Révélation, Rationalité, connaissance et vérité

Le Coran et la création de l’univers

La terre vue de l'espace.

L’origine de l’univers intéresse les hommes de toutes les cultures et religions depuis la nuit des temps. La science moderne relègue à la catégorie des mythes et légendes les explications qu’offrent de nombreux textes sacrés à ce sujet. Le Coran, toutefois, se démarque du lot en présentant un récit que les nouvelles découvertes ne cessent de confirmer.

À l’époque où le Saint Coran fut révélé, la compréhension de l’homme sur la nature du cosmos, du mouvement ou de l’immobilité des corps célestes était extrêmement primitive. Ceci n’est plus le cas car de nos jours nous avons accompli de grands progrès dans notre connaissance de l’univers. Quelques théories ayant trait à sa création ont été authentifiées, alors que d’autres sont en cours d’examen.

Le concept de l’univers en expansion qui appartient à la première catégorie a été universellement accepté de facto par l’ensemble de la communauté scientifique. Edwin Hubble a, pour la première fois, présenté cette découverte dans les années 1920. Pourtant environ treize siècles auparavant, ce phénomène fut clairement mentionné dans le Coran.

« Et, de Nos pouvoirs, Nous avons construit le ciel, et assurément, Nous continuons à l’étendre. » [1]

On doit se rappeler que la mention du concept d’un univers en expansion perpétuelle est une particularité du Saint Coran. Aucune autre écriture divine ne fait pareille allusion.

La théorie du Big Bang

La découverte de cette expansion perpétuelle est d’une importance primordiale pour les scientifiques car elle apporte une meilleure compréhension de la manière dont l’univers fut initialement créé. Ses explications limpides sur les différentes étapes de la création corroborent parfaitement la théorie du Big Bang. Le Coran va plus loin et décrit non seulement le cycle entier de l’expansion du début à la fin, mais aussi le retour de l’univers à son état originel. Il décrit ainsi la première étape de la création évoquant précisément le phénomène du Big Bang :

« Les mécréants ne voient-ils pas que les cieux et la Terre étaient une masse fermée et qu’ensuite Nous les avons séparés ? Et Nous avons fait chaque chose vivante à partir de l’eau. Ne veulent-ils donc pas croire ? » [2]

Il est intéressant de noter que ce verset s’adresse spécifiquement aux non-croyants, impliquant peut-être que le secret mentionné sera un jour dévoilé par eux et constituera pour eux un signe de la véracité du Coran.

Les mots رتقًا (ratqan – une masse fermée) et فتقنا (fataqna – Nous les avons séparés) portent le message fondamental de l’ensemble du verset. Le dictionnaire arabe de référence[3] offre deux significations pertinentes de ratqan. L’une est « la rencontre d’objets et leur fusion éventuelle en une seule entité. » L’autre est « l’obscurité totale ».

Prises ensemble, elles offrent une description très juste d’un trou noir. Celui-ci est une masse gravitationnelle effondrée sur elle-même ayant une taille colossale. Il est provoqué par l’effondrement d’énormes étoiles ayant une masse au moins 15 fois plus importante que le Soleil. L’immensité de leur attraction gravitationnelle interne réduit considérablement la taille des étoiles périphériques.

L’attraction gravitationnelle est davantage concentrée, et par conséquent ré­sulte en l’effondrement de toute la masse et la création d’une supernova. À ce stade, les composants basiques de la matière tels que les molécules, les atomes etc., commencent à s’écraser en une masse d’énergie. À ce moment précis l’espace-temps, autrement appelé « horizon d’événement » est créé. L’attraction gravitationnelle interne de cette masse devient si puissante qu’elle attire toutes les formes de radiation tant et si bien que même la lumière ne peut y échapper. Une obscurité totale en résulte laquelle justifie le nom « trou noir » conforme à un des sens du mot ratqan employé par le Coran.

Une fois créé, un trou noir grandit rapidement car avec la concentration progressive de l’énergie gravitationnelle, même les étoiles lointaines commencent à y être attirées. Il est estimé que la masse d’un trou noir peut atteindre jusqu’à environ plus de cent millions de fois la masse du Soleil. Au fur et à mesure que le champ gravitationnel s’élargit, plus de matières de l’espace y sont aspirées à une vitesse aussi proche de celle de la lumière.

En 1997, une observation démontra qu’un trou noir 2,000,000 de fois plus massif que le Soleil avait existé dans notre galaxie. Cependant, d’autres calculs démontrent la possibilité de l’existence de plusieurs trous noirs 3,000,000,000 de fois plus grands dans notre univers.[4]

Avec cette force gravitationnelle, même les étoiles lointaines céderaient et iraient à la dérive avant d’être dévorées par de tels mastodontes. Ainsi, le processus de ratqan est complété et résulte de cette masse qui est à la fois entièrement fermée et composée de l’obscurité totale. Pour répondre à la question comment l’univers fut initialement créé, les deux théories récentes relèvent tous deux du Big Bang. Elles avancent que la création de l’univers fut déclenchée par une explosion soudaine d’une unité libérant la masse retenue et conduisant à la création d’un nouvel univers. Cette aube de lumières est appelée le trou blanc.[5]

L’une des théories ayant trait à l’expansion de l’univers prédit que celui-ci continuera de s’étendre à jamais. D’autres revendiquent que l’expansion de l’univers se fera à contresens à un certain moment donné car l’attraction gravitationnelle interne aura finalement le dessus.

En fin de compte, toutes les matières seront à nouveau aspirées pour former peut-être un autre trou noir gigantesque. Ce dernier point de vue semble être soutenu par le Coran.

La fin de l’univers

Lorsque nous parlons de la première création de l’univers, le Coran décrit clairement sa fin qui se termine en un autre trou noir, reliant la fin à ses débuts, complétant ainsi le cercle de l’histoire du cosmos.

Le Coran déclare : « Le jour où Nous enroulerons les cieux comme on enroule les rouleaux écrits par un scribe. » [6] Le message de ce verset est clair : l’univers n’est pas éternel. Il parle d’un avenir où les cieux seront enroulés, à l’instar des rouleaux.

Lorsque les scientifiques décrivent la formation d’un trou noir, cela ressemble beaucoup à la description que nous donne le Coran dans le verset ci-dessus. Une masse d’accrétion de l’espace chutant dans un trou noir, comme décrit ci-dessus, s’enfoncera telle une plaque sous la pression énorme créée par les forces gravitationnelles et électromagnétiques. Comme le centre du trou noir tourne constamment autour de lui-même, au fur et à mesure que cette plaque s’approche, elle commencera à être enveloppée, avant de sombrer finalement dans le néant.

Le verset continue ainsi : « Comme Nous avons commencé la première création, ainsi Nous la répéterons – une promesse qui Nous engage ; en vérité Nous l’exécuterons. » [7]

Suite à l’effondrement éventuel de l’univers dans un trou noir, ici nous avons la promesse d’un nouveau commencement. Dieu créera à nouveau l’univers, tout comme Il l’a fait antérieurement.

L’univers s’effondrant sur lui-même, émergera à nouveau de l’obscurité et tout le processus de la création recommencera. Selon le Saint Coran, ce processus d’enveloppement et de dépliement éventuel de l’univers semble être un phénomène continu.

Le concept coranique du début et de la fin de la création est sans aucun doute extraordinaire. S’il avait été révélé à un savant de notre ère, cela aurait été moins surprenant, mais que cette connaissance des plus avancées sur le phénomène perpétuel et continu de la création soit révélée plus de quatorze cents ans de cela à un analphabète du désert d’Arabie nous laisse bouche bée.

Le Coran et les corps célestes

À présent, nous nous tournons vers un autre aspect de la description du cosmos relatif au mouvement des corps célestes. Le point le plus frappant concerne la façon dont le mouvement de la Terre est décrit sans ouvertement contredire les points de vue prévalant à l’époque de la révélation coranique. Tous les érudits et les sages de cette époque furent unanimes que la Terre était stationnaire tandis que les corps célestes tels le Soleil et la Lune effectuaient, quant à eux, un mouvement circulaire autour de celle-ci. Eu égard à cela, le mouvement de la Terre, tel que nous le décrit le Coran n’est peut-être pas apparent de prime abord, mais pour le lecteur attentif, le message est fort et clair.

Si le Coran avait décrit la Terre comme étant stationnaire et les corps célestes lui tournant autour, bien que les gens de cette époque auraient été satisfaits de cette description, les générations suivantes l’auraient brandie comme une preuve de l’ignorance de l’auteur du Coran. Une telle affirmation, auraient-elles soutenu, ne pourrait provenir de l’Être Suprême et Omniscient.

Au lieu de comparer littéralement le mouvement de la Terre à celui des autres corps célestes, le Coran fait la déclaration suivante : « Et tu vois les montagnes que tu crois figées, mais elles flottent comme les nuages : telle est l’œuvre d’Allah Qui a rendu toute chose ferme et résistante. » [8]

Si l’on affirme que les montagnes sont en mouvement constant, la seule conclusion logique que l’on puisse tirer est que la Terre aussi tourne dans un mouvement identique. Cependant, grâce au langage extraordinaire du Coran, cette observation est passée inaperçue.

Les contemporains du Saint Prophète Mohammad(s.a.w.) avaient l’impression, d’ailleurs partagée par le reste de l’humanité de l’époque, que la Terre était stationnaire. Cette fausse impression ne fut pas directement contestée. S’ils avaient lu avec attention le même verset, aucune trace de malentendu n’aurait subsisté. Elle se termine avec un dernier hommage à la faculté créative de Dieu, Qui a doté toute chose d’une telle fermeté qu’elle ne peut être déplacée. Toute chose qui ne peut être déplacée ne peut en aucune façon mouvoir sur Terre, et voguer seule en laissant la Terre en arrière.

Plusieurs versets du Coran qualifient les montagnes de رواسي (rawasiya) qui signifie « fermement enracinées dans la Terre. »

« Il a créé les cieux sans de tels piliers que vous puissiez voir ; et sur la Terre, Il a placé des montagnes solidement ancrées, afin qu’elles vous fournissent de la nourriture, et Il y a répandu des animaux de toutes les espèces ; et Nous avons fait descendre sur la terre de l’eau des nuages, et y avons fait croître toutes sortes de magnifiques couples de végétations. » [9]

Il y a de plus, ce verset : « Et Nous avons placé sur la Terre des montagnes solidement ancrées afin qu’elles fournissent aux hommes leur subsistance, et Nous y avons tracé de larges chemins afin qu’ils puissent être bien orientés. » [10]

« Et Il a placé sur la Terre des montagnes solidement ancrées pour vous fournir votre subsistance, et des fleuves et des chemins afin que vous puissiez emprunter la bonne voie. » [11]

Ainsi, le Saint Coran réussit admirablement à formuler cette révélation de manière à ce que la connaissance qui prédominait à l’époque du Saint Prophète Mohammad(s.a.w.) ne soit pas trop défiée.

Il est probable que ses contemporains aient pu croire que le verset 89 du chapitre 27, cité plus haut, faisait référence à un événement futur associé au Jugement Dernier. Cependant cette erreur d’interprétation est inacceptable pour les raisons suivantes :

1. La lettre و (waw) employée ici peut littéralement être traduite comme « tandis que » au lieu de « et », ainsi la signification pourrait être, « vous croyez que les montagnes sont stationnaires, tandis qu’elles sont en mouvement. » Il est impossible de transposer cette partie de la déclaration au futur.

2. Si les montagnes devaient s’envoler à l’avenir alors comment l’homme, même s’il se trouvait juché à bonne distance sur une autre planète, eut pu les considérer stationnaires en dépit de les voir voler dans l’espace ? Ainsi une telle traduction n’est pas applicable. Il serait erroné de déduire de ce verset que les humains d’aujourd’hui considèrent que les montagnes sont stationnaires mais qu’à l’avenir, celles-ci ne le seront plus et voleront. Si les montagnes étaient stationnaires aujourd’hui, les êtres hu­mains reconnaîtraient ceci comme un fait incontestable. La question n’est pas de définir si l’homme pense ou non qu’elles soient immobiles. Le Coran aurait dit en ce cas : « Vous croyez qu’elles sont stationnaires et elles le sont, mais à l’avenir, elles ne le seront plus. » Ce n’est pas ce qu’affirme le Coran.

3. À la fin de ce même verset, un hommage fait à la solidité de la création de Dieu est la dernière preuve concluante que les montagnes, en dépit de voler, sont inébranlables.

Il est remarquable que les premiers commentateurs soient demeurés silencieux sur la véritable signification de ce verset ; ceci indique qu’il leur était trop difficile à interpréter.

L’univers en mouvement

Le Saint Coran déclare aussi que tous les corps célestes sont en constant mou­­vement, qu’aucun d’entre eux n’est stationnaire, « chacun voguant dans une orbite séparée ». [12] Cette déclaration qui englobe tout com­prend l’ensemble de l’univers, notre système solaire ne dérogeant pas à la règle. Il existe de surcroît plusieurs versets mentionnant le mouvement elliptique de tous les corps célestes. Cependant ils parlent aussi de leur mouvement vers l’heure fatidique de leur mort. Ci-après sont rappelés quelques-uns des versets qui couvrent les deux sujets :

« Allah est Celui Qui a érigé les cieux sans colonnes qui vous soient visibles. Puis Il S’est installé sur le Trône. Et Il a soumis le Soleil et la Lune à votre service, chacun poursuivant son orbite jusqu’à un terme fixe. Il est le Régulateur de toute chose et Il explique clairement les Signes, afin que vous croyiez fermement en la rencontre avec votre Seigneur. » [13]

« N’as-tu pas vu qu’Allah fait pénétrer la nuit dans le jour, et fait pénétrer le jour dans la nuit, et qu’Il a assujetti le Soleil et la Lune, chacun poursuivant son cours jusqu’à un terme désigné, et qu’Allah est très conscient de ce que vous faites ? » [14]

« Il fait pénétrer la nuit dans le jour, et Il fait pénétrer le jour dans la nuit. Et Il a mis en service le Soleil et la Lune, chacun des deux suit sa course pour un terme fixe. Tel est Allah, votre Seigneur ; à Lui appartient le royaume, et ceux que vous invoquez en dehors de Lui ne possèdent même pas un brin. » [15]

« Il a créé les cieux et la Terre en toute vérité. Il fait que la nuit enveloppe le jour, et Il fait que le jour enveloppe la nuit ; et il a mis en service le Soleil et la Lune ; chacun flotte sur son orbite jusqu’à un moment déterminé. Écoutez, c’est Lui Seul Qui est le Puissant, le Grand Pardonneur. » [16]

Ci-dessous est une autre révélation merveilleuse du Coran concernant un mouvement spécifique du Soleil qui n’est mentionné dans aucune Écriture sainte. Le verset 39 du chapitre 36 déclare :

« Et le Soleil se déplace sur sa course prescrite. C’est là le décret du Puissant, de l’Omniscient. » [17]

Il parle clairement d’un point dans l’espace qui s’avère être le lieu de repos final du Soleil. En dépit du fait que c’est uniquement le Soleil qui est mentionné, les versets qui suivent immédiatement unissent l’ensemble de l’univers à son mouvement dans la même direction spécifique : « Et pour la Lune, Nous avons désigné des phases, jusqu’à ce qu’elle retourne à son ancienne forme comme une vieille branche sèche de dattier. Il n’est pas permis au Soleil de rattraper la Lune, et la nuit ne peut pas dépasser le jour non plus. » [18] Si le Soleil était le seul à bouger dans une direction fixe, le verset qui suit cette déclaration n’aurait pas affirmé que le Soleil et la Lune gardaient strictement leur distance mutuelle ; qu’ils ne pourront jamais s’approcher ou s’éloigner l’un de l’autre, une destinée invariable jusqu’à l’heure fixée. Cela démontre clairement que quelle que soit la direction vers laquelle le Soleil se déplace, la Lune lui emboîte le pas.

Cependant ceci ne concerne pas uniquement le Soleil et la Lune. Tous les corps célestes sont décrits dans le Coran comme flottant silencieusement. Il existe de nombreux versets dans le Coran qui décrivent les corps célestes comme étant liés par des liens invisibles. Donc, si l’un se dirige dans une direction autre que son mouvement orbital ou elliptique, tous les autres corps célestes doivent aussi bouger pour maintenir leur équilibre mutuel.

« Et c’est Lui Qui créa la nuit et le jour, et le Soleil et la Lune, chacun tournant dans son orbite. » [19]

« Il n’est pas permis au Soleil de rattraper la Lune, et la nuit ne peut pas dépasser le jour non plus. Chacun flotte dans une orbite. » [20]

Le Coran emploie aussi un style unique pour indiquer le mouvement de la Terre sur son axe. Les contemporains de l’époque de la révélation de ces deux versets ne pouvaient pas comprendre clairement leur sens. Si les montagnes bougent, la Terre aussi doit bouger, mais ils n’avaient pas tiré cette conclusion. Ni ne pouvaient-ils concevoir l’idée que si le Soleil bouge vers une direction, l’univers entier doit aussi bouger avec lui, et ce dans la même direction. Cette vision de l’univers entier dérivant uniformément dans l’espace est une idée qui peut-être n’a pas encore été conçue par les scientifiques contemporains. Pour­­­tant, à partir d’une étude approfondie du Coran on peut suggérer que tout le cosmos converge vers un certain point dans l’espace.

Si cette suggestion est vraie alors il ne nous reste plus qu’à concevoir que l’ensemble des 180 milliards ou plus de galaxies existantes, dont notre système ne constitue qu’un point minuscule, convergent en un bloc avec le Soleil dans une direction déterminée. Plus haut, nous avons suggéré la possibilité d’un gigantesque trou noir pouvant engloutir tout l’univers.

Nous avons conclu que selon le Coran, l’univers est un espace à la fois ouvert et fermé. Au moment du Big Bang, il a commencé à s’agrandir presque à la vitesse de la lumière. À la fin, il sera à nouveau attiré dans le gouffre que nous appelons trou noir. Le concept d’un seul trou noir universel, basé sur la théorie du Big Bang, est entièrement corroboré par le Coran. Certains scientifiques toutefois proposent le cas d’un univers ouvert. Ils croient qu’il continuera de s’agrandir pour l’éternité jusqu’à ce que la matière spatiale devienne trop mince et clairsemée, et s’étendra au-delà de l’attraction gravitationnelle du centre de l’univers. Ce scénario exclu la possibilité d’un univers pouvant être rassemblé et recréé.

Le Coran rejette catégoriquement ce concept ouvert. Il est évident que l’univers explosa soudainement surgissant d’une masse unique et sombrera à nouveau dans une autre masse unique.

L’unicité de Dieu et son explosion créatrice ainsi que le retour de la création à l’unicité de Dieu n’auraient pu être exprimées de meilleure façon : « Nous appartenons à Allah et c’est vers Lui que nous retournerons. » [21]


Source : Revelation, rationality, knowledge and truth par Hazrat Mirza Tahir Ahmad, pages 303 à 315, publiée au Royaume-Uni en 1998

Références :

  1. Le Saint Coran, chapitre 51, verset 48
  2. Le Saint Coran, chapitre 21, verset 31
  3. Lane, E.W., 1984, Arabic-English Lexicon, Islamic Text Society, William & Norgate, Cambridge
  4. Space Telescope Science Institute, 1997, press release no. STScI-PR97-01, Baltimore, Maryland, USA
  5. Ronan, C. A., 1991, The Natural History de the Universe, Transworld Publishers Ltd., Londres. Voir aussi Reader’s Digest Universal Dictionary, 1987, The Reader’s Digest Association Limited, Londres
  6. Le Saint Coran, chapitre 2, verset 105
  7. Le Saint Coran, chapitre 21, verset 105
  8. Le Saint Coran, chapitre 27, verset 89
  9. Le Saint Coran, chapitre 31, verset 11
  10. Le Saint Coran, chapitre 21, verset 32
  11. Le Saint Coran, chapitre 16, verset 16
  12. Le Saint Coran, chapitre 21, verset 34
  13. Le Saint Coran, chapitre 13, verset 3
  14. Le Saint Coran, chapitre 31, verset 30
  15. Le Saint Coran, chapitre 35, verset 14
  16. Le Saint Coran, chapitre 39, verset 6
  17. Le Saint Coran, chapitre 36, verset 39
  18. Le Saint Coran, chapitre 36, versets 40 et 41
  19. Le Saint Coran, chapitre 21, verset 34
  20. Le Saint Coran, chapitre 36, verset 40
  21. Le Saint Coran, chapitre 2, verset 157