sublime et le nombre de ses participants était extraordinaire. Je n’ai pas encore rejoint la Jama’at : mais cette réunion m’a inspirée à réfléchir sérieusement à l’importance et à la vérité de cette communauté. Après avoir écouté le discours du Calife de l’époque, j’ai senti que je suis d’accord avec ce qu’il a dit. Son explication de ces sujets a beaucoup accru ma foi. Je souhaite pouvoir participer personnellement à de telles réunions à l’avenir également. »

Une Afghane vivant en Guyane française est venue avec ses enfants pour suivre le discours de clôture. Elle dit : « Nous connaissions déjà un peu votre communauté, mais après avoir écouté le discours de votre Calife lors de la Jalsa Salana du Royaume-Uni, mon état était tout autre. En entendant parler des droits des femmes dans l’islam, j’ai été très soulagée de voir à quel point notre religion se soucie des droits des femmes. J’ai ressenti cela davantage parce que l’islam que les Talibans veulent instaurer en Afghanistan n’accorde aucun statut à la femme, quand en réalité, l’islam est le parfait garant des droits des femmes. »

Un invité non musulman du Libéria, M. Amos Ghonse, le commandant de la section criminelle dans la police, un homme bien instruit, avait participé à la Jalsa. Lorsqu’il a entendu mon discours du deuxième jour, il en a été très impressionné. On l’avait invité pour le deuxième jour. Le troisième jour, il est revenu de lui-même et après le discours, il a déclaré : « Mes opinions sur l’islam étaient très négatives. La raison était l’attitude de certains musulmans. Mais après avoir suivi la Jalsa, j’ai senti que l’islam c’est une religion pacifique et que la Jama’at Ahmadiyya est engagée à servir l’humanité à tous égards. Donc, à partir d’aujourd’hui, mes pensées sur l’islam ont changé et mes réserves ont disparu. » Il a également déclaré que si la Jama’at Ahmadiyya avait atteint cette région plus tôt, de nombreuses personnes se seraient déjà converties à l’islam.

En Guyane française, il y avait aussi un arrangement pour écouter la Jalsa Salana collectivement. Il s’agit d’une petite communauté. Peu de gens s’étaient rendus là-bas. Deux chrétiens d’Haïti à qui l’on prêche le message de l’Ahmadiyya sont venus entendre le discours de clôture. Ils ont dit : « Nous sommes surpris de constater que votre Calife a choisi d’expliquer les droits des femmes dans son discours, soit le même sujet sur lequel nous parlions tous deux ces deux derniers jours, notamment, quels sont les droits des femmes selon l’islam ? Nous ne savions pas que l’islam présentait un enseignement aussi parfait et complet sur les droits des femmes. Si nous n’avions pas entendu le discours de votre Calife aujourd’hui, nous n’aurions peut-être pas connu ce bel enseignement. Aujourd’hui, on parle beaucoup des droits des femmes, mais l’islam présente les véritables responsabilités des hommes et des femmes. »

De nos jours, ces gens lisent aussi le livre « La Vie de Mohammad », et ils ont demandé plus de littérature.

Voici un rapport venant de l’Ile Maurice : des gens s’étaient rassemblés pour suivre la diffusion de la Jalsa dont Tania Deol, la députée et secrétaire privée parlementaire aussi. Elle déclare : « La scène était magnifique. Assister aux événements et à la culture de la communauté Ahmadiyya est une expérience formidable. C’est très impressionnant que vous organisiez un si grand événement religieux dans une ville comme Londres. Il est également vrai que la religion est devenue très importante compte tenu de la situation économique et sociale d’aujourd’hui. Rassembler un si grand nombre de personnes dans un but spirituel pour s’évaluer est un but grandiose, surtout quand nous traversons tous une période difficile où le monde souffre de nombreuses crises. Pour moi, ce genre de rencontre est très utile pour maintenir la société sur la bonne voie et maintenir des valeurs élevées. C’était une expérience est très agréable pour moi ; j’ai appris beaucoup d’ici. En même temps, ces moments sont aussi inquiétants pour moi. »

Les nouveaux convertis ont également envoyé leurs commentaires. Mme Hawa est une nouvelle convertie du Burkina Faso ; elle dit : « Les paroles claire du Calife de l’époque nous apprennent que nous n’avons pas prêté allégeance à l’Ahmadiyya en tant que véritable islam, uniquement pour faire d’autres ahmadis, mais aussi pour faire de chacun de nous un ahmadi idéal dans la société et renforcer notre foi en unissant nos paroles et nos actions et grandir dans notre conviction. »

Les gens disent à tort que les Africains sont analphabètes. Cette femme dit : « Nous devons créer un tel changement de sorte que nos paroles et nos actions concordent. » Tout ahmadi éduqué vivant en Europe et dans des pays développés doivent réfléchir à ces propos et faire en sorte que leurs paroles et leurs actions soient en conformité partout.

Une nouvelle convertie en Indonésie déclare : « La Jalsa Salana du Royaume-Uni est extraordinaire. Je suis une nouvelle convertie et c’est le moment pour moi d’accroître ma spiritualité au sein de cette communauté divine. J’ai vu des gens venir à cette Jalsa en légion. Bien que je n’aie suivi cette Jalsa qu’à la télévision, mon cœur et mon esprit étaient présents à la Jalsa du Royaume-Uni. Cette rencontre a augmenté ma foi en cette communauté divine et je vais m’améliorer à l’avenir. »

Voici un rapport venant du Congo-Brazzaville. Après avoir écouté mon discours adressé aux dames, les femmes ahmadies ont promis ceci : « Nous allons nous préparer nous-mêmes et nos enfants à toutes sortes de sacrifices pour répandre l’islam et l’Ahmadiyya. »

Une nouvelle convertie dit : « Trois jours se sont écoulés dans un milieu spirituel. Nous voulons que chaque jour se passe ainsi afin de profiter de l’environnement spirituel. »

Ari Himawan, un nouveau converti en Indonésie, relate : « Je suis un nouveau converti. Après avoir suivi la Jalsa Salana britannique en direct, je n’ai qu’un seul mot pour la décrire : « Incroyable ! » Je suis surpris qu’il n’y ait qu’une seule organisation islamique dans le monde dont les membres soient répartis dans le monde entier. Elle possède une chaîne de télévision qui fonctionne 24 heures sur 24. J’avais l’habitude de me demander s’il existait une organisation islamique comme les Témoins de Jéhovah, les Mormons ou l’église Adventiste. Ce sont des organisations chrétiennes avec des millions d’adeptes et travaillant dans des centaines de pays, mais j’ai eu la réponse que cette organisation islamique est la Jama’at Ahmadiyya qui est répandue dans le monde entier et je suis heureux d’être membre de cette organisation. Cette organisation islamique convient à mon caractère et à ma personnalité. Maintenant, étant un ahmadi, je peux devenir une personne utile et m’épanouir physiquement et spirituellement.

Bugobayos Durin du Kazakhstan relate : « La Jalsa a eu un impact particulier sur mon cœur. J’ai suivi le déroulé de la Jalsa avec ma femme dans une atmosphère spirituelle. Le discours du Calife a eu un effet spécial sur mon cœur que je ne peux exprimer par des mots. De même, les discours des autres orateurs étaient très bons. Les ahmadis du monde entier ont eu l’occasion de suivre la Jalsa sur la MTA. Qu’Allah récompense tous les travailleurs et la direction. Priez pour moi aussi qu’Allah puisse garder ce sentiment et cet état spirituel jusqu’à la Jalsa Salana de l’année prochaine et le maintenir pour toujours. »

Un nouveau converti de la Zambie a écouté mon discours et n’a pas pu contrôler ses émotions : il avait des larmes aux yeux. Après avoir essuyé ses larmes, il est revenu et lorsqu’on lui a demandé ce qui s’est passé, il a répondu qu’il a vu le Calife pour la première fois de sa vie et entendu sa voix. C’est pourquoi il avait des larmes aux yeux. Il dit : « J’ai quatre-vingts ans. J’ai passé toute ma vie parmi les loups, c’est-à-dire parmi les gens cruels, et après avoir accepté l’Ahmadiyya, j’ai découvert que le véritable enseignement de l’islam est de répandre l’amour et non de répandre la haine entre les gens. » Puis, un jour, après le Dars suivant la prière d’Al-Fajr, il s’est levé et s’est adressé à tous les fidèles en disant : « Remplir cette mosquée de gens n’est pas seulement le travail du missionnaire, mais c’est notre responsabilité à nous et nous devons tous prêcher le message. »

Isa Gibri est un nouveau converti en Australie. Il avait prêté le serment d’allégeance, mais a été influencé par les objections des non-ahmadis, et en particulier l’objection selon laquelle la Jalsa est une innovation. Il a participé dans la Bai’at Internationale à la mosquée Bait Al-Masroor et a déclaré : « Tous mes doutes ont disparu car je pouvais clairement voir que cette Jalsa était tenue uniquement pour la cause d’Allah. C’était pour moi l’occasion de renouveler ma foi. En participant à la prière collective lors du serment d’allégeance avec le Calife, j’étais pleinement convaincu que mes supplications seront exaucées. »

Les gens renforcent leur foi en suivant les activités de la Jalsa. Nikias Gibri, un [autre] nouveau converti en Australie déclare : « La Bai’at Internationale était une expérience incroyable pour moi. Je n’avais jamais ressenti l’état spirituel que j’ai traversé à ce moment-là. Il y avait une atmosphère spirituelle qui m’a offert la sérénité et l’épanouissement spirituel. »

Yusuf al-Habisa, un nouveau converti du Lesotho, déclare : « Ceci est ma première Jalsa et j’y ai vu le Calife de l’époque pour la première fois. Je n’ai jamais entendu les moyens qu’il a expliqués pour réformer les faiblesses et les maux de la société à travers les enseignements grandioses de l’islam. Je n’ai pas non plus appris cela dans le christianisme. Lorsque je faisais des recherches sur l’Ahmadiyya et que j’ai vu pour la première fois l’image du Calife, Allah m’a dit dans un rêve que c’était la vraie religion. Ma venue à l’Ahmadiyya et ma découverte du véritable islam est en fait une direction d’Allah que j’ai reçue après avoir vu le Calife. Ainsi, suivre la Jalsa pour la première fois de ma vie et participer aux scènes émouvantes du serment d’allégeance, ont fait naître en moi un changement et une nouvelle vie. »

Palumbia de l’Albanie est professeur d’histoire. Il a prêté le serment d’allégeance quelques années de cela en Allemagne. Il déclare : « Ma participation à la Jalsa Salana du Royaume-Uni était virtuelle cette année-ci, mais je me sentais comme si j’y étais en personne. L’atmosphère de la Jalsa et l’effet du discours du Calife étaient si grands que j’ai senti que j’étais physiquement présent à la rencontre. Ce rassemblement mondial est une preuve qu’il y a de l’unité au sein de la Jama’at. Les ahmadis du monde entier sont réunis à la main d’un Calife. Tous les amis ahmadis veulent comprendre leurs devoirs. Ils attendent les instructions du Calife de l’époque et sont impatient de les suivre. Dans son discours de clôture, il nous a donné des instructions très claires dans des mots simples que chaque membre de la société peut facilement comprendre. Ce discours nous place face à nos responsabilités, surtout pour nous qui vivons dans la société albanaise où il y a beaucoup de problèmes concernant les droits des femmes. »

Gouna Romji, une dame au Niger, déclare : « Après avoir écouté le discours du Calife adressé aux dames, j’ai vraiment compris les droits des femmes et leurs responsabilités. Le Calife a cité l’exemple de Hazrat Amma Jan et comment elle prenait soin de ses enfants et leur accordait une éducation exemplaire ; j’ai juré en même temps qu’à partir d’aujourd’hui je porterai moi aussi une attention particulière à l’éducation de mes enfants afin qu’ils puissent devenir des serviteurs idéaux de la religion. » C’est ainsi comment Allah est en train de créer des changements.

Atif Zahid est un missionnaire à Adélaïde. Il écrit : « Il y a un décalage horaire de huit heures et demie entre Adélaïde et Londres. Toutes les émissions de Jalsa devaient être diffusées ici tard dans la nuit. J’avais peur que les gens ne viennent pas et que la présence ne soit pas bonne, mais les gens ont montré une sincérité extraordinaire et même si le vendredi était un jour ouvrable, les gens sont venus à la mosquée et ont écouté le discours. Ils étaient présents lors de la Bai’at International. Ils sont restés éveillés jusqu’à trois heures du matin et ont écouté le discours de clôture. L’amour de tout le monde était visible pour le Califat et ils ont également été reconnaissants envers la MTA. »

Goulian Makina du Kazakhstan relate : « La Jalsa Salana s’est conclue avec succès par la grâce de Dieu. Les discours du Calife et d’autres orateurs sur divers sujets ont été très utiles et intéressants. Ces discours ont eu un impact particulier sur mon cœur et j’ai aussi appris à prêcher. Je suis sûr que de cette façon, d’autres auditeurs obtiendront eux aussi des réponses à leurs questions. De plus, Allah m’a accordé l’opportunité de renouveler mon allégeance. Qu’Allah ouvre le cœur et les yeux des gens et qu’Il leur permette d’accepter la direction. »

Mme Shema Qasim du Yémen déclare : « Nous avons suivi le déroulement de la Jalsa. C’était comme si nous étions au paradis. Le soleil de l’islam s’est à nouveau levé sur nous et a rafraîchi nos cœurs et nos âmes. Un esprit de vraie foi, d’amour, d’unité et de moralité nous a été inculqué. Nous étions loin de vous mais nos cœurs étaient avec vous. Nous étions présents dans la même maison et personne d’autre qu’un ahmadi ne pouvait ressentir ce lien. Malgré de fortes pluies dans notre pays, le temps était beau pendant les trois jours du Jalsa et par la grâce d’Allah, nous avons suivi l’ensemble des discours de la Jalsa. Que Dieu maintienne le Califat : sans lui, nous n’avons ni existence ni but. »

Madame Du’a, une autre Arabe, de Kababir relate : « Je prenais des notes de votre discours. Je suis très reconnaissante de l’attention que le Calife a accordée aux droits des femmes dans son discours de clôture. Je suis une religion qui protège mes droits et mes sentiments. Je suis fière de répéter tous ces points à mes amies non musulmanes. Ensuite, le Calife nous a parlé des droits des hommes, ce qui m’a poussée à me demander si je respecte ou pas les droits de mon père, de mes frères et de mon mari. Au moment du serment d’allégeance, j’ai réalisé que nous étions en fait avec le Califat et qu’il n’y avait ni terre ni mer entre nous. J’étais alors si heureuse que je pensais que mon cœur allait éclater. »

Umm al-Shafi, une femme de la Jordanie, écrit : « J’ai entendu votre discours du premier jour de la Jalsa Salana et mon corps a tremblé lorsque j’ai réalisé ma responsabilité. Au programme de la deuxième journée, nous avons vu l’amour des ahmadis du village de Viganda pour le Messie Promis (a.s.) et le Calife. Bien que ce village soit très reculé et que ses habitants soient toujours privés des nécessités de base de la vie, pourtant, entendre les paroles d’un des dirigeants de ce village m’a fait monter les larmes aux yeux. Il disait qu’il aime Allah et Son Messager et le Messie Promis. C’étaient des mots apparemment simples, mais ils ont eu un effet profond sur mon cœur. »

Marwa Abdullah de l’Egypte déclare : « Amîr Al-Mou’minîn, vous avez enrichi nos cœurs d’une richesse spirituelle à travers vos discours et ceux des autres orateurs. J’ai commencé à voler au ciel de la spiritualité et j’ai eu hâte de rencontrer mon Seigneur. Je souhaite atteindre l’état de l’âme en paix que vous avez mentionné. Mon cœur veut que je sois tellement perdue dans l’amour de Dieu et la passion pour Sa proximité que je ne sois plus consciente de mes alentours. Mon corps peut être présent devant les gens, mais mon âme souhaite voler dans le ciel d’amour de Dieu et de Son Messager. »

Les Arabes sont très éloquents et savent exprimer leur sincérité et leur loyauté. Qu’Allah leur accorde des progrès dans la foi et la croyance.

Nazlan Azgan est un nouveau converti de la Malaisie. Il est d’origine modeste et mène une vie très simple. Ses conditions financières ne sont pas bonnes non plus. Il n’avait pas d’argent pour suivre la Jalsa sur Internet. Il a donc cueilli des mangues d’un arbre devant sa maison et les a vendus. Ensuite, il a acheté des données Internet avec l’argent de la vente et a pu ainsi suivre le déroulé de la Jalsa.

Seni Balte, un ami non-ahmadi en Guinée-Bissau, a suivi la Jalsa. Il déclare : « Je n’ai jamais suivi de rencontre pareille au cours de laquelle les gens écoutaient leur chef avec autant d’amour et de respect. Les scènes de la Bai’at internationale étaient très belles. » Il n’avait suivi que la Bai’at internationale. « Toute la Jama’at était unie. En voyant ces scènes, j’étais convaincu que la Jama’at Ahmadiyya obéit pleinement à son Calife et ceci est le secret de son progrès. En fait la Jama’at Ahmadiyya est une vraie communauté et vous êtes sur la bonne voie. »

Soraya Gomez du Mexique déclare : « J’ai pu suivre la Jalsa Salana du Royaume-Uni. Le discours de clôture était des plus intéressants dans lequel le Calife a évoqué les droits des femmes et comment améliorer le milieu familial. Ce sont des enseignements islamiques que je tenterai de suivre dans ma propre vie. En sus de cela, j’ai été très émue après la cérémonie de la Bai’at, un état que je ne peux pas décrire avec des mots : je ressentais un grand bonheur et une grande paix. »

Une nouvelle convertie en Guinée-Bissau était venue suivre la Jalsa Salana avec une dame non-affiliée à la Jama’at. Elle déclare : « J’ai suivi vos discours des trois jours de la Jalsa. » Le dernier jour, la dame non-Ahmadie a annoncé dans la mosquée : « J’avais beaucoup d’objections sur la Jama’at. Mais après avoir écouté les discours de votre Calife, toutes ces objections ont disparu et j’annonce que je me joins à la Jama’at Ahmadiyya et je dédie aussi mon fils à la Jama’at Ahmadiyya. »

Kamba Keta est une femme d’un village de la Guinée-Bissau et qui a suivi la Jalsa Salana du Royaume-Uni. Lorsqu’elle a entendu parler du serment d’allégeance international elle en a demandé des détails au Mou’allim. Celui-ci a parlé des dix conditions du serment d’allégeance. Cette dame s’est jointe à la cérémonie de serment d’allégeance, a répété tous ses termes et a également écouté le discours de clôture. Finalement, elle déclaré : « J’avais accepté l’Ahmadiyya au cours de la Bai’at international. Mais après ce discours, j’annonce que c’est le Califat de la Jama’at Ahmadiyya qui peut sauver l’Oummah musulmane à ce moment. Aujourd’hui j’annonce que je rejoins la Jama’at Ahmadiyya. Je conseillerai à mes enfants d’accepter l’Ahmadiyya car celle-ci est l’islam véritable. »

Le missionnaire du Congo-Brazzaville écrit que les différentes congrégations ont pu suivre collectivement toutes les retransmissions de la Jalsa Salana à travers la MTA Africa et que beaucoup de gens ont été touchés par les discours. Par la grâce d’Allah, 23 personnes ont pu prêter allégeance après avoir suivi les discours de la Jalsa Salana.

Mambora Jelli du Congo-Brazzaville qui adhère au christianisme a été invité pour suivre la Jalsa Salana. Il a écouté les discours de la Jalsa pendant deux jours. Il déclare : « Pendant deux jours j’ai entendu parler des droits d’Allah, des droits d’autrui, de la piété et de la prière pour le pardon, autant de conseils qui ont pénétré en mon cœur ; et je ressens un changement en moi. Or, dans l’église, on ne parle que de sorcellerie ou d’exorcisme. J’ai décidé de rejoindre votre Jama’at parce que c’est là que j’obtiens la paix spirituelle. »

Il a fait la Bai’at est a rejoint la Jama’at.

Misebisa, récemment converti à l’islam du Burkina-Faso, relate : « C’est la première fois que je vois le Calife directement. Je suis un nouveau converti à l’islam et la question m’est toujours venue à l’esprit que le monde doit être uni sous un seul chef. J’ai vu l’unité au sein de la communauté Ahmadiyya et j’ai commencé à prier avec eux dans leur mosquée. Aujourd’hui, j’ai participé dans le serment d’allégeance international et la Jalsa Salana du Royaume-Uni. Quand j’ai vu tout cela de mes propres yeux, j’étais satisfait et j’ai vu que tout le monde était uni comme je l’ai toujours imaginé. J’ai trouvé la réponse à ma question. J’annonce que j’ai accepté l’Ahmadiyya et je demande également ma famille à suivre le Califat. »

Le président de la Jama’at du Sri Lanka relate la conversion d’une personne à l’Ahmadiyya. Il écrit qu’on a pris des dispositions pour suivre collectivement la Jalsa Salana dans les congrégations locales. Malgré de graves difficultés de transport, compte tenu de la situation du pays, quatre-vingt-cinq ahmadis et non-ahmadis ont participé à la Jalsa et à la Bai’at Internationale, au siège de la Jama’at à Colombo. A cette occasion, deux amis ont prêté le serment d’allégeance et ont rejoint la Jama’at. De même, les membres de la congrégation de Nogombo, Sosala et Polnarua ont suivi la Jalsa collectivement. Tous les programmes ont également été traduits en langue tamoule. À la suite de ces programmes, quatre personnes ont pu accepter l’Ahmadiyya.

Voici un rapport sur l’Albanie où il y avait la traduction en direct sur YouTube qui était écoutée par des Albanais en Albanie, au Kosovo, en Macédoine, en Allemagne et ailleurs. M. Albert, un ami musulman albanais à qui l’on prêche le message de la Jama’at, a rejoint pour la première fois la séance de clôture de la Jalsa Salana du Royaume-Uni. Après la fin de la Jalsa, il a déclaré : « Le discours du Calife regorge de versets du Saint Coran, d’incidents de la vie du Saint Prophète Muhammad (s.a.w.) et d’arguments rationnels, mais c’était dans un langage très simple. Il a également présenté les réponses à toutes les questions de ceux qui soulèvent des objections quant aux droits des femmes dans son discours. » Peu de temps après son retour, il a de nouveau fait un appel et a continué à exprimer ses sentiments à propos de la Jama’at Ahmadiyya et de la Jalsa. Il a déclaré : « La Jama’at Ahmadiyya représente l’islam véritable. » Quand on a mentionné les termes du serment d’allégeance, il s’est référé à un livre albanais du Jama’at et a dit : « Il se trouve les dix conditions de la Bai’at dedans et je les ai lus. Maintenant, je suis prêt à prêter le serment d’allégeance. »

Un mou’allim du Congo-Brazzaville a écrit qu’il y a une femme dont le mari avait déjà accepté l’Ahmadiyya et qui voulait que celle-ci accepte elle aussi l’islam. Il lui prêchait et priait, mais celle-ci n’était pas prête à quitter son église. On l’a invitée à suivre la Jalsa Salana. Elle a regardé les discours des trois jours et le dernier jour de la rencontre, elle a dit : « J’ai comparé les paroles de mon pasteur et de votre Calife pendant trois jours. J’en suis venue à la conclusion que les paroles du Calife sont très différentes. Il y a du poids et tout pénétrait au cœur. Nous écoutons les paroles du prêtre tous les jours sans jamais sentir que ses paroles ont un impact sur notre cœur. » Elle a prêté allégeance et a rejoint la Jama’at.

Ce sont quelques-unes des impressions des gens. A l’occasion de la Jalsa, comme vous avez pu le constater, on a aussi reçu de nombreux messages de personnalités éminentes. Nous avons 126 messages de divers politiciens et dirigeants du monde entier. 101 d’entre eux étaient des vidéos et 25 des messages écrits. Il s’y trouve entre autres des messages de ministres et de parlementaires. Outre le Royaume-Uni, des personnalités [de marque] ont envoyé des messages dans d’autres pays dont les États-Unis, le Canada, la Sierra Leone, l’Ouganda, le Liberia, la Nouvelle-Zélande, l’Espagne et les Pays-Bas.

On a reçu des diffusions en direct de 53 pays. Des ahmadis de cinquante-trois pays ont rejoint la Jalsa Salana du Royaume-Uni. Il y avait quatre-vingts emplacements en Europe, en Afrique et en Asie, au sein des cinquante-trois pays où les gens se sont joints [à nous].

En raison de la Covid-19, nous n’avions pas invité des journalistes, mais deux médias ont spécifiquement demandé l’autorisation d’y assister et ont obtenu l’autorisation. La section presse avait estimé qu’il serait très difficile cette fois de savoir comment informer le monde de la Jalsa Salana, mais Allah a pris des dispositions pour la couverture et deux journalistes étaient présents, de la BBC et d’une autre [organisation]. La Jalsa a reçu une large couverture grâce à la BBC, ITV, Metro, LBC, BBC Radio Surrey et BBC South Today, le site Web de BBC News. D’autres chaînes ont également retransmis ces informations. Huit médias ont couvert la Jalsa au niveau régional. En outre, vingt-huit sites Web ont publié des nouvelles ou des articles sur la Jalsa. Ces sites Web touchent plus de vingt millions de personnes. Au niveau de la presse écrite, quatorze articles concernant la Jalsa ont été publiés dans les journaux et le nombre de lecteurs de ces journaux s’élève à 1,2 million. La Jalsa Salana a été couverte dans trente-deux diffusions sur diverses chaînes de télévision. Le nombre de téléspectateurs de ces chaînes de télévision est de plus de douze millions. Trente-trois émissions sur les stations de radio ont mentionné la Jalsa Salana du Royaume-Uni. Le nombre d’auditeurs de ces radios dépasse le million. Par le biais des réseaux sociaux, certains médias, journalistes et personnalités publiques ont fait passer des messages concernant la Jalsa qui ont touché plus de douze millions de personnes. L’équipe de la presse et des médias a également réalisé des vidéos et les a publiées sur les réseaux sociaux, touchant ainsi plus de 234 000 personnes. Dans l’ensemble les nouvelles de la Jalsa ont atteint plus de 57,5 millions de personnes.

Les journalistes n’étant pas autorisés à venir, l’équipe de la presse et des médias a envoyé de la nourriture à 32 journalistes grâce à l’aide du département de Tabligh de la Jama’at britannique. Ceux-ci ont réagi très positivement et ont grandement apprécié [ce geste]. Le journaliste Edward Salt, représentant de BBC South, a déclaré : « J’avais passé un bon moment lors de la Jalsa. L’hospitalité était très bonne. C’était également formidable d’écouter divers discours et je travaillerai avec vous à l’avenir. »

Stevie Nita, journaliste, a déclaré : « J’étais ébahi par votre générosité. »

Natasha Deon, une journaliste, a déclaré : « Toutes les religions sont essentiellement les mêmes. Les bonnes gens utilisent la religion pour rassembler le monde et aider les pauvres, tandis que les mauvaises gens utilisent la religion pour des raisons négatives. La Jalsa Salana est définitivement un exemple de bonnes gens. »

1885 publications, photos et vidéos ont été mis en ligne sur les réseaux sociaux ayant trait à la Jalsa Salana par la MTA, grâce auxquelles les nouvelles ont atteint quatre millions de personnes. Deux cent treize mille personnes ont aimé ces messages. 1236 vidéos ont été mises en ligne sur les réseaux sociaux avec des commentaires à leur sujet, qui ont été vues par 231 000 personnes. Le temps total dépensé par ces téléspectateurs est de 470 000 heures.

Vingt-quatre mille personnes ont visité le site Web de la MTA quatre-vingt-douze mille fois. La MTA Afrique relate que le Jalsa Salana a été diffusé en direct sur 20 chaînes en direct. Certaines d’entre elles étaient des chaînes d’Etat et d’autres des chaînes privées. Certaines chaînes étaient regardées dans tout le pays. Ces chaînes comprennent Gambia National TV, Sierra Leone National TV, Liberia National TV et plusieurs chaînes privées. La cérémonie de la Bai’at Internationale a également été diffusée. Mes discours ont été diffusés sur vingt chaînes de télévision et ont atteint trente-cinq millions de personnes.

Outre la couverture en direct de la Jalsa, des communiqués de presse ont été préparés et envoyées en Afrique. Ainsi, durant ces trois jours de la Jalsa, quinze chaînes ont diffusé des informations sur la Jalsa Salana, touchant ainsi quinze millions de personnes.

La Review of Religions a aussi fait une couverture considérable, à travers les réseaux sociaux et YouTube. Quarante articles ont été écrits, 12 vidéos ont été réalisées et plus de 110 messages ont été publiés concernant la Jalsa. La couverture de la Jalsa a atteint jusqu’à trois millions de personnes.

Par la grâce d’Allah, la Jalsa a porté de nombreux fruits. J’ai présenté quelques exemples des événements et des impressions concernant la Jalsa. Qu’Allah augmente la foi et la conviction de chaque ahmadi et que les effets de la rencontre soient permanents et non temporaires.

Après la prière, je dirigerai la prière funéraire de quelques personnes et mentionnerai les défunts. La première personne est Mme Nusrat Qudrat Sultana, qui était l’épouse de M. Qudratullah Adnan du Canada. Elle est décédée récemment à l’âge de cinquante-cinq ans. C’est à Allah que nous appartenons et c’est à Lui que nous retournerons.

La défunte était une dame pieuse, sincère, angélique et dévote. À l’hôpital, elle a prêché le message à tout médecin. Un médecin arabe musulman venait écouter sa récitation du Coran. Elle avait l’habitude de lui réciter la sourate Yâ-Sîn. Elle mentionnait le califat dans chacune de ses paroles. Elle était très loyale envers le califat. Beaucoup de ses proches ne sont pas des ahmadis : elle leur a envoyé le message et leur a demandé de prêter allégeance à l’Imam de l’époque. Outre son époux, elle laisse dans le deuil trois enfants. L’un de ses fils étudie à la Jamia Ahmadiyya du Canada : il a un frère et une sœur.

Le mari de la défunte dit : « Ma femme menait une vie de Wâqif-é-Zindagi. Elle a consacré toute sa force et ses efforts à l’éducation des enfants. Elle avait beaucoup d’amour envers le Califat. »

Elle avait une grande passion pour la prédication, comme je l’ai dit, et a aussi développé cette passion chez ses enfants, et parmi eux, j’ai vu que tous les enfants sont passionnés par la prédication, voire une passion extraordinaire, pas une passion mineure. Par la grâce d’Allah, les enfants ont reçu une éducation spéciale et ils aiment aussi l’étude et ont fait en outre des convertis. Un de ses fils, comme je l’ai dit, est à la Jamia et fait un excellent travail : il se nomme Raziullah Noman. Puisse Allah lui accorder, ainsi qu’aux autres enfants de la défunte, la possibilité de servir la religion de manière désintéressée et faire de tous ces enfants les héritiers des prières de leur mère.

Son fils, Jariullah Adnan, dit : « Notre mère était une femme très vertueuse, pieuse et exemplaire. Elle avait une relation spéciale avec Allah. Elle était très soucieuse de l’éducation des enfants et se tournait toujours vers Allah. Elle se souciait beaucoup des orphelins. Elle avait une foi ferme en Dieu depuis son enfance. Lorsqu’elle a reçu un diagnostic de cancer, elle était satisfaite du décret d’Allah. Elle nous disait : « Vous devez être forts et votre foi en Allah doit être plus forte. » Elle a également dit à son médecin que la vie et la mort n’ont pas grande importance : l’essentiel était de mener sa vie de manière que tout le monde soit content de soi et que l’on soit satisfait de ses actes.

Qu’Allah élève son rang.

Le deuxième défunt se nomme Chaudhry Latif Ahmed Jhamar. Il est décédé récemment à l’âge de quatre-vingt-neuf ans. C’est à Allah que nous appartenons et c’est à Lui que nous retournerons. Par la grâce d’Allah il était Moussi. L’Ahmadiyya est entré dans sa famille par l’entremise de son grand-père Hazrat Chaudhry Muhammad Din Sahib Wasil Baki Nawis, dont le nom a été écrit comme Mian Muhammad Din Patwari Bilani, district Gujarat, à la troisième place dans la liste des 313 Compagnons dans l’ouvrage Anjam-é-Atham de la Rouhani Khaza’in, volume 11, page 325. Chaudhry Latif Jhamar Sahib a obtenu une maîtrise en mathématiques de l’Université du Pendjab à Lahore en 1966. Il a rejoint le département de l’éducation. De 1966 à 1968, il a été chargé de cours au Talim Ul Islam College de Rabwah. De 1968 à 1994, pendant plus ou moins vingt-six ans, il a exercé ses fonctions d’enseignant et de directeur du département pédagogique en Sierra Leone. À son retour d’Afrique, il a servi près de cinq ans en tant que Wakil Ul Mal Thani et sept ans en tant que Naib Wakil Ul Mal Thalith. Comme je l’ai dit, il a enseigné dans une école de la Jama’at en Sierra Leone et en 1971, il a officiellement dédié sa vie. Le 1er janvier 2007, il a été nommé Wakil Ul Mal Thalith. Ainsi, la durée totale de son service est de plus d’un demi-siècle.

Sa femme Rashida Latif Sahiba relate : « Mon mari était en Sierra Leone et je me suis rendue auprès de lui après le mariage. Là-bas il m’a conseillé ceci : « Il est difficile pour un Wâqif-é-Zindagi d’acheter et de manger des denrées asiatiques ici. Un Wâqif-é-Zindagi et son épouse doivent consommer des produits locaux. Tu dois apprendre à cuisiner des plats locaux. » Ceci nous a facilité la tâche plus tard. Il était très simple d’esprit, très prévenant, et ceux qui travaillaient avec lui ont également mentionné sa gentillesse. Tout le monde l’appréciait.

Qu’Allah accorde Sa miséricorde et Son pardon au défunt, qu’Il exalte son rang et qu’il accorde patience à sa famille. Il a un fils et une fille. Un de ses enfants est mort durant l’enfance. Que ses enfants puissent poursuivre ses bonnes actions.

La troisième personne est M. Mushtaq Ahmed Alam, fils de M. Muhammad Alam de Mera Barka, à Mirpur, Azad Kashmir. Il est décédé le 19 juillet 2022, à l’âge de soixante ans. C’est à Allah que nous appartenons et c’est à Lui que nous retournerons. Il était un Moussi par la grâce d’Allah. Il laisse dans le deuil son épouse, six fils et deux filles. Trois fils et un gendre sont des Hafiz du Coran. Trois fils sont missionnaires. L’un d’entre eux est Hafiz Musawar Ahmed Muzzammil qui est au Sénégal, en Afrique de l’Ouest. Le deuxième fils est Hafiz Akhlaq Ahmed et le troisième fils est Abdul Khaliq qui se spécialise en archéologie. Son fils qui est au Sénégal n’a pas pu être présent aux funérailles. Qu’Allah lui accorde patience et courage. Qu’Il soit miséricordieux envers le défunt. Comme je l’ai dit, après la prière, j’accomplirai la prière funéraire des défunts en absence de leurs dépouilles.


(Le site www.islam-ahmadiyya.org prend l’entière responsabilité de la publication du texte de ce sermon)