Sermons 2018

Bénédictions et faveurs de la Jalsa Salana du Royaume-Uni

Dans son sermon du 10 août 2018, Sa Sainteté le Calife a évoqué les faveurs accordées par Dieu lors de la Jalsa Salana du Royaume-Uni.

 Sermon du vendredi 10 août 2018, prononcé par Sa Sainteté le Calife, Hadrat Mirza Masroor Ahmad, à la mosquée Baitul-Futuh à Londres. Après le Ta’awudh, le Tashahoud et la Sourate Al-Fatiha, Sa Sainteté le Calife a déclaré :

Alhamdoulillah, dimanche dernier, s’est terminée la Jalsa Salana du Royaume-Uni qui a disséminé ses bénédictions et qui a mis en exergue les faveurs divines. Ces trois jours ont été très bénis. Les préparatifs de la Jalsa Salana durent pendant toute l’année. Durant les trois derniers mois en particulier les bénévoles et les organisateurs sont très occupés.

Le nombre de bénévoles augmente deux semaines avant la Jalsa. À Hadiqat-oul-Mahdi, ils travaillent d’arrache-pied afin de fournir toutes les facilités [aux invités]. Un grand nombre de jeunes et de Khouddam y sont à pied d’œuvre. Fournir toutes ces aménités sur ce terrain gisant presque dans une forêt et y bâtir une ville temporaire n’est pas une tâche facile. D’ailleurs, ces bénévoles ne sont pas des professionnels à plein temps.

Toutes ces œuvres et leurs résultats sont les fruits des bénédictions divines. C’est Allah qui bénit ces efforts de manière extraordinaire ; les invités qui sont présents restent bouche bée en voyant la passion des bénévoles et en font mention. Le nombre de volontaires servant avant la Jalsa augmente lors des jours de la Jalsa pour inclure des jeunes, des vieux, des enfants, des hommes et des femmes. Les invités non-musulmans qui n’ont pas fait l’expérience de la Jalsa s’étonnent de leur dévouement et font part de leurs merveilleuses impressions. En sus de la conduite des bénévoles, l’atmosphère de la Jalsa laisse sur eux une impression particulière qui transforme leur vie. Bien qu’ils soient des non-musulmans, les préceptes de l’islam les touchent et ils arrivent à connaître davantage l’islam et la Jama’at. La beauté des préceptes islamiques dissipe ainsi toute mauvaise impression qu’ils pouvaient avoir à propos de l’islam.

Le deuxième jour de la Jalsa, [j’évoque] brièvement les faveurs qu’Allah a fait pleuvoir sur la Jama’at tout en exprimant [notre] gratitude envers Lui pour Ses innombrables bénédictions. Nous constatons d’ailleurs que suite à cette reconnaissance envers Dieu, lors des jours même de la Jalsa, les faveurs divines pleuvent davantage [nous poussant] à faire montre d’une gratitude encore plus grande. Ceci prend la forme des impressions qu’ont les invités non-ahmadis. Pour [le sermon d’aujourd’hui] je vous présenterai certains de ces ressentis démontrant l’effet des bénédictions de la Jalsa sur ces invités.

Houdé, du Bénin, a servi comme ministre pendant huit ans. Il siège au Parlement béninois et avait participé à la Jalsa. Il relate : « La Jalsa m’a offert ce que je n’aurai pu acquérir en dépensant une fortune. L’atmosphère respirait la paix et la spiritualité, dont j’ai pu profiter. Jusqu’aujourd’hui je n’ai pas vu une rencontre aussi bien organisée dans laquelle étaient présentes environ 40 000 personnes. Des gens de différentes origines s’y étaient réunis : en dépit de cela, il y régnait le calme. Il n’y a eu aucune altercation et chacun se dévouait au service de l’autre. Grands et petits, jeunes et vieux, femmes et filles œuvraient au confort d’autrui en faisant montre d’une grande courtoisie. L’absence de policiers et de soldats dans une si grande réunion m’a fort étonné. Partout je ne voyais que des bénévoles. Je me demandais comment il était possible qu’ils puissent servir en toute abnégation en ces temps qui courent ; et j’en ai conclu que c’était le fruit du leadership du Califat, qui a façonné la conduite des membres de tout âge de la Jama’at, de sorte qu’ils apprennent, tout jeune, à propos de l’organisation de la Jalsa. Grâce à la formation qu’elle offre à ses membres, je constate que bientôt le monde embrassera l’islam et l’Ahmadiyya et que celle-ci sera la plus grande religion du monde. »

Notons que l’Ahmadiyya n’est pas une religion ; c’est l’islam qui sera la plus grande religion du monde. Il sera établi par le truchement du Messie Promis (a.s.) et de l’Ahmadiyya.

Houdé ajoute : « La Jalsa Salana présente dans la pratique les préceptes que prône la Jama’at Ahmadiyya. Je retourne de Londres avec de très bons souvenirs de cette rencontre. Ces beaux moments sont pour moi indescriptibles. »

Pascal est un haut fonctionnaire du ministère de la planification du Bénin. Il commente : « J’ai participé à nombre de conférences, mais c’est la première que j’en ai vu une aussi bien organisée et réussie. Tous les bénévoles connaissaient parfaitement bien leur mission et s’en sont acquittés à merveille. Nourrir 40 000 personnes était pour moi un prodige. Plus étonnant encore était le fait que les cuisiniers et les serveurs étaient tous des bénévoles. Si le monde est empreint de ces mêmes sentiments dans ses actions, je suis convaincu que tout conflit disparaîtra et les déboires de l’humanité prendront fin. Je rends hommage à la Jama’at Ahmadiyya : ses enfants, ses adolescents, ses vieux et ses femmes sont tous des gens disciplinés et courtois. »

Joseph, représentant du président de la République haïtienne, était aussi présent. « Cette Jalsa a été pour moi une bonne expérience que je ne pourrais jamais oublier, a-t-il remarqué. Les œuvres hors pair des bénévoles m’ont ouvert les yeux, voire elles ont complètement changé mon opinion à propos de l’islam. »

Ali Touré, juge à la cour suprême et membre du Conseil constitutionnel de la Côte d’Ivoire était aussi présent. Il relate : « Je suis musulman et au cours des vingt dernières années j’ai participé à de nombreuses rencontres islamiques. Or, j’ai su à propos de l’islam lors de ces trois jours de Jalsa ce que je n’ai pas appris lors de ces deux dernières décennies. En ces trois jours, j’ai accompli un progrès spirituel inconnu au cours de ces vingt dernières années. Les oulémas non-ahmadis ne savent rien à propos de l’islam. Si l’on souhaite connaître l’islam véritable, il faudra se tourner vers la Jama’at Ahmadiyya. Les services des bénévoles lors de la Jalsa démontrent l’amour des ahmadis à l’égard du Califat. C’est en raison de cet amour qu’ils font preuve d’une obéissance indéfectible à l’égard du Calife et qu’ils éprouvent de l’affection mutuelle. C’est en raison de cet amour et de cette unité qu’ils sont en train de rendre de fiers services à l’islam. Les autres communautés musulmanes ne disposent pas de pareil guide et d’une telle unité. À l’avenir je participerai à cette rencontre spirituelle, voire je prendrai ma femme avec moi. »

Une journaliste de Belize présente [à la Jalsa] relate : « Quand j’étais dans l’avion en partance de Miami pour Londres, la peur m’a envahie, pas en raison du vol qui allait durer sept heures, mais parce que j’allais passer trois jours parmi des musulmans et que je ne pouvais plus rebrousser chemin. Je devais à présent faire face à cette situation. J’ai prié afin que je ne sois pas victime d’un attentat terroriste. Évidemment je ne l’ai pas été et la réalité était tout autre. On m’a traitée ici comme une princesse. La Jalsa Salana a été la meilleure expérience de ma vie : j’ai rencontré beaucoup de monde mais jamais personne d’aussi bienveillant que les ahmadis. J’ai découvert une belle communauté et j’ai témoigné ici d’une grande humilité et d’une énorme affection. Chaque jour était des plus charmants. Je retourne d’ici en m’ayant fait beaucoup d’amis et avec de beaux souvenirs. Sans nul doute, c’était pour moi une expérience inoubliable. »

Le maire de la ville de Belize rapporte : « Ma première expérience de la Jalsa était merveilleuse. J’ai été fort impressionné durant ces trois jours par la fraternité, l’amour mutuel et l’humanité des ahmadis. Mon pays est confronté à de nombreux défis sociaux. Selon moi, pour s’en défaire, il faudra peut-être demander conseil à la Jama’at Ahmadiyya. Je retourne d’ici avec de très bons souvenirs et avec l’amitié que je me suis faite ici. Le logement et le voyage ont été tous deux très bien organisés. Les chauffeurs qui nous souhaitaient le bienvenue à l’aéroport, les enfants qui offraient de l’eau lors de la Jalsa, ceux qui géraient l’aire de stationnement, les cuisiniers et tous les bénévoles qui ont servi en arrière-plan m’ont laissé d’excellents souvenirs de la Jalsa. »

Un prêtre-missionnaire catholique d’Italie et conseiller du précédent pape relate : « J’ai noté trois points lors de cette Jalsa. Le premier est l’affection et l’affinité qui régnaient entre gens de différentes nations. Je n’ai vu pareille scène nulle part ailleurs. Deuxièmement j’ai ressenti une grande sérénité lors de cette rencontre. Troisièmement les discours du Calife recelaient des conseils clairs et pratiques. »

Une invitée des îles Philippines, représentante de la chaîne Arab News, était présente cette année-ci. L’année dernière elle était présente en tant que journaliste du Manilla Bulletin. Elle est revenue sur ses propres frais et relate : « J’en suis à ma deuxième participation. À chaque fois l’organisation de la Jalsa et bien d’autres points m’ont grandement étonnée. La foi, la convivialité entre des gens de différentes origines, l’égalité et la fraternité qui régnaient entre eux m’ont fort touchée : elles traduisent dans la pratique vos enseignements et cela est plus éloquent que n’importe quel discours. Je suis certaine que les participants retourneront chez eux avec ces mêmes sentiments d’amour et d’égalité. C’est ainsi que tous les pays profitent de l’atmosphère de la Jalsa. Je pense qu’un plus grand nombre de gens devraient passer quelques jours à la Jalsa en compagnie de la Jama’at Ahmadiyya, afin qu’ils connaissent davantage le sens de l’amour et de la fraternité et à quel point le visage de l’islam est beau. »

Une invitée, membre de la délégation du Japon, dit à propos du discours que j’ai prononcé chez les dames : « La Jama’at Ahmadiyya est en train de progresser sous la protection des conseils du Calife. Voilà la conclusion que j’ai tirée du discours qu’il a prononcé à l’endroit des dames. Il est important, en ces temps, de souder les liens au sein de la famille et de sortir du monde des machines. Quoique ces temps-ci les gens s’éloignent de la religion, nous nous demandons quelle est la force qui inspire les membres de la Jama’at Ahmadiyya à servir leur foi. Cette question tournait dans nos têtes quand nous avons participé à la prière du premier jour de la Jalsa et avons entendu ses conseils. C’est bien la force de la prière qui distingue la Jama’at Ahmadiyya dans le monde. Lors de la Jalsa, nous avons eu l’occasion de prier à maintes reprises et nous avons constaté par la suite que nos cœurs se sont allégés et que nos âmes se sont ranimées. Il faisait chaud mais cela n’a pas fatigué les gens, les bénévoles étaient toujours souriants, la discipline lors du service des repas était exemplaire. Quand j’ai su que les enfants qui servaient de l’eau jusqu’aux bénévoles qui nettoyaient les toilettes œuvraient de gaieté de cœur, j’étais pleine d’admiration pour eux et j’ai imploré Dieu pour qu’Il soit content de tous ceux qui sacrifiaient leur confort pour celui des autres. »

Patrice, un nouveau converti de la Guadeloupe, relate : « Je n’ai jamais participé à pareil événement dans le passé. Le programme de la Jalsa commençait à l’heure et cela m’a fort impressionné. Les thèmes des discours étaient fort opportuns. En tout cas, cela m’a été très avantageux. L’organisation de la Jalsa tournait comme une machine [bien huilée] dont chaque pièce était à la bonne place. Tous les bénévoles travaillaient ensemble pour faire tourner cette machine à merveille. Chaque volontaire semblait expert dans son domaine. Toutes les expositions de la Jalsa étaient fort intéressantes et m’ont impressionné à l’instar des archives, de la bibliothèque photographique, de la Revue des Religions. Je les ai bien appréciées et elles m’ont fait connaître l’histoire de la Jama’at. Je remercie Dieu d’avoir pu participer à la Jalsa et d’être attaché à une communauté aussi bénite. En dépit de toutes les excellences de la Jalsa, j’ai quand même ressenti un manque. Selon moi, comparé aux séances en langue anglaise, il y en avait très peu en langue française. »

Il est un francophone. Ceux qui organisent des séances en français doivent en prendre note. Soit qu’ils doivent organiser des événements en français ou soit faire en sorte que ces événements soient traduits en langue française, d’une manière ou d’une autre. C’est là une faveur divine que l’on met en exergue ces lacunes.

Nashida du Japon est un grand prêtre bouddhiste et a exprimé son point de vue concernant la bai’ah internationale « La cérémonie du serment d’allégeance a démontré que le cœur qui se prosterne devant Dieu trouve la sérénité et qu’il se débarrasse de ses péchés. L’humanité pourra mettre fin à toutes ses différences et s’unir si elle le souhaite. J’avais spontanément les yeux en larmes quand j’ai participé à la bai’ah. Nous sommes tombés en prosternation et nous avions l’impression que nos cœurs s’étaient débarrassés de leurs péchés. »

Le professeur Momal d’Indonésie commente : « La Jalsa Salana est un événement étonnant. Les invités étaient venus des quatre coins du monde. On aurait dit que le monde entier s’était réuni et avait formé une seule Oummah. L’on ne trouve dans aucune autre organisation des bénévoles qui rendent pareils services. C’est une preuve que la Jama’at Ahmadiyya œuvre dans chaque domaine. Lors de la Jalsa, j’ai rencontré des gens de différentes origines, parmi lesquelles de grandes personnalités. Partout l’on voyait briller la fraternité musulmane et de partout l’on recevait le message de paix. En ce qui concerne l’hospitalité, il est impossible de décrire le respect des bénévoles et leur bonne humeur. J’avais l’impression d’être chez moi et j’ai compris facilement les discours de la Jalsa. Je suggère que l’on organise un événement de ce genre en Indonésie dans lequel participera le Calife de l’heure. Ce sera là pour nous un grand honneur. »

S’il veut organiser la Jalsa en Indonésie il devra convaincre sa population car là-bas l’hostilité contre la Jama’at ne cesse de croître.

Une Indonésienne, conseillère d’une organisation musulmane féminine, dit : « J’ai lu plusieurs ouvrages de la Communauté Ahmadiyya et j’ai une bonne connaissance de la Jama’at. Or, j’ai été fort impressionnée en participant à la Jalsa et en écoutant le Calife de mes propres oreilles. Les membres de la communauté Ahmadiyya sont certainement des érudits qui pratiquent ce qu’ils prêchent. L’attention des membres de la Jama’at à l’égard des propos du Calife me laisse bouche bée. Les gens disent que la Jama’at Ahmadiyya est empêtrée dans l’égarement et l’incroyance et qu’elle égare les autres. En vérité les ahmadis sont les véritables musulmans. Ils sont respectueux des heures de prières et s’acquittent au mieux de leurs devoirs envers Dieu et envers ses créatures et s’honorent les uns les autres. Avant de converser ils se saluent avec la salutation de paix, ils sont disciplinés et obéissants. Chaque bénévole œuvre en accord à l’injonction coranique : « Entraidez-vous dans la vertu et la Taqwa. » J’ai été fort impressionné en voyant tout cela. Ceci est le fruit des bénédictions de l’Imam de l’époque et du Califat. »

C’étaient là les impressions d’une non-ahmadie.

Le chef du département de la philosophie d’une université indonésienne a déclaré : « C’est la première fois que je participe à un événement pareil dans lequel l’on a respecté, dans chaque domaine, la spiritualité. C’est pour moi un événement à écrire en lettres d’or. Tout le monde tournait autour du Califat. En tant qu’Indonésienne, je rends hommage au Calife qui a réuni des gens du monde entier et présenté par ce faire ce qu’est la fraternité. »

Le Califat a été suscité afin de faire avancer la cause du Messie Promis (a.s.). Qu’Allah accorde la possibilité aux suivants de l’Imam de l’époque et du Mahdi de continuer cette tâche.

L’invitée ajoute : « Voilà l’islam et la fraternité véritables. La Jama’at Ahmadiyya est une organisation mondiale unique. Sa devise est très à propos et pénètre les cœurs. Dans chacun de ses discours le Calife de l’époque explique les enseignements islamiques en citant le Coran, les hadiths et la Sounnah du Saint Prophète Muhammad (s.a.w.). La Jalsa ne dure que trois jours, mais ces derniers sont emplis de bénédictions. Nous vous remercions. »

Mme Camara, gouverneure d’une province de Guinée-Conakry, déclare : « Je n’ai jamais participé à un évènement aussi bien organisé. Des gens de toutes origines et de toutes nations étaient présents en grand nombre, présentant ainsi un bel exemple de [la société] islamique. Cette grande affection n’a pas été exprimée verbalement uniquement mais aussi démontrée dans la pratique et a été ressentie. Toute chose dont on avait besoin était aisément disponible et j’ai eu l’occasion d’écouter tous les discours qui répondaient aux exigences du moment. Les discours de l’Imam de la Jama’at Ahmadiyya étaient des plus extraordinaires. Si l’on applique les conseils du Calife prodigués aux hôtes et aux invités, tous nos problèmes, qui sont d’ailleurs artificiels, disparaîtront dans le respect de l’affection mutuelle. Durant ces trois jours j’ai ressenti que la Jama’at Ahmadiyya est une communauté organisée qui obéit au doigt et à l’œil au Calife. Tel est la beauté des enseignements de l’islam : si nous les respectons nous pourrons nous unir sous l’égide d’une seule Jama’at. Je vous demande de prier qu’Allah fasse régner la paix véritable dans mon pays et qu’Il y établisse le vrai islam. »

Un journaliste du Honduras travaillant pour une chaîne télévisée a commenté : « J’étais curieux quand on m’avait invité à participer à une rencontre islamique, car l’islam a mauvaise presse dans le monde en raison de l’ignorance. Il existe, comme moi, des milliers de gens qui ignorent les préceptes et les sentiments des musulmans. Aujourd’hui, grâce à la Jama’at Ahmadiyya, j’ai beaucoup appris à propos de l’islam et en m’exposant à l’atmosphère de la Jalsa j’ai compris qu’il est essentiel de connaître les gens personnellement avant de les juger. Le message central de la Jalsa était la paix : on doit la faire connaître à tout le monde. J’ai rencontré des gens biens, emplis de sympathie et respectueux qui ont ouvert leurs cœurs à tous leurs invités. »

Une journaliste du Guatemala a commenté : « J’ai ressenti une grande joie en participant à la Jalsa. Cette proximité avec la communauté Ahmadiyya a dissipé tous mes malentendus à propos de l’islam et j’ai connu ses véritables préceptes. J’en suis vraiment ravie, car les autres participants ont fait montre d’une énorme affection et d’un grand respect à mon égard. En tant que femme, je n’ai jamais ressenti que j’étais loin de ma maison ou que j’étais seule. Bien au contraire je me suis sentie protégée et respectée. J’ai témoigné d’une fraternité et d’une affection au plan international. En rencontrant des gens de différentes nationalités j’ai ressenti qu’il y régnait entre eux une affection mutuelle. Même si l’on parlait des langues différentes, la conduite des participants a mis fin à cette barrière. J’ai été fort impressionnée par cette société islamique et je suis certaine que les membres de la Jama’at Ahmadiyya sont à pied d’œuvre pour établir la paix dans le monde. »

Le photographe d’une chaîne de télévision hondurienne relate : « Je ne peux oublier cette expérience. Les bénévoles ainsi que les officiers ont tous fait montre de respect et d’affection. L’organisation de la Jalsa ainsi que les discours mon profondément marqué. Dans la pratique vous m’avez appris qui est un véritable musulman. J’ai connu la Jama’at en 2015 ; en venant ici je me suis senti comme chez moi. En tant qu’êtres humains, il nous incombe à tous de nous respecter les uns les autres et d’aider les démunis. La Jalsa m’a appris que si nous coopérons dans la fraternité nous pourrons accomplir de grandes œuvres. »

Une nouvelle convertie du Mexique relate : « Cela fait un an depuis que je suis ahmadie et je suis en train d’apprendre l’islam, une religion qui a mauvaise presse dans notre pays en raison des médias. Or je sais que l’islam est une religion de paix. Les membres de ma famille m’ont empêchée de venir et m’ont effrayée. Mais ici j’ai vu le contraire. J’ai été fort impressionnée par la conduite des bénévoles de l’aéroport jusqu’aux trois jours de la Jalsa. Je n’ai point de doute à présent à propos de la fraternité de la Jama’at et du système familial qu’elle présente. Je traduirai dans la pratique en Mexique les sentiments ressentis ici et je ferai connaître aux autres la Jama’at. »

Une autre convertie mexicaine relate : « De temps à autre les bénévoles ne me comprenaient pas mais ici j’ai saisi que la différence des langues n’est pas une barrière dans les relations entre ahmadis. L’amour de Dieu nous a unis. Je me sens comme chez moi et après avoir écouté le Calife j’ai compris mes faiblesses. Je suis certaine que je suis arrivée au bon endroit et qu’Allah m’a guidée sur le droit chemin. Ma foi s’est renforcée et j’espère que les membres de ma famille puissent connaître l’islam et que leur foi soit tout aussi ferme. »

Mohammad, qui est du Cameroun, relate : « J’étais présent à la Jalsa l’année dernière. Cette année-ci, il y a eu davantage de progrès dans chaque domaine. Les arrangements pour le transport et le logement étaient excellents ainsi que celui pour les repas. Servir le repas en deux heures, sans qu’il y ait de heurt ou d’altercation, le fait que tout le monde soit dans le chapiteau à temps pour suivre les discours sont autant de faits remarquables, inouïs dans les événements mondains. L’amour et l’affection démontrés par les Khouddam sont vus nulle part ailleurs. Les communautés qui disposent de gens aussi fidèles progressent toujours. Je suis journaliste de profession et j’ai eu des réunions avec les membres de la MTA ; et j’en ai tiré grand plaisir. Tout était aisément disponible, même des objets que ne fournissent pas des compagnies privées ou des États. Les invités non-ahmadis m’ont appris comment ils ont reçu le message de la Jama’at : tout le monde a loué son message de paix et d’amour. Le discours prononcé par le Calife chez les dames est très important pour l’éducation morale et spirituelle des nouvelles générations. Il a conseillé le bon usage des réseaux sociaux : ce sont autant d’avertissements importants en ces temps. Si nous ne sauvons pas nos enfants de ces maux, ils s’écarteront très loin de l’humanité et de l’islam. Nous allons devoir suivre ces conseils. Le sens du terme Fouhasha présenté par le Calife dans son dernier discours fut très impressionnant : j’ai eu l’impression que nous sommes tous empêtrés dans ces maux. On dit de nombre de personnes qu’elles sont pieuses ; or leurs actions ne le sont pas. Si nous comprenons le sens des commentaires du Calife et que nous suivons ses conseils, nous pourrons offrir à la nouvelle génération une société pure. Sa définition du terme « indécence » m’a secoué et j’en ferai une partie intégrante de ma vie. J’ai visité aussi plusieurs expositions et j’ai appris l’histoire de la Jama’at. Les nations qui n’oublient pas leur histoire progressent toujours. La Revue des Religions transmet son message depuis plus de cent ans et je la lis moi-même régulièrement ; les articles y sont d’une grande qualité. Humanity First est aussi en train de rendre de fiers services. »

Une invitée venue de l’Islande relate : « Ma participation à la Jalsa m’a beaucoup appris et j’ai compris davantage la Jama’at. J’ai rencontré des gens du monde et j’ai tiré grand plaisir à converser avec eux. J’ai ressenti de toute part la paix, l’amour et la fraternité. Les discours de la Jalsa ont ravivé ma foi et j’ai tiré grand plaisir des expositions quoi que j’aie été fort peinée de voir les images des martyrs, car cette persécution a pour seule raison les divergences religieuses. La cérémonie du serment d’allégeance a eu sur mon cœur un effet extraordinaire et je n’ai pas de mots pour décrire mes sentiments. »

Un journaliste de la Macédoine relate : « Les discours du Calife m’ont le plus impressionné lors de la Jalsa, en particulier ceux ayant trait à l’éducation des enfants. Il nous a interpellés à ce propos, en particulier sur les téléphones portables qui nuisent à l’unité de la cellule familiale. C’était un message universel quand toutes les familles du monde entier sont confrontées aux mêmes difficultés. Si les familles sont désunies, il n’y aura plus de relation entre ses membres, et c’est ainsi que toute la société sera divisée. On n’aura plus de garantie pour un futur prometteur. »

Un invité des Philippines qui est aussi le présentateur vedette d’un talk-show de la chaîne ABS CBN relate : « C’est la première fois que je participe à une rencontre réunissant un si grand nombre de personnes de différentes nationalités et ethnies. Tout le monde se souriait et se saluait, que l’on se connaisse ou pas. La chose la plus intéressante était que ces gens étaient ici uniquement pour répandre les valeurs humaines. En tant que journaliste, j’ai participé à de nombreuses rencontres, mais je n’ai vu nulle part ailleurs pareille sérénité et discipline. Les bénévoles nous ont honoré et ont comblé tous nos besoins : cela a eu sur moi un profond effet. Ceux qui contrôlaient la circulation ainsi que les enfants qui servaient de l’eau à boire ont tous assumé au mieux leurs responsabilités. Je suis très content d’avoir pu participer à cette Jalsa car elle m’a ouvert les yeux et m’a présenté un autre point de vue. Cette rencontre doit être marquée d’une pierre blanche dans ma vie. J’ai pu voir une nouvelle culture différente de celle des îles Philippines.

Une invitée de la Grèce déclare : « Les mots me manquent pour décrire cette expérience au milieu de 38 000 personnes qui priaient en faveur de la paix. L’amour et l’affection exprimés par tout un chacun m’ont fort touchée et m’ont donné l’espoir que l’humanité pourra ainsi connaître une nouvelle ère de paix et de tolérance. En dépit de nos différences, vous accomplissez un effort excellent en faveur de l’humanité.

Une délégation des Premières Nations était venue du Canada : les chefs des trois tribus portaient leur couvre-chef traditionnel. Un de leurs responsables de la jeunesse a déclaré : « Nous avons été très impressionnés par le bénévolat des jeunes lors de la Jalsa. Nous organiserons à notre retour des rencontres entre les jeunes ahmadis et les jeunes des Premières Nations. Nous n’avons vu chez personne la discipline que nous avons constatée chez les jeunes ahmadis. Ils accomplissent leurs œuvres avec une dextérité hors pair. »

Ces éloges doivent pousser les Khouddam à servir davantage.

Le responsable de la jeunesse a ajouté : « Un de nos chefs est un grand fumeur. L’usage du tabac est une des traditions des Premières Nations et ceci est un moyen pour progresser spirituellement selon nous. Quand le Calife a demandé aux membres de la Jama’at d’éviter la cigarette, ce chef a promis de le faire durant les jours de la Jalsa et il a aussi respecté sa promesse. »

C’est là une leçon pour les ahmadis. Quelqu’un m’a dit que les vols qui durent dix ou douze heures sont non-fumeurs. Les fumeurs arrivent à patienter durant le vol ; or, ils seront récompensés s’ils le font aussi durant la Jalsa.

Le jeune a ajouté : « Si l’islam prône l’affection, la paix et la sympathie à l’égard de l’humanité comme l’explique le Calife, je souhaiterai certainement devenir ahmadi. »

Il a déclaré qu’il demandera conseil à ses aînés avant de promettre quoi que ce soit à ce propos, car ce sont des gens qui sont respectueux de leurs traditions.

Un autre chef des Premières Nations a déclaré : « L’honneur et l’affection qu’on nous a témoignés lors de la Jalsa sont conformes à nos anciennes traditions. On a comblé ici tous nos besoins. Les Américains et les Canadiens ont des opinions à propos des musulmans. Malheureusement certains des nôtres n’ont pas une idée positive à propos des musulmans. J’ai compris à présent que nous sommes nos propres ennemis. J’ai constaté qu’il n’y a pas de disputes ou d’altercations au sein de la Jama’at Ahmadiyya. »

Ce sont-là de grands exemples qui impressionnent les gens.

Un invité espagnol a commenté : « C’est la première fois que je participe à la Jalsa. Je suis proche de la Jama’at Ahmadiyya et la Jalsa est fort intéressante. On y a prôné la tolérance, le respect d’autrui et la paix : c’était là un message unique à propos de valeurs humaines. Les ahmadis en présentent un exemple vivant. Si seulement les autres pouvaient eux aussi adopter ces valeurs sincèrement. »

Un des invités espagnols travaille pour un journal de Cordoue. Il a déclaré : « Tous les participants ont fait montre de grandes qualités morales. Le point principal que j’évoquerai sont vos nobles valeurs. »

Un autre Espagnol a déclaré : « J’ai eu l’occasion de connaître en profondeur votre culture et votre religion. Votre hospitalité était hors pair et les discours étaient très intéressants. »

Un autre invité d’Espagne a commenté : « En participant à la Jalsa, j’ai compris que l’islam n’a aucun lien avec le terrorisme et les atrocités. »

Une invitée non-musulmane de la Jamaïque qui est comptable de profession relate : « Je suis en contact avec la Jama’at depuis les cinq dernières années et j’ai beaucoup appris à propos de la Jama’at au cours de cette période. Or, après ma participation à la Jalsa, j’ai appris davantage et je me suis débarrassée des doutes que j’avais à propos de l’islam. J’étais très contente que les hommes et les femmes étaient séparés. »

Il y a des objections concernant la séparation entre hommes et femmes, tandis que ces dernières apprécient cela. C’est là un constat que certaines gens choisissent d’ignorer. Elle a reconnu le fait que sans ségrégation, les hommes peuvent porter un regard malsain.

Elle ajoute : « Du fait que les femmes et les hommes étaient séparés, l’attention des gens n’a pas été détournée et ils ont ainsi pu se consacrer à l’islam et à l’adoration. » Les femmes ahmadies sujettes à un quelconque complexe au sujet de la ségrégation doivent réfléchir sur ces remarques.

Un professeur italien, directeur d’un centre d’études, a déclaré : « Même les personnes étrangères à la communauté ont pu ressentir l’état de la foi des ahmadis durant la bai’ah. J’ai étudié la psychologie, et par la réaction et le comportement des gens je peux déduire à quel point quelqu’un est sincère dans sa revendication de foi. En étudiant les ahmadis je peux affirmer que le niveau de leur foi est très élevé. »

Quand il a eu connaissance du fait que plus de 600 000 se sont convertis [à l’Ahmadiyya] au cours de l’année, il a commenté : « Heureusement que ces personnes ont rejoint cette communauté. »

Une orientaliste et journaliste italienne travaillant pour un magazine du Vatican a commenté : « En participant à cette Jalsa j’ai pu connaître les activités de la communauté. Nous devons informer le monde à propos de cette communauté islamique merveilleuse et pacifique. À travers un dialogue entre musulmans, la communauté Ahmadiyya œuvre afin de trouver des solutions à diverses situations. Le monde entier doit connaître vos projets, vos programmes et vos services. »

Sergei, recteur adjoint d’une université de la Biélorussie, a commenté : « Bien qu’étant expert en religion, je n’ai que des connaissances superficielles au sujet de l’islam. Mais ma participation à la Jalsa Salana s’est avérée très précieuse pour moi et cette expérience m’a été bénéfique. J’ai appris que l’islam est une religion universelle. Cette affirmation est souvent répétée, mais tout le monde n’y croit pas. D’aucuns ignorent ce qu’est l’islam et nourrissent des préjugés à son propos. Certains aspects de l’islam empêchent d’aucuns de croire qu’elle est une religion universelle. Or l’atmosphère de la Jalsa Salana a dissipé tous ces doutes. C’est ma première expérience à ce niveau. Ces évènements auxquels j’ai pu participer m’ont permis de scruter de près et attentivement l’environnement des musulmans. Il y avait des choses très intéressantes dans cette Jalsa. Les représentants de différents pays participaient dans leurs habits traditionnels. L’organisation de la Jalsa étonne tout le monde. Un événement réunissant 200 personnes est déjà difficile à gérer, s’occuper de 38 000 est des plus surprenant ! Je souhaite remercier tous les bénévoles pour l’organisation magnifique de la Jalsa. »

Cette année environ 140 Khouddam volontaires sont venus du Canada pour s’occuper du rangement. Ils ont effectué un travail remarquable, prêtant main-forte aux Khouddam du Royaume-Uni, que je souhaite également remercier. Cette année le département du Tabligh a eu l’occasion d’organiser une session de questions-réponses, de faire cinq exhibitions, une exposition du Saint Coran pour présenter les magnifiques enseignements du Noble Coran ainsi que ses différentes traductions. Il y avait également une compétition de discours au sujet du Saint Prophète Muhammad (s.a.w.). Elle a été organisée en réponse à la campagne haineuse lancée par un politicien néerlandais. Plusieurs non-ahmadis et non-musulmans y ont participé. Une chrétienne prénommée Catherine Marie Johan a dit : « En tant que femme, j’étais curieuse de connaître l’avis du Saint Prophète Muhammad (s.a.w.) sur les femmes. Il est venu au monde à une époque où régnait le chaos en Europe. Dans ce contexte il a annoncé qu’il respectera les femmes. Une fois quelqu’un demanda au Saint Prophète Muhammad (s.a.w.) : « Quelle personne mérite le plus notre respect et considération ? » À cela, il répondit : « Votre mère. » Cette personne réitéra la même question, le Saint Prophète Muhammad (s.a.w.) répondit encore : « Votre mère. ». Lorsque cette personne reposa la même question une troisième fois, il donna la même réponse. Ce récit m’a grandement impressionnée. »

Une invitée du département de Tabligh a déclaré : « Cette année j’ai l’occasion de participer pour la première fois à la Jalsa Salana. J’estime que si une personne possédant peu de connaissances au sujet d’Allah y participe, d’ici la fin de la Jalsa elle repartira avec un océan de connaissances au sujet de l’être de Dieu. »

La diffusion de la Jalsa a été faite sur différents supports médiatiques. Le site alislam.org a été visité 862 000 fois pendant la Jalsa, les vidéos ont été visionnées par 218 000 personnes. Cinquante-trois articles ont été publiés sur des éditions en ligne et imprimées de journaux. Vingt stations radios ont parlé de la Jalsa et quatre chaînes de télévision en ont fait mention. Au total le nombre s’élève à 70, ce qui a permis de transmettre le message à plus de 26 millions de personnes. Parmi les chaînes de télévision, et radios célèbres qui ont fait mention de la Jalsa il y a les chaînes de télévision BBC, ITV, BBC Arabic, ainsi que les journaux The Economist, The Express, Independant, le Huffington Post, Herald, LBC, Capital Radio, Alton Herald et London Live. De plus, le dimanche, nos représentants se sont exprimés sur 19 radios régionales de la BBC. Cela a permis d’atteindre une large population. Des journalistes venant du monde entier ont participé à cette Jalsa ; lorsqu’ils vont repartir ils vont également publier des articles dans leurs journaux et diffuser des documentaires par le biais de médias électroniques.

Un journaliste d’une agence japonaise a dit : « J’ai été grandement impressionné par l’atmosphère pacifique qui règne à la Jalsa. On peut lire la joie sur tous les visages. » Il se demandait néanmoins pourquoi un grand nombre de participants à la cérémonie de la bai’at pleurait autant. On lui a expliqué par la suite que tous les musulmans ahmadis étaient contents, mais ils pleuraient lors de la bai’at car ils remerciaient Dieu des grâces qu’Il nous avait accordées, et ils priaient pour que la paix règne dans le monde.  

Une journaliste a dit au sujet de la partie réservée aux femmes : « L’année dernière j’avais eu l’occasion de participer à la Jalsa, mais je n’avais pas visité la partie réservée aux femmes. Or, cette année j’ai eu l’opportunité de le faire. Je dois avouer que vos femmes sont plus éduquées et intéressantes que vos hommes. Elles étaient libres de tout point de vue, et elles faisaient preuve d’une grande sincérité à l’égard de leur communauté. C’était une expérience qui m’a grandement impressionnée. »  

Cette année 15 chaînes de télévision ont diffusé la Jalsa du Royaume-Uni, parmi lesquelles des chaînes du Ghana, du Nigeria, de la Sierra Leone, de la Gambie, du Rwanda, du Burkina Faso, du Bénin, de l’Ouganda, du Mali, du Congo Brazzaville, et pour la première fois une chaîne de télévision du Burundi. Les journalistes évoqueront la Jalsa sur leur chaîne de télévision respective. Au total, grâce à ces diffusions, le déroulement de la Jalsa a été suivi par plus de 50 millions de spectateurs africains. Nous avons reçu d’innombrables messages, ce qui montre que les gens ont regardé ces diffusions.

La liste des messages et des impressions des téléspectateurs est très longue, également celle des médias. Les départements par lesquels les invités ont été impressionnés sont : les exhibitions de photos, des archives, et du journal Al-Hakam ; cela a également permis aux gens de connaître l’histoire de la communauté.

Ce sont des bénévoles qui se sont occupés de l’organisation de la Jalsa et de ces exhibitions, et au vu des retours et des impressions reçus on voit que ces bénévoles faisaient un Tabligh silencieux, aussi bien les enfants, que les femmes et les hommes. Cette fois-ci la majorité des participants ont commenté que les bénévoles hommes et femmes étaient souriants et chaleureux. Ils ont également fait part de l’enthousiasme avec lequel ces bénévoles servaient.

Les participants, après avoir remercié Allah l’Exalté, doivent également être reconnaissants envers ces bénévoles, et ils doivent également prier pour eux, demandant à Allah de leur offrir l’opportunité de servir à l’avenir. Je remercie moi aussi tous les volontaires hommes et femmes ; qu’Allah les récompense, et leur accorde l’opportunité de servir davantage à l’avenir, et qu’ils soient toujours des aides du Califat Ahmadiyya.

Tous les bénévoles doivent également remercier Allah le Très-Haut car Il leur a accordé l’opportunité d’œuvrer pour Sa cause ; et sans la grâce d’Allah ils n’auraient pas eu l’opportunité de le faire. Qu’Allah permette à tout le monde d’être davantage humble et qu’on ne soit point arrogant en raison de ce service et des compliments reçus.


(Le site www.islam-ahmadiyya.org prend l’entière responsabilité de la publication du texte de ce sermon)

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